mercredi 30 avril 2014

L'idiot (+playlist)





Et la page du jour consacrée :

http://www.lapagedujour.net/avril2014/trenteavril2014.htm



Et ça résumera bien ma journée, tiens.

Une balade sous la pluie avec la chienne, le bide qui se vide comme un salaud ou des dessins de maladies du dix-neuvième siècle ne font pas toute une journée.

Heureusement qu'il y a eu la super répétition de ce soir :)

mardi 29 avril 2014

Un autre post idiot

http://www.lapagedujour.net/avril2014/vingtneufavril2014.htm

Pas grand-chose aujourd'hui.
Le blues de la rentrée.
Les douleurs du retour.
Heureusement que la reprise des répétitions fait du bien.
C'est ce qui permet de garder le cap et d'oublier les merdes du quotidien : plus que quatre séances avant d'être à court de kiné, les douleurs parfois très vives, le mental pas toujours assez fort, la télé à la demande qui coince, le chien qu'on ne peut pas lâcher parce qu'il y a trop de monde, l'argent qui ne rentre plus sur le compte en banque depuis des semaines parce que mon dossier n'est pas traité.
Bah.

Que des trucs idiots.
Et qui ne pèsent rien au regard de l'état du monde, de la misère des exploités, de la pourriture des puissants et de l'abrutissement des masses.
Mais pas la peine de parler de l'enfer.
Je n'ai pas envie de vivre en enfer et je fais partie d'une société qui peut au moins donner les moyens de se contenter du purgatoire :)

lundi 28 avril 2014

L'Idiot

Je poste ça :
http://www.lapagedujour.net/avril2014/vingthuitavril2014.htm

Et je ne vois pas mieux à dire en ce jour où j'ai fini le roman et où j'ai manqué deux épisodes sur 10 d'une mini série vachement bien mais bon, ils font chier sur Canal à ne pas laisser à la demande les séries au moins un mois.
Une série dont l'héroïne principale est aussi l'auteure et parfois la réalisatrice (j'en suis moins sûr).

Mais une bonne et putain de série.
Girls.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Girls_(s%C3%A9rie_t%C3%A9l%C3%A9vis%C3%A9e)
J'aurais pu faire une page du jour sur Girls.
Mais je me dis qu'aurait donc écrit Dostoïevski à notre époque ?
Eh ben peut-être un truc du genre Girls, justement.
Autre temps et moeurs.
J'ai plus de goût pour les choses de mon temps.
Mais l'analyse psychologique et philosophique de Dostoïevski reste, il est vrai, éternelle.

dimanche 27 avril 2014

Le retour nom des dioux.

Le retour nom des dioux.
Ce qu'il y a de terrible, c'est de rentrer.
Évidemment qu'on est bien de rentrer chez soi.
Mais nous, on a une étape à chaque fois... On passe d'abord par les parents de ma femme.
Une sorte de sas.
Les vacances, la région parisienne et le retour.
Ce n'est pas en un temps.
Ce temps de latence entre le voyage et le retour chez soi permettrait normalement de sentir le vide du retour.
Là, non.
Du tout.
En un, parce que j'avais pour la première fois de mes vacances un autre objectif : lire l'Idiot (et ce, dans une version bien chiante, deux erreurs de typo au minimum à chaque page).
L'Idiot m'a donc permis de passer le cap. Bien qu'il y ait des trucs finalement extrêmement chiants dedans (l'intrigue qui court sur très peu de choses, 800 pages pour traiter d'aussi peu en terme d'action, c'est un peu raide tout de même), il y a aussi une incroyable finesse dans l'analyse psychologique, ce qui a l'avantage d'être sans doute ce que je préfère avec l'action.
Je suis surpris par ma lecture jusqu'à présent. Vraiment surpris et je crois que Gabriel Arout a fait vraiment un bon travail, finalement, en réalisant ce qu'il a fait, et en dépoussiérant au maximum les trucs justement chiants.
Personnellement, j'aurais fait sauter certaines scènes si j'avais eu à monter la pièce. Supprimant un aspect comique beaucoup plus présent dans la pièce d'ailleurs que dans le roman, mais rendant justice à l'intrigue et l'action.
Mais eh.
A partir de zéro, résumer l'Idiot, c'était déjà pas si mal. Je comprends mieux la scène que je trouve super chiante de dix pages autour d'un personnage et d'un portefeuille parce qu'elle traîne sur près de 60 pages dans le roman, ne serait-ce que pour décrire l'errance d'un des personnages impliqués dans la disparition d'un simple portefeuille.
Mais bref.
En trois (parce qu'il faut en revenir au sujet), l'aspect mystique chrétien du voyage m'a surpris. Les rêves particulièrement. Non que j'ai particulièrement ressenti quoi que ce soit de puissant en dehors de deux endroits précis mais pour la portée de certains de mes rêves.
Et puis, il y a eu l'aéroport où je suis tombé sur un fin connaisseur qui m'a orienté vers l'achat de deux bouteilles de Tulamore dans des éditions peu communes. Un type qui a eu l'occasion de voyager et de séjourner un moment en France et en Belgique.
Une envie particulière d'avoir pu faire comme lui m'a saisi au moment de l'achat.
Passer quelques mois à l'étranger est un rêve qui se manifeste depuis des années.
C'est bien le seul moyen, de toutes les manières, pour parfaire sa langue, n'est-il pas ?
En quatre, je sais que la semaine prochaine, je serai occupé sur l'Idiot, que j'ai fortement envie de l'être et que je ferai tout pour être dans la meilleure forme possible pour cela.
Je vis mon avant-dernier jour de débauche dira-t-on...
Et c'est bien...
Et c'est parfait.
Un poète, un acteur, un prêtre, un écrivain sommeillent en moi. Ils ont envie de se réveiller.

Laissons les faire, dès lundi...

samedi 26 avril 2014

Le prêtre

Le prêtre...
Je ne sais pas à quel point l'évidence ne m'avait pas frappée jusqu'alors.
Je finis systématiquement, ou presque, par jouer des individus qui ont la foi.
Si possible pas la foi classique, trop rigide que je vois dans toutes les religions mais quelque chose qui dépasse les limites des dites religions parce qu'il y a des preuves physiques de l'existence de cette foi ou parce que le message de la foi peut être résumé aux principes de la bonté et du respect de la nature.
Depuis deux ou trois nuits, je me réveille avec un message.
Je serais chrétien, j'aurais eu au cours de ces nuits bien plus de preuves de l'existence de Dieu que si j'avais simplement été un lecteur lambda de la Bible, du Coran ou de la Torah.
Et je passe sur les autres religions.
Des étoiles sont descendues du ciel, formant un message et puis une croix s'est dessinée, la Croix du symbole de l'union du ciel, de l'esprit et de la terre ce me semble et me voilà curé et me voilà prêtre disons ou pasteur, enfin homme d'église, un peu imposteur parce que je ne crois pas aux écritures, parce que simplement on peut résumer la valeur du message à : aimez-vous les uns les autres, ne sacrifiez pas la nature en ce nom là, respectez les différences, soignez ceux que vous pouvez, ne faites pas preuve d'égoïsme, ayez foi en vous autant qu'en l'univers puisque vous êtes poussière d'étoiles, ne croyez pas en un message absolu sur la vie après la mort et celui que je pourrais vous donner ne serait que le mien, sentez, respirez, goûtez vraiment et vivez.
Enfin bref.
En tant qu'homme du Créateur mes yeux se sont ouverts à une nouvelle réalité où existaient des sortes d'anges et de démons qui testaient de fait un peu les hommes. Je dis bien des sortes... Les définir est compliqué, plutôt des invisibles à moitié entre deux plans, pouvant sans doute piloter certaines âmes un bref moment. Mais rien de plus, vraiment.
Enfin bref.
Me voilà également muni de pouvoirs, en particulier celui de pouvoir parler et de me faire entendre et aussi de soigner.
Il suffit d'imposer les mains pour soigner et la chose se fait rapidement. J'avais aussi le pouvoir de ramener des gens à la vie, mais pas non plus des milliers par jour, l'expérience étant éprouvante. Et muni de ce pouvoir, de pouvoir encore mieux parler et me faire entendre : ne prenez pas vos religions à la lettre, regardez ce que peut faire vraiment celui que vous appelez Dieu ou le Créateur.
Une arme pour convaincre les sots, les méprisants et les incultes.
Et une certitude que ce qui dirige l'homme de foi et de la même nature que celle qui dirige l'artiste ou l'acteur.
Je me suis réveillé infiniment plus fort que je ne l'ai jamais été.
Je me suis souvenu que le déclic absolu sur l'envie de jouer était le fait d'avoir quand même incarné un pasteur.
J'ouvre les yeux sur le Ciel.
Mais je ne suis pas un prêtre. Je suis poussière d'univers, enfant de la création primaire.
Oui, il y a eu une création. La même, pour tous.
Dire qu'il y a une volonté derrière dépasse nos frontières. Et chacun est libre de lui trouver une volonté, à ce Créateur. Tant que le message est : aimez-vous les uns les autres et toutes les petites phrases que j'ai rajoutées...
Ah mon dieu.
Je vous passe une enquête sur le vaudou et des cas de possessions. De toutes les manières, les plus grands démons sont intérieurs. Et on est tous bien placé pour le savoir.




Tullamore.

Kilemore.
Je pourrais me contenter de ça.
Juste de ça.
J'ai loupé une des balades de la matinée, crevé, je suis resté à la location. On l'a faite à nouveau le soir en voiture.
J'ai loupé le petit agneau avec la patte cassée.
J'ai loupé d'aller voir le Christ à l'abbaye de Kilemore.
J'ai manqué croire que je n'étais pas parti en vacances en entendant autant de monde parler français.
Je garde des images : un trèfle trouvé à Kilemore, le cheese-cake du salon de thé, des arbres énormes, le bord de la mer ce matin, le pub ce soir avec ses plats un peu roboratifs, certes, mais copieux.
Je garde une décision avec moi-même ce soir.
J'aurais bien aimé marcher plus aujourd'hui ou rester plus longtemps mais non.
Je ne peux pas.
On ne peut pas.
Et par ailleurs, je garde aussi le fait que j'en arrive presque à la page 500 de l'Idiot et que j'aimerais bien finir l'ouvrage pour la semaine prochaine.
Mes vacances sont triples. Aller au bout de quelque chose de personnel qui m'empoisonne, vivre ces vacances tout simplement et lire l'Idiot.
Hum.
Une partie de jeu de rôle à l'abbaye du temps du comte et de la comtesse, au dix-neuvième siècle ?
Il va falloir que je révise mon histoire.
Je n'ai jamais étudié le dix-neuvième siècle.
C'est pourtant le terreau de notre société moderne. Tout était déjà là.
Je revois des gens lancer du pain à des truites ou d'autres poissons de rivière.
Je repense à ce portrait de la comtesse, morte à mon âge de la dyssenterie.
Je songe à ce petit pub pas loin d'ici où il ferait bon d'être en mai pendant leur festival de la moule.
Et je m'en vais finir un autre chapitre de l'Idiot, tiens...
La page du jour, au fait :

La fin.
Bon, magnifique balade dans le Connemara, certes.
Arrêt tranquille à midi avant d'aller voir ClonMacNoise, un petit bled Shanonbridge, avec son pub peinard qui fait drugstore.
La bouffe n'est pas révolutionnaire, le service est long, mais les milliers de cartes de visites au plafond et la nécessité de se détendre après la conduite de la matinée me transportent aux portes de la félicité.
J'aurais sans doute aimé passer plus de temps à découvrir les endroits seulement aperçus ce matin,
au Connemara.
Mais eh, je ne me plains pas.
Tullamore nous a offert sa distillerie, un bar avant d'entrer faire la visite, une dégustation avec des allemands, un sublime pub le soir. On aurait pu rester pour le concert au pub, mais certains d'entres-nous étaient fatigués, moi le premier.
Les images que je retiens de la journée sont :
Les croix celtiques de Clonmacnoise
La dégustation de whiskies.
Pouvoir se poser tranquillement à un pub.
Le pub, c'est la vie.
Hou.
Trop d'alcool aujourd'hui. Au total, je dois cumuler trois pintes et trois whiskies. Les trucs qu'on ne fait jamais à la maison.
Allez.
Demain est un autre jour mais Irlande, sache que je te quitte à regret.

Allez, la page du jour :



vendredi 25 avril 2014

Kylemore.

Kylemore.

Je pourrais me contenter de ça.
Juste de ça.
J'ai loupé une des balades de la matinée, crevé, je suis resté à la location. On l'a faite à nouveau le soir en voiture.
J'ai loupé le petit agneau avec la patte cassée.
J'ai loupé d'aller voir le Christ à l'abbaye de Kylemore.
J'ai manqué croire que je n'étais pas parti en vacances en entendant autant de monde parler français.
Je garde des images : un trèfle trouvé à Kylemore, le cheese-cake du salon de thé, des arbres énormes, le bord de la mer ce matin, le pub ce soir avec ses plats un peu roboratifs, certes, mais copieux.
Je garde une décision avec moi-même ce soir.
J'aurais bien aimé marcher plus aujourd'hui ou rester plus longtemps mais non.
Je ne peux pas.
On ne peut pas.
Et par ailleurs, je garde aussi le fait que j'en arrive presque à la page 500 de l'Idiot et que j'aimerais bien finir l'ouvrage pour la semaine prochaine.
Mes vacances sont triples. Aller au bout de quelque chose de personnel qui m'empoisonne, vivre ces vacances tout simplement et lire l'Idiot.
Hum.
Une partie de jeu de rôle à l'abbaye du temps du comte et de la comtesse, au dix-neuvième siècle ?
Il va falloir que je révise mon histoire.
Je n'ai jamais étudié le dix-neuvième siècle.
C'est pourtant le terreau de notre société moderne. Tout était déjà là.
Je revois des gens lancer du pain à des truites ou d'autres poissons de rivière.
Je repense à ce portrait de la comtesse, morte à mon âge de la dyssenterie.
Je songe à ce petit pub pas loin d'ici où il ferait bon d'être en mai pendant leur festival de la moule.
Et je m'en vais finir un autre chapitre de l'Idiot, tiens...
La page du jour, au fait :


mercredi 23 avril 2014

La-haut sur ma montagne...


Une journée simple.
Balade courte en voiture avec vues scéniques jusqu'à Clifden. Achats nécessaires, esquive d'une averse dans une église, retour à la maison à midi et pause bienvenue.
L'après-midi, le parc national du Connemara et le pub situé à quelques kilomètres.
J'ai goûté trop de bières et je ne suis pas confortable avec le vin californien ou chilien.
J'ai aussi poussé des limites.
Le là-haut sur la montagne, j'ai dû forcer mon cœur pour y arriver. Les trois autres ont échoué.
J'essaie aussi de lire l'Idiot. Mais la fatigue est grande et de nombreux passages m'échappent.
Je sens que je vais tomber avant minuit.
Je ne vais pas mettre de réveil demain.
Les vacances, c'est parfois fait aussi pour se reposer.
Les images de la journée ?
Le sommet de Diamond Hill, vaincu.
Des bébés agneaux que c'est une honte, j'admets, d'en manger.
Le petit pub de tout à l'heure.
Se réfugier dans l'église de Clifden...
Découvrir de l'ail des ours dans un petit sentier appelé le nature trail du parc. De l'ail des ours. Merci, qui ?
Merci la guérisseuse.
Demain sera encore plus grand. C'est notre dernier jour complet dans le coin.


Peu de photos.

Peu de photos.
Peu.
Pas la meilleure journée.
Trop de voiture sans doute, et pour monter voir un site néolithique et pour se rendre dans le Connemara.
L'endroit est sans doute chouette.
Mais trop de voitures et pas assez à l'aise à l'arrière d'une voiture pour mon compte.
Pas du tout assez à l'aise.
Je ne me plains pas.
Le paysage était sublime, surtout sur la fin.
La guide sur le site néolithique était parfaite, le centre des visiteurs faisait bien son office.
Mais voilà, ce vieux fantasme de la téléportation.
Tu veux aller quelque part, pouf, tu y penses, plaf tu y es.
Je ne regrette pas Dublin ou du moins ses nuits par trop agitées. Il y a vraiment des gueules saoules en ville et cela empêche de dormir.
Je ne regrette pas d'être là alors que mes camarades ont fini une deuxième séance de jeu de rôle sans moi.
Je regrette sans doute le manque de balade dehors et mon dos en vrac, du fait de la voiture. Une bonne voiture, d'ailleurs, avec de la reprise.
J'apprécie énormément l'endroit où on se trouve et je sais que mercredi, jeudi et vendredi seront bons...
J'apprécie un peu moins mon manque de capacité de lecture, le soir. Deux fois, j'ai dû relire en entier un chapitre que je n'avais pas pigé dans l'Idiot.
J'ai une tendresse pour le fait de comparer le roman original et la pièce de théâtre. C'est étonnant de voir les changements choisis par l'auteur qui ne cadrent pas du tout avec l'intrigue de base.
Je laisse ma page du jour à survoler :

Et je me souhaite dix fois mieux demain qu'aujourd'hui.
Ce qui n'est déjà pas mal. Parce que même si je n'aime pas rouler longtemps, la journée fut bonne en définitive, surtout qu'elle avait commencé avec le rêve précédemment cité (message d'avant).
http://www.lapagedujour.net/avril2014/vingttroisavril2014.htm


mardi 22 avril 2014

Les deux bagues?

Les deux bagues...
J'ai reçu du sable du temps, dérobés à une sorte de mongolienne ou de débile mentale qui allait les recevoir un lot de bagues.
Je ne revois plus le visage de celui qui m'a fourni les bagues : le passeur ? Le prophète ?
Un lot de huit ou dix bagues contenant de nombreux pouvoirs. Il n'a plus besoin de cela, il n'en était que le gardien.
Dans le joli coffre en bois où elles se tiennent, j'en prends deux. Quels sont leurs pouvoirs ?
Il ne me le dit pas. C'est à moi de le découvrir.
Je résiste au fait de les porter toutes et lorsque je les mets, je vois que je vole le moment de cette femme un peu débile qui boit du lait et qui dans une réalité parallèle essaiera de venir, peut-être, un jour pour me voler les bagues.
Chaque bague est connectée à une énorme montre que je tiens dans la paume de la main et finit par disparaître.
Un léger vent se fait sur le bureau auprès duquel je suis assis. Un vieux bureau de notaire ou de scribe, dans un magnifique cabinet en bois.
Je sais que ma sœur connaît mon pouvoir, elle a déjà eu l'occasion de percevoir que j'analysais parfois ses pensées...
Les deux symboles accrochés à mes bagues sont le vent et la vie.
Je peux voler, contrôler sans doute la matière à distance, la gravité plutôt...
Il y a aussi la vie, je me vois dans une glace rajeunir de plusieurs années, les cheveux repoussent, les rides s'estompent, l'énergie revient.
Dans le cadre d'une tradition shamanique, la vie et le vent, c'est quand même tout ce que je pourrais désirer associé, de plus, à un état naturel de clairvoyance et de lucidité sur les choses ou les gens.
Accessoirement vie et vent, il y a pas mal de vaillant dedans :)
Je peux affirmer sans peine que c'est de mes rêves les plus « présents » ou « pénétrants ». Cette assurance de faire partie du Grand Tout, d'avoir un véritable Destin transcende presque toutes les sensations ressenties jusqu'alors. La pure joie de pouvoir se détacher des contraintes terrestres et matériels confine à l'idée que les chrétiens doivent se faire du paradis.
Un peu comme l'idée de devenir un ange.
Je me tâte à faire quelque chose avec des personnages qui seraient devenus comme moi dans ce rêve et je dois avouer que ce qui serait le plus proche, ça serait ange.
Il reste évidemment la notion de libre arbitre, mais le Destin ne parlait que de la révélation d'un statut, pas forcément de ce que tu étais obligé de faire avec, et certainement pas du prosélytisme.
En paix.
En joie.
En harmonie avec l'univers et le reflet dans ma glace.


Ah ces doux rêves en vacances :)

lundi 21 avril 2014

Douze dés orange.

12 dés orange.
Je revois ma journée, je fais décousu.
Ce matin, balade en ville au nord et au sud de la Liffey et musée du National Gallery.
Je tombe amoureux d'un tableau appelé la jeune fille au cottage d'un certain Thomas Gainsborough (j'espère que je ne me trompe pas).
On déjeune végétarien au Cornucopia, qui ma foi est très loin d'être dégueu.
Portobello, magnifiques maisons dans le quartier résidentiel et premier chat du séjour pour ma femme. Le long de la rivière qui ceinture en deuxième le tout Dublin, j'ai trouvé mes trèfles irlandais.
J'ai aussi trouvé mon bonheur au PorterHouse sur Temple bar pour goûter des tas de bières locales dont la magnifique Chocolat Stout.
Je me suis aussi fendu dans la joie d'une Porter Chocolate acheté au Mark et Spencer.
Au chapitre des achats, j'ai résisté à l'achat de Fate Core dans la boutique de jdr de la ville pour me contenter de 12 dés à six faces orange qui je l'espère marqueront le sceau de ma relance de Shadowrun d'ici la rentrée.
Ouais, j'ai résisté.
J'ai appris que le jeu le plus pratiqué sur Dublin reste Pathfinder. Une bonne occasion aussi de lancer quelque chose là-dessus l'année prochaine éventuellement.
C'est un peu ridicule d'avoir acheté des dés à six faces, je sais, mais j'ai décidé que tous les dés fétiches et ceux principalement utilisés seraient maintenant ceux achetés en voyage.
Des images de bonheur ?
Le jardin du château de Dublin, détente.
Attendre mes compagnons devant le tableau de Gainsborough.
Trouver ces deux énormes trèfles.
Être posé au PorteHouse et pouvoir goûter des bières.
Résister à un achat que j'aurais fait en temps ordinaire.
Le soleil ou du moins le beau temps relatif et la chaleur qui nous ont accompagné toute la journée.
Une jolie exposition de photos que des travailleurs de la fin du dix-neuvième et du début du vingtième qui pose les choses sur la société et me fait dire : « putain, c'était mieux avant ».
Un sympathie poker en chevauchant les licornes (mon expression du voyage pour être un peu pompette) avec mes trois camarades du séjour.
Le gâteau que Pounit décide de goûter et qui nous pousse à en commander deux autres.
La pure joie de l'instant présent, tout simplement, pardi.

Et tiens, n'oublions pas la page du jour.

Et les douze dés orange.
Orange.
Orange, c'est important pour moi. Jaune orangé était ma couleur préférée quand j'étais gamin.
En maternelle, je volais des feutres de cette couleur.
Jaune orangé, c'est le signe du renouveau.

La signe total. Que je m'espère bien.

dimanche 20 avril 2014

Du vert, un saint et de la Guinness.

Du vert, un saint et de la Guinness.
Je pourrais retenir essentiellement St Patrick, St Stephen Green et la visite de Guinness de cette journée.
Je pourrais.
Je revois la ville, tôt, le matin sur Grafton Street nous appartenant, les musées fermés qui nous invitent à venir les voir, le buffet de midi, mexicain pour deux et grec pour les deux derniers.
Je sens encore un peu la pluie de l'après-midi découverte au septième étage de la visite de la maison Guinness (qui ne brasse plus depuis longtemps sur les lieux où elle fait visiter).
Je goûte encore un peu les deux Guinness que j'ai bu pour aider le père de Clarisse ou son petit frère. Je goûte aussi le cidre du crû, à six degrés qui n'a rien à voir avec le très mauvais cidre industriel au goût champagnisé qu'on sert dans les bars...
Je n'ai toujours pas acheté un livre que je voulais acheter.
Je me suis réveillé en panique pensant que j'avais dix ans de trop mais dans le rêve je me donnais mon âge.
Je n'ai rien donné aux sans abris qui hantent les rues.
J'ai été transporté par l'église de St Patrick, simple, mais emprunte, à la manière de St Gilles à Édimbourg.
Je suis décousu, je sais.
Mais c'est le propre des vacances de ne pas autoriser la stricte ordonnance des choses.
Je n'ai pas vu de chat, pas cherché de trèfles, pas eu d'émotion mystique transcendantale.
Mais ce n'est pas grave. Ce n'était pas le jour pour.
Je revois les gens qui se pressent à St Patrick, avec des victuailles, pour un festin pascal.
Je pense à ces clochards qui se posent au milieu des ponts qui enjambent la Liffey, en plein vent.
Je ressens la ville, si tôt le matin, sans touristes, nous appartenant.
Je vibre à la pensée de découvrir des musées.
Je reste encore transporté, également, par la lecture d'un chapitre de l'Idiot qui colore infiniment le personnage principal de l'intrigue.
Tout ça et bien plus encore.
Mais si je ne devais retenir que trois choses. Ce sont bien celles du titre.
Ce qui est déjà beaucoup.
La plupart de mes journées habituelles ne méritent pas qu'on en retienne une seule chose.
Parfois ce sont des semaines ou des mois sans mérite.
Alors, pensez...
Merci Dublin. Merci.
La page du jour, allez :

samedi 19 avril 2014

Pouniter.

Pouniter.
Le petit frère de ma femme a oublié sa carte d'identité ce matin.
Et ce, après qu'on lui ait demandé deux fois de vérifier la dite carte.
Il a dû racheter un billet et nous rejoindre seulement cette après-midi.
Je ne peux pas trop dire ce que je pense de Dublin, nous ne l'avons vu qu'à peine...
Le soir, le samedi, la ville me semble capable de déborder. Des types déguisés avec des oreilles d'elfe ou un mannequin avec une bite, c'est pas tous les jours quand même.
Sur Temple Bar, on a pu faire quelques courses, dont des fromages bien sympathiques.
Au Mark et Spencer, j'ai même acheté du beurre de chèvre.
Mais je ne comprends pas pourquoi ils n'utilisent pas le lait de brebis.
Je dois aussi avouer que je suis un peu gêné par le nombre de clodos. Pas que j'ai quelque chose contre eux, juste que j'ai pas les moyens de donner à tous et que simplement ça ne devrait pas exister dans une société civilisée...
Pouniter, donc, de l'action d'oublier un truc qu'on t'a demandé de vérifier, que tu dis avoir vérifié et que tu n'as pas vérifié.
Ah bon sang.
Les images principales de la journée, allez.
La première bière en arrivant, dans un pub, même si mes pâtes n'étaient pas terribles.
Une femme qui me ramène mon téléphone que j'ai fait tomber, sur Temple Bar.
Pounit qui a oublié ses papiers et qui s'énerve à l'aéroport, mais eh, c'est la vie.
Un livre que je m'achèterais bien dans le magasin juste à côté de l'appartement.
L'Idiot de Dostoïevski, entamé à cent pages. Mais je ne gage rien de mes capacités à lire cette nuit, les whiskies m'ont claqué.
Un premier bain de foule dans le centre-ville.
L'aiguille qui domine le centre-ville.
Un avion qui fait des manœuvres au dessus de centre-ville, allez savoir pourquoi.
Au pub, au comptoir avec ma femme, en attendant de rentrer à l'appartement où André nous attendait.
Les excellents fromages achetés au marché de Temple Bar.
Les deux Connemara goûtés au Temple Bar, justement.
L'envie d'en lire plus sur l'Idiot, un bête virus, n'est-ce pas ?
L'étrange sensation d'être passé pour l'instant à côté de Dublin.
Une interrogation sur les rôlistes de Dublin après avoir vu leur maigre rayon de jeux de rôle dans une boutique spécialisée dans le genre.
Bref.

Bref, bref, bref. Une bonne journée quand même, je ne suis pas en France, après tout.

vendredi 18 avril 2014

Sur le départ...

Sur le départ.
Plusieurs mois de galère et de doutes.
Mais des certitudes.
Pas d'argent.
Mais est-ce ça qui me fera vivre moi avec la chance que j'ai d'être en couple ?
La passion qui devient de plus en plus vive.
Je ne me sens jamais aussi bien que lorsque je me transcende dans d'autres peaux.
Est-ce une volonté d'échapper à la sienne ou un désir de sublimer le réel et d'apporter aux autres l'expérience du beau ?
Peu importe.
La question ne se pose pas.
C'est là.
Après sept jours bien malade, sept jours d'éveil, j'espère avoir les yeux ouverts tout le voyage.
Je suis particulièrement touché du message de deux amis, un sur internet et un autre qui est passé à la maison en coup de vent cette après-midi pour me faire un cadeau.
Je suis touché, oui.
J'ai aussi pas mal profité de ma partie d'hier et j'ai eu le temps d'écrire un peu, comme j'aime le faire, juste de quoi retrouver et raviver la flamme qui s'éteint par trop quand je souffre.
Ne plus souffrir, vivre.
Aujourd'hui j'ai lu la biographie de Fiodor Dostoïevski.
A partir de demain, je lis l'Idiot.
Je veux être à fond pour le rôle.
Je veux être à fond pour la pièce. Tout comme Max m'avait habité totalement dans les jours précédant la représentation, ça sera le cas pour Rogojine.
Rogojine le démon.
Jouer un démon plutôt qu'un christ.
C'est plus excitant, non ?
Enfin...
Je crois.

La page du jour en attendant :
Et le voyage en Irlande, ce que j'attends ?
Ah ah ah ah.
Comme d'habitude, rien en avance. La surprise et le choc du voyage sont parfois plus grands quand tu n'attends rien, justement...


Philosophie de Comptoir





En attendant les pages du jour et pour toutes les vacances :)

La route fut longue.

http://www.lapagedujour.net/avril2014/dixhuitavril2014.htm

Y en a encore un peu dans les poumons, mais on s'en sort, on s'en sort.
Pas sans mal.
Mais on s'en sort.
Arh.

Pas mal de rêves cette nuit.
Un déménagement qui n'arrive pas totalement à se faire.
Ces quelques cicatrices qui ne partiront jamais.
Je rage de ne pas avoir fait de gymnastique mais au tas, il ne faut pas.
Je suis déçu d'avoir loupé une partie de jeu de rôle mais content d'avoir pu jouer la partie de ce soir.
Pas tout à fait finie d'ailleurs, pas tout à fait.
Je dois écrire un texte sur les deux personnalités de mon personnage et comment elles finissent par s'entendre.
Pas simple :)

jeudi 17 avril 2014

Six jours, et le septième ?

De samedi dernier à vendredi.
J'ai mangé.
J'ai mangé mais j'ai tenu sur le plus important : l'amitié et le théâtre.
J'ai dû zapper du jeu de rôle, mais tant pis.
J'ai tenu sur le plus important et je jouerai quand même demain soir.

Une sorte de création du monde. Six jours pour le faire. Pour se refaire.
Et vendredi, tout neuf ?

J'espère.
On doit bien accepter de trouver parfois la foi en certaines choses.
Moi, c'est ça...
La purge nécessaire.
Transfiguré.
Transcendé pas encore.
Encore que.
N'est-ce pas le propre du rêve que de le faire.
Ce soir, il faudrait que je note mes rêves, tiens.

La page du jour, allez :
http://www.lapagedujour.net/avril2014/dixseptavril2014.htm

mardi 15 avril 2014

Love and Money.

Encore deux jours pour aller voir ce spectacle à l'auditorium de Bourges.
Deux jours seulement.
Une seule frustration : trop malade, je n'ai pas pu rester pour le "bord de plateau" qui permet de parler aux comédiens et à la metteuse en scène.

la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/avril2014/seizeavril2014.htm


Et une assurance.
Je paye si cher pour un plus grand bien.
Une sorte de voyage du shaman.
Il faut que je rêve, tiens.
Pleine, lune, lumière, fait, jour, plein, conscience, ouvrir, yeux.

La lune, la danse, la vie.

La lune est pleine.
La vie le sera sans doute plus demain, ou après-demain quand la crève et les maux auront tous dégagés.
J'ai regardé un film qui parlait d'exorciser des démons.
Et la séance de théâtre de ce soir, bon sang.
Le pied total. Pour moi, ça n'a consisté que pendant plus de deux heures à répéter une chorégraphie.
J'ai adoré.
La danse, voire le chant, c'est super kiffant de maîtriser ça dans une spectacle.
Oh oui.
Chorégraphie.
A corps et à cri.

On va s'amuser comme jamais le 10 et 11 mai.

Rha.

Allez, la page du jour, tiens :
http://www.lapagedujour.net/avril2014/quinzeavril2014.htm
Faudrait pas que je sois millionnaire, j'aurais des canons :)

Et deux liens que j'ai aimés :
http://lovemeow.com/2014/04/stray-cat-from-fear-to-love/

http://themindunleashed.org/2014/04/31-year-old-sick-expensive-rent-high-costs.html

lundi 14 avril 2014

La crève.

http://www.lapagedujour.net/avril2014/treizeavril2014.htm

http://www.lapagedujour.net/avril2014/quatorzeavril2014.htm


Un week-end sympa mais bizarre.
J'ai pleuré au discours hyper tolérant de l'adjoint au maire de la ville de Torcy.
J'ai adoré aller sur Paris pour le mariage de mon poto et discuter avec les gens qui y étaient.
J'ai beaucoup moins aimé rentrer un samedi soir, l'oeil niqué, le cou en vrac, le crâne en bouillie, la crève dans la gueule et GPS en panne.
Beaucoup moins.
La crève cong.
J'ai toussé à la fin de la séance avec la guérisseuse.
Et tout ce qui était bloqué est sorti.
Conclusion, une bonne grosse crève pour nettoyer des vieilles peaux.
Pas assez dormi du coup.
Et des animaux qui manquent puisqu'on les a laissés en région parisienne (où ils sont très heureux).
La maison est plus vide sans animaux. Mais en même temps, le nez pris et la gorge qui pique comme j'ai là, je serais pas bon à grand-chose pour balader le chien.
Qui sait...
J'irai peut-être quand même balader au lac.
Pas sous la lune pleine, comme ce soir. O lune, je t'aime.
Non, juste pour marcher pieds nus.

samedi 12 avril 2014

Guérisseuse.

J'ai craqué, pouf guérisseuse aujourd'hui.
Déboîté encore quelques heures je serai.
Mais un coup de boost énorme au mental.
Elle pense que j'ai une autre hernie, une troisième au dos.
Hurg.
On verra, je ferai des radios ou une IRM d'ici deux ou trois mois, j'ai décidé.
En attendant, je ne vais pas me prendre la tête. J'y suis allé pour ça aussi;.
Elle a été sympa, elle m'a filé de l'ail des ours.
C'est bon l'ail des ours.
Ca ressemble à du muguet par contre, qui est poison, lui.
En salade ou en cake ou en omelette.
J'ai aussi vu une tortue dans la rivière près de l'étang de St Germain. Un moment magique.
Je souffre en fait de la déconnexion avec la nature.Vivre dans un endroit où la magie de la rencontre animale peut se faire à tout instant.
Je dois marcher pieds nus.
Dans l'herbe.
Plus souvent.

http://www.lapagedujour.net/avril2014/douzeavril2014.htm

vendredi 11 avril 2014

Philosophie de comptoir :)

http://www.lapagedujour.net/avril2014/onzeavril2014.htm

Et demain, guérisseuse.
Je crois que c'est vraiment nécessaire.
Sinon, il parait qu'on a juste pile assez de sous pour acheter une voiture, après, en dehors de l'assurance vie pour l'instant bloquée, on est pauvres :)

jeudi 10 avril 2014

Beau.

http://www.lapagedujour.net/avril2014/dixavril2014.htm

Redécouvrir le beau.
Le beau dans une vérité première.
C'est pas une vérité première ma page du jour d'aujourd'hui ? :)

mercredi 9 avril 2014

Sortir du zombie ? :)

http://www.lapagedujour.net/avril2014/neufavril2014.htm

Zombie je suis, zombie je dois sortie.
Zombie avec un e, parce que na.
Mais en attendant, je peux passer ma flemme de faire quoi que ce soit en la mâtinant de photos de vacances parfaites.

Les prochaines seront-elles comme ça ? :)

mardi 8 avril 2014

lundi 7 avril 2014

Caillou.


http://www.lapagedujour.net/avril2014/septavril2014.htm

Un super samedi.
Un bon dimanche.
Un joueur absent que je ne regrette paaaaaaaaaaaaaaaaaaas. On s'amuse plus sans ses appartés qui cassent parfois l'ambiance ou le roleplaying. Il ne sait pas être dans le jeu en continu avec moi. Il ne le sait pas en général, c'est dommage, en se donnant la peine, il pourrait.
Une joueuse absente, que je regretteeeeeeeeeeeeu. Mais téléphone en rade et elle avait bronchite.
Des très bons pnjs créés sur le pouce : deux gardiens de phares hybrides, une sorcière avec deux boulets gangsters, un garde du corps garou...
Plusieurs pnjs officiels des scénarios et créés sur le pouce qui pourront faire de jolies histoires :
Un maffieux qui se la pète, une flicquette future garou, deux gardiens de phares futurs servants serviles, une équipe de pnjs qui fait aussi parfois le boulot préparatoire des personnages joueurs.
Je vais composer cette équipe de "préparateurs".
Moins balaises que les personnages joueurs, ça pourrait donner de faire jouer avec des personnages moins puissants. 

samedi 5 avril 2014

Bon. Bientôt à sec.

Les prochaines semaines seront plus sèches question jeu de rôle.
A part en semaine.
Mais parfois, faut ce qu'il faut.
La place aux anniversaires, mariages et voyages, donc.

En attendant :
http://www.lapagedujour.net/avril2014/cinqavril2014.htm

Et je passe TOUTES les merdes qu'il y a dans la famille de ma femme.
Il vaut mieux.
Sans compter nos merdes à nous (voiture, mon cou, devoir arrêter le travail pour moi)...
La vie est belle.
Toujours.
Quelque part.

vendredi 4 avril 2014

Les Ombres de l'Aurore, bis.

http://www.lapagedujour.net/avril2014/quatreavril2014.htm

Nostalgie.
Grosse fatigue aujourd'hui, mais immense.
Ca commence à aller mieux.
Bonne partie ce soir. J'avais un peu peur d'un clash possible sur une bêtise.
Bon, en même temps, je me retrouve avec un personnage pas simple à jouer.
Vraiment pas simple.
Deux personnalités très distinctes, un tueur psychopathe et relativement violent bien que protecteur de ceux qu'il estime les siens (infirmières, soigneurs, autres fous comme lui) et un voyant médium passionné d'occultisme.
Hum.
Pas simple, pas simple.
Mais tant mieux, c'est bien aussi d'avoir des trucs imposés.

jeudi 3 avril 2014

Les Ombres de l'Aurore

Le prochain truc que j'écris ou si je crée une association
Ca sera son nom.
Oui.
J'en ai rêvé, une femme qui m'apporte une boîte ou un livre et cette phrase qui vient au réveil.
Infiniment mieux que le mal de crâne de fin de journée.
Les ombres de l'Aurore, surtout qu'en acronyme ça fait LODLA (l'au-delà) :)

http://www.lapagedujour.net/avril2014/troisavril2014.htm

mercredi 2 avril 2014

Poisson pas frais ?

Là, en avril, aujourd'hui, il n'y a que les fleurs dans les champs qui m'ont procuré de la joie.
C'est important les fleurs dans les champs, savez-vous :)
http://www.lapagedujour.net/avril2014/deuxavril2014.htm

mardi 1 avril 2014

Poisson pas frais.

http://www.lapagedujour.net/avril2014/premieravril2014.htm

Walla walla.
J'ai rendu malade ma femme.
Le cong.

Mais j'ai enfin connu un pied immense en répétition, la scène finale a été jouée pour la première fois, ça fait du bien...
:)