dimanche 30 juin 2013

L'envie d'en faire plus.

L'envie d'en faire plus.
Tout d'abord, la page du jour :

Et ensuite, des trucs pèle-mêle.
Le groupe des jeudistes aura donc l'occasion de jouer 5 fois leur spectacle.
Ca donne envie de pouvoir au moins rejouer le nôtre une fois à la rentrée si on a du succès.
Une très légère sensation d'être moins épaulé que les jeudistes cette année. Pas que cela soit très probant, flagrant, mais notre week-end de répétition n'a pas bénéficié du TOUT du même nombre d'heures de présence de Jenny.
A décharge, mes braves amis mercredistes sont plutôt des gens de la dernière minute et qu'est-ce que tu veux bosser quand tout le monde ne sait pas son texte.
Or donc, l'envie d'être un peu plus pro dans les répétitions. Pour avoir le temps de bosser le jeu, et pas seulement le texte.
Content que ma mère, ma sœur et mes neveux aient apprécié le spectacle de ce soir. Il faut dire que le thème avait de quoi leur plaire.
Impatient de souffrir la comparaison, ouais, même si ce n'est pas possible de comparer une satire à une fantaisie picaresque, il y a des moments de folie dans les deux.
Envie d'en faire plus.
Ecrire, jouer, jouer ce que j'ai écrit.
On pourrait rester sur une pointe de jalousie, mais non, au contraire, ça motive. Si certains peuvent jouer cinq fois, pourquoi pas nous ?
Repensons également à nos problèmes : Alexandre qui nous lâche, Carine qui a surtout sa grossesse imminente dans la tête et Stan qui n'a pas tout à fait sa pourtant très simple dernière scène...
Oui, c'est sûr qu'on a eu un peu de mal.
Et pourtant, je crois qu'il n'y a pas de pièce plus importante pour moi que celle que l'on va jouer comme je l'ai déjà dit. Alors bien sûr, je me sens un peu gêné d'avoir le rôle principal et d'avoir envie de proposer de rejouer ça une fois à la rentrée si on déchire bien, parce qu'il y a cette idée que on peut rejouer surtout pour moi.
Ceci dit, faut pas être con, je pense que tout le monde a pris du plaisir sur cette pièce et que tout le monde se donne vraiment.
Les qualités essentielles.
Alors quoi ?
Oui, l'envie d'en faire plus.
Et content pour les jeudistes, tant mieux pour eux, s'ils peuvent jouer plusieurs fois.

Au chapitre du quotidien : douleur vive au cou du fait de pas de minerve ou que sais-je et dentiste ce matin. Un peu douloureux le dentiste lors du travail sur enlever le plomb d'une dent pas dévitalisée. Mais comme d'habitude, j'ai rigolé en ayant mal.
Comme d'hab.

Trac, maintenant.
Commence-t-il à se manifester ou dois-je laisser passer en moi plutôt l'envie de tout déchirer pour pouvoir rejouer ?
Tout déchirer.
Le trac, c'est la peur de perdre son texte.
Et je n'ai pas à l'avoir. Les seules fois où je peux le perdre grave, je peux avoir des pense-bêtes.
Il faut passer un nouveau cap.
Vivre avec l'envie d'en faire plus. Toujours.
C'est synonyme de magie.



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