lundi 16 janvier 2017

Chronique rôliste...

Cette chronique ne sera que jdr.
Mais comme j'ai eu l'occasion de faire deux excellentes parties ce week-end avec tout, du rire et des émotions, je rends hommage à tout ce temps consacré et à ce loisir qui reste, avec le théâtre, mon hobby préféré (oui, oui, avant les séries télés ou la lecture, même).
Deux caps en matière de jdr pour moi, donc...
Celle de décider d'assumer de regreffer mes deux jeux fétiches sur mon jeu fétiche du moment, histoire de mettre sa race au manque de temps.
Et tant pis.

La preuve, dans la page du jour.
http://www.lapagedujour.net/janvier2017/seizejanvier2017.htm

Le background de la Terre étant quasi zéro dans Torg, que ce soit le monde de Necessary Evil qui soit envahi ne change pas grand-chose et que la réalité ait a ce point été changée dans le monde de Necessary Evil pour qu'il y ait apparition de la magie de Shadowrun n'est pas gênant non plus.
Enfin...
Quand on est un maître de jeu tel que décrit dans la page du jour. L'introduction en tout bien tout honneur d'un de mes plus gros pnjs fétiches en sommeil depuis très longtemps a été un déclic. Elle avait servi de déclic, ce personnage, il y a près de 25 ans quand je l'ai créée dans le monde de Shadowrun.

Deuxième cap, en joueur, avec mon brave nain de warhammer et son godemiché du chaos qui est allé jusqu'à tuer une démonette de plaisir rien qu'en la niquant (alors que dans le jeu, c'est l'inverse qui aurait dû se produire).
Le pinacle des exploits d'un champion nain qui ne pourra jamais raconter son exploit qu'à ses trois camarades d'aventure (le quatrième, un prêtre un peu intégriste n'étant pas là) et à son nouveau copain nécromant (qui semble à même de pouvoir lui rendre service dans le futur).
Ça ne m'était pas souvent arrivé en tant que personnage joueur de rendre une telle monnaie de sa pièce à un adversaire qu'on ne peut pas affronter par son arme principale : la fesse.

Du fait du côté chair et sang de Warhammer, c'est autrement plus un exploit que dans un classique médiéval fantastique.
La chair, la sueur, la crasse, la bile et le sang était au rendez-vous, sans compter d'autres fluides corporels et la capacité de traiter avec un fabriquant de zombies.
Mon nain va bien me manquer quand on fera une pause après la fin de cette campagne. Je n'avais jamais eu l'occasion de m'amuser autant avec un prétiré et un associal (qui a fini par le devenir un peu social, enfin, afin d'assouvir une curiosité simple au départ en matières de vins et de femmes).


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