mardi 24 novembre 2015

Allô, docteurs ?

J'attendais des résultats directs de la radio ce matin. Eh ben non, j'ai quelques jours à attendre.
J'attendais rien de spécifique du docteur de la douleur qui était prêt à me faire tester une drogue avec un niveau de morphine qu'on donne aux mamies mais j'ai dit non. Moi, la drogue, c'est juste l'alcool ou le manger. Ceci dit il a renouvelé le truc qui fait du bien et il m'a confirmé le fonctionnement normal et logique de mon cerveau qui arrive à oublier la douleur quand il se livre à une activité plaisir ou passion.
J'attendais rien non plus de spécifique de l'Orl qui a bien confirmé que j'ai pêcho la maladie de la griffe du chat et qui a aussi insisté sur le risque (50 %) qu'il me sectionne le nerf du menton vu là où est situé le ganglion. Alors, le ganglion il a comme job de se finir tout seul (avec un antibiotique spécifique pendant 7 jours). Il a le choix de deux façons : proprement sur quelques semaines ou bien crade avec fistules et suppuration (sur plus de semaines).
Heu. Si possible, je préfère la première option. Le malus psychologique de se balader avec un ganglion a été lourd en plus des trucs secondaire, là, maintenant que c'est vachement plus résorbé, je peux sans problème être sur scène sans avoir la gueule d'un mutant.
La preuve :
Niveau bobos...
Psychologiquement, ça tient en gros, mais je reste un borderline. Un accident de câble qui déconne fortement sur le décodeur a failli me faire basculer (la moindre contrariété me rend fou, puisque j'ai à gérer déjà pas mal dans ma tête, j'ai peu de capacité à supporter du coup les ennuis du quotidien)
Physiquement, c'est un peu plus raide depuis l'accident.
Mentalement, c'est pas encore ça, je me laisse la semaine avant de relancer la machine à écrire.
L'avantage a été que j'ai eu que des bons docteurs aujourd'hui, tous sympas et que j'ai même le nom d'un acupuncteur, le seul truc que je n'ai pas encore vraiment essayé sur la gestion de la douleur.

Hum.
La vraie question pourrait être : QUEL est le petit enfoiré de félin responsable de mon état ? Un de ceux des parents de ma femme ? Un chat italien ? Ou, plus probablement, même si ma femme ne le pense pas, un des nôtres ?
Je n'en sais rien.
Ceci restera un mystère. C'est beau les mystères.
Le temps plus que long à être bien malade aura mis mon cerveau à profit et m'aura permis de découvrir qu'on peut tout pardonner à ces petits salopards.
Bref.
La page du jour, tiens :
http://www.lapagedujour.net/novembre2015/vingtquatrenovembre2015.htm


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