jeudi 13 juin 2013

Trèfles.

Trèfles...
Par hasard, un autre lors de la balade de cette aprèm, pas par hasard puisque que dans le même coin qu'hier, plusieurs ce matin.
Et en deux endroits au boulot. Là, j'en ai offerts.
Mais il reste quoi ?
Quelle pensée magique, j'avais : le signe que si j'en trouvais, c'était le signe pour changer de vie.
Le mail du collègue parle de plusieurs possibilités.
Il y en a une intéressante, le sans solde d'un an. C'est pas con ça.
Il y en a une autre qui permet une rupture de contrat et une aide au retour à l'emploi mais comme l'employeur doit raquer, peu de chances, que cela se produise.
Et enfin la meilleure pour moi et l'employeur mais pas pour l'état, l'arrêt de travail. Un collègue d'un ami a été arrêté neuf mois à cause de son cou.
Neuf mois.
Je me demande si ça ne serait pas l'idéal même si tu as des chances de ne toucher que 50 % de ton salaire au bout de neuf mois.
Car il n'y a que l'absence de stress qui peut permettre la guérison au niveau du cou. La moindre connerie, et tu douilles.
Depuis trois jours, c'est la voiture qui fait mal. J'ai du mal à ne serait-ce que tenir des un texte en main et je n'arrête pas de lâcher des trucs.
La combo arrêt, sans solde, sur un an peut effectivement être la clé pour tenter une aventure de l'écrit, confortablement installé dans mon bureau qu'il faudra que j'adapte peut-être sur une ou deux choses.
En attendant, je ne vais pas perdre du fric à m'arrêter avant d'avoir un avis médecin. Je vais au boulot, pour ne quasiment rien faire, tant pis. Et là, je lis mon texte de théâtre ou des trucs qui serviront pour la culture générale et basta. Et quand j'ai trop mal, je me casse...
Je suis assez impatient d'être à demain pour le rendez-vous sur la saison de la Maison de la Culture parce que c'est assurément encore plus de spectacles que je verrai l'année prochaine.
La télé, je ne la regarde plus en direct (des semaines que Canal déconne en direct lorsqu'il est en crypté et je m'en fous, je fais plus que du à la demande), donc je n'ai aucune contrainte de temps.

Oui, je vois bien l'année prochaine avec des choses en plus dans le mois : séances de yoga à plusieurs, une soirée de dégustation par mois, deux soirées poésies, et peut-être rejoindre le groupe des vendredistes au théâtre...
Tadadadaaaaa. En plus du mercredi bien sûr, sans compter la nécessité pour moi de monter une pièce que j'aurais écrite.
Trèfles.
Trèfles nombreux.
C'est un signe. Non, des signes.
Et je retiens aussi la courte session de ce soir (raccourcie par le pot que j'ai offert au début, mais tant pis, il le fallait et ça m'a fait grand plaisir)... Dans cette session, on a joué les scènes qu'on n'a pas eu le temps de jouer la semaine dernière et il y a une scène où je ne dis rien mais où je dois craquer. Je suis parvenu à faire monter les larmes, en vrai. Ce qui est un plaisir sans nom. Ce n'est pas forcément évident de pleurer sur commande.
Je vais adorer jouer ça sur scène. Et espérer qu'on puisse rejouer cette pièce facile à remonter à l'occasion.

La page du jour, sinon :




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