mercredi 3 août 2016

Écosse, jour 4

Glenmore

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Eh ben vas-y, la prochaine fois je passe deux jours dans le coin, cong... On en a profité qu'une matinée en faisant en quatre heures de marche ce qui était facilement prévu en cinq et demie.
Rha putain, mon cochon, les nuages, le soleil, les vallées, les arbres, le lac, les champignons (et même une amanite phalloïde), les arbres encore (nan mais moi j'aime les arbres, tu comprends), la brume, les vues depuis les hauteurs, les midges (bon, ça, ok), la famille canard avec maman et ses trois petits qui s'approchent de nous comme j'ai jamais vu pour des cannetons, la tranquillité tôt le matin, toucher quelques arbres pour lutter contre la fièvre et les maux de crâne dus à l'intoxication...
Si je peux, je te colle des photos...
Hu.
Ah, non... Je peux pas. Mais tu t'embêtes pas, tu fais image dans google, t'es pas couillon, non plus...
Ah manquer d'eau comme des couillons parce qu'on a marché plus que prévu, foirer un repas dans l'auberge de jeunesse parce qu'ils ne proposaient rien le midi.
Et la plage, aussi, même si on a fait qu'y passer parce que le sable était mouillé après la grosse pluie pluie de la nuit et qu'on commençait à avoir grave faim...
Ensuite, Aviemore pour une petite balade dans la ville sous la pluie, un burger au daim (c'est bon , désolé, ma femme si tu me lis) servi par une serveuse aux yeux qui ont étonné Johan (sans doute d'origine polonaise, la blonde), une petite visite à la brasserie Cairngorm pour quelques achats des spécialités du crû, un écureuil qui balade un peu avant la sieste et qui semble bien tout seul comparé au nombre de lapins. Bon sang, mon cochon, il est déjà facilement 16 heures.
Alors paf, le temps de filer sur Inverness, de se pêcho un bon embouteillage (vache, ça coince grave à certaines heures), pour finir dans la student Hostel Youth Hostel, tenue par un manager français avec la moitié facilement des résidents étant français.
Et là ?
Hein ?
Hein ?
Dégustation d'IPA, ma couille...
On a commencé par la Dead Pony de chez brewdog, qu'on connaît déjà sur Bourges.
On continue sur la très classique : Punk IPA (merci aux notes finales de pamplemousse qui permettent à mon compère de supporter l'amertume)...
Et on finit sur...
Ah merde, j'ai pas la bière devant moi. Pas grave le collègue, va la chercher...
La William Joker IPA, dont je ne sais rien mais ce n'est pas grave, c'est aussi ça ce que tu es, hein, l'esprit de l'aventure...
Je te laisse avec la page du jour :

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