lundi 9 novembre 2015

Calme.

J'ai tenté : aucun anti-douleur aujourd'hui.
Enfin, en gros, ça veut dire : pas de doliprane.
Hum.
Heureusement que j'avais jeu de rôle l'après-midi et que ça permet de s'échapper de son corps (même si je me suis moins échappé que d'habitude parfois).
Heureusement que mon scénario reposait sur une idée très à la con (des zizis qui parlent, des personnages qui doivent convaincre des pnjs d'avoir aussi leur zizi qui parle et ensuite de participer à une sorte de partouze / rituel de magie sexuelle pour créer la Mère Cosmique des wiccans féministes).
http://www.lapagedujour.net/novembre2015/neufnovembre2015.htm
Mais une fois passée la partie ou l'idée du scénario... la banane, elle est forcément moins vive.
Je dois avouer que je ne sais pas si je pourrai dormir avec le niveau de bobo que j'ai en écrivant ces lignes.
Je vais m'en remettre au baume du tigre pour un coup de frais et tromper les sens.
Y a mon estomac qui fait la gueule et qui en a marre du doliprane de toutes les manières.
Plus que quelques heures avant de savoir si j'attends encore une semaine ou deux (au pire, je veux bien encore attendre une semaine) ou si on fait quelque chose direct au sujet de toto (non mais, faut bien lui donner un nom).

Calme.
Souffrir, c'est un des chemins vers la plénitude. Tu peux comparer l'état de souffrance et de plénitude, il paraît, mieux avoir conscience de quand tu es bien.
Et banane.
Banane, pitin.

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