vendredi 31 mai 2013

karma

http://www.lapagedujour.net/mai2013/trenteetunmai2013.htm

Karma is a bitch.
It ain't exist.

:)
Excellent spectacle vu ce soir : Please Kill Me.
Gros bémol, ma femme mal placée.
Demain Paris pour rhumatologue.
Et je serai sous charbon pour supporter mes intestins.
Tadaaaa.

jeudi 30 mai 2013

La Déesse

Moi, être malade, ça me fait sortir des ressources :
La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/trentemai2013.htm

La Déesse

Lorsque je rentre dans le corps de la Déesse...
Lorsque je bois l'invisible en son sein...
Lorsque je l'entends chanter l'univers...
Lorsqu'elle me touche de ses mains...
Lorsqu'elle ouvre mes yeux sur le monde...
Lorsqu'elle me demande de respirer...
Lorsque je sens son souffle sur mon visage...
Lorsque je prie si fort pour la rejoindre...
Lorsque mon âme s'envole enfin vers elle...
Je sais qui je suis, je sais où je vais...
Je sais la nature de l'univers et la grandeur de l'homme.
Je sais le mystère des anciens et la petitesse de l'homme.
Je sais quel est mon chemin vrai...
Mais je ne le chante pas aux hommes.
Mais je ne le raconte pas aux foules perdues.
Mais je ne suis pas le prophète qu'ils attendent.
Mais je ne veux pas être leur messie...
Car il n'y a qu'une manière de rejoindre l'univers.
Car il n'y a qu'une façon d'embrasser la Déesse.
Car il n'y a qu'un moyen pour toucher la lumière.
Car il n'y a qu'un chemin pour chaque personne.
Qui suis-je moi pour décider pour les autres ?
Qui suis-je moi pour détenir la vérité absolue ?
Qui suis-je moi pour condamner les infidèles ?
Qui suis-je moi pour refuser les autres chemins ?
Méfie-toi de ceux qui détiennent la vérité.
Méfie-toi de toi-même si tu crois la tenir.
Méfie-toi de l'orgueil qui te fait croire élu.
Méfie-toi du mensonge où tu aimes te bercer.
Il n'est nul songe des hommes qui ne valent pas les tiens.
Il n'est nulle pensée des sages qui ne valent pas les tiennes.
Il n'est nul besoin de croire en un invisible cosmique.
Il n'est nul besoin de croire en une farce comique.
Il n'y a que toi, toi et ta vérité.
Il n'y a que toi, toi et ton chemin.
Peut-être que la Déesse n'existe pas...
Peut-être que rien du tout n'existe...
Mais les yeux ouverts sur ton chemin...
Mais tes pas résonnants sur ton chemin...
Habillé de la lumière de la sagesse...
Habillé du manteau de l'intelligence...
Tu peux sourire et ouvrir grandes les mains.
Tu peux sourire et ne plus avoir peur de demain.
Car tu sais, tu sais, tu sais, tu sais...

Car tu es, tu es, tu es tout ce que tu sais...  

mercredi 29 mai 2013

Lorec

En un, la page du jour :
En deux, Pouf, ce que j'ai écrit pour le prochain perso pour Pathfinder.
Il me plait bien le cong.
Et sinon ? Sinon arrêté deux jours : Gastro. Mais l'ibuprofène fait assez des miracles sur les maux de crâne.

Je suis...
Oh qui je suis se voit sur le visage ou dans les habits...
Qui porte du noir et du blanc de nos jours ? Un côté blanc, un côté noir.
Qui porte le symbole de son dieu sur son tabard ?
Sans compter à même la peau. Une marque de naissance, commune chez les Varisiens, mais si commune de cette taille là.
Je suis un prêtre de Sarenrae. Bientôt prêtre mage. Mes domaines de prédilection sont la gloire (et plus particulièrement l'héroïsme) et le soleil.
A l'origine, je me destinais à une carrière de magicien et même plus particulièrement de devin. Mais un petit souci à l'université où j'étudiais il y a quelques années a changé mon profil de carrière.
Lors de cet incident, plusieurs étudiants moururent et je rencontrai Yshent, ma femme, qui m'adjoignis de soigner un des disciples du professeur Lorrimor et de faire usage des dons qui étaient en moi, que je portais de part ma marque de naissance...
Ce que je fis à mon grand étonnement.
Nethys choisit deux types d'individus pour le servir. Les mages et les prêtres. Avec un peu de travail, ils peuvent même devenir théurges mystiques. Ce qui est un peu mon but en dépit du fait que ça soit Sarenrae qui m'ait aidé dans mon combat il y a quelques années contre ces créatures mortes-vivantes. Je ne désespère pas de maîtriser les rudiments de la magie après avoir passé tant de temps à étudier. Mais qui sait de quoi l'avenir est fait ? Peut-être que je devrai me contenter seulement des bras de ma déesse.
D'où je viens ?
Mes deux parents sont membres de la société des éclaireurs, avec chacun un enfant de leur côté, d'un premier mariage. Ma mère est elfe et magicienne, elle a eu besoin de mon père un peu avant ma naissance. Mon père est un varisien de pure souche et maggus, et il a bien tenté de m'enseigner les rudiments de l'épée et de son style quand j'étais à Absalom mais ils étaient beaucoup appelés à voyager pour le compte de leur société et je dois avouer que j'ai toujours préféré les armes plus légères.
Décision fut donc prise donc de m'envoyer étudier auprès de mon oncle, Fednar, un magicien et un prêtre de Nethys lui aussi, et surtout un ami du professeur Lorrimor. Fednar aurait préféré que je choisisse Nethys. A vrai dire, je me serais bien contenté d'être simplement prêtre, sans obéir en particulier à un Dieu. Ça m'aurait permis de pouvoir rendre hommage plus souvent à Desna et Shelyn qui ont les faveurs de mes parents, Néthys qui a les faveurs de mon oncle.
Mon oncle est sorti meurtri de cette attaque de l'université par des forces morts-vivantes. Il a perdu une élève qui était devenue sa fiancée.
Pour le reste, je ne sais quoi trop dire.
Mes passions ? La chiromancie, tirer les cartes, la magie, les mystères du monde et des dieux et puis ma femme.
Ma femme qui n'est là que pour moi, que personne ne voit, mais peu importe. Il est peu de choses aussi importantes que l'amour en ce monde, même s'il est invisible ou le fruit d'une imagination torturée.
J'aime les substances récréatives, soigner mon apparence et collectionner tous les portraits ou icônes dédiés aux cultes de la magie, une lubie acquise lorsque je croyais que j'allais me consacrer à Néthys.
Mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus important, pas vrai ?
Mes aversions ? Les chiens. J'ai été mordu, j'en ai vu un mort-vivant dévorer un étudiant. Je n'aime pas les chiens. Je n'aime pas non plus les morts-vivants intelligents ou disons ceux qui pratiquent l'art de la nécromancie à des fins impies. Je n'ai rien contre le fait de la pratiquer, mais il faut se départir du chemin du mal quand on l'utilise. Les morts-vivants doivent rester des serviteurs stupides n'obéissant qu'à la seule volonté de leur créateur.


Le soir tombe sur les bâtiments en pierre de taille de l'université.
Je songe à cette fille qui est arrivée il y a une semaine à l'université. C'est une cousine de Shayla, la tendre amie de mon oncle Fednar.
Je n'ai eu l'occasion de croiser son regard que deux fois, mais il est certain que j'ai reçu quelque chose de la bénédiction de Shélyn. Demain, je demanderai au professeur Lorrimor qui est cette fille et ce qu'elle étudie.
Le professeur Lorrimor, il m'a demandé de me consacrer sur l'étude de la religion. Bizarre... Je comprends la nécessité d'avoir à se renseigner sur les dieux mais pourquoi n'en vénérer qu'un ?
J'entends des cris. Encore des étudiants en train de faire la fête. Les tavernes ne désemplissent pas à côté de l'université. Je dois avouer que j'ai moi aussi donné dans quelques-unes de leurs soirées mais pas ce soir, non, pas ce soir. Et depuis que j'ai vu cette fille, je ne ressens pas le besoin d'aller m’encanailler. Et puis l'alcool peut faire faire des choses qu'on regrette plus tard. Je ne regrette pas d'avoir perdu ma virginité avec Arielle... Mais lequel d'entre-nous ne l'a pas fait ?
Arielle, c'est... oh, comment dire. Il n'y a que le professeur Lorrimor qui ne lui soit pas passé dessus. C'est peut-être sa manière à elle de faire accepter à tous son statut de demi-elfe dans ce pays assez peu porté sur l'accueil aux autres races.
Un autre cri. Celui d'Arielle, strident. Je regarde mon chat, il s'est caché sous le lit. Si un jour je suis magicien, c'est un familier chat que j'aimerais avoir. Mais il parait que Néthys ne dispense pas forcément ce que l'on veut mais ce qui doit être.
D'autres cris et un "A l'aide"...
Je vais à la fenêtre. Ma vision est plus claire que celles de mes collègues étudiants, le sang demi-elfe, bien sûr.
J'aperçois un chien penché sur l'abdomen d'une étudiante et plusieurs jeunes gens qui semblent fuir des individus décharnés dont la peau semble tomber en lambeaux en certains endroits.
Mon cœur se met à battre à la chamade et je sens ma gorge s'assécher.
Un grattement à la porte, un bruit sourd. Un cri dans le couloir, plus qu'un cri : un râle.
"Ouvre-moi ! Lorec ! Ouvre-moi ! "
Je saisis l'arme offerte par mon père et ouvre brusquement la porte.
Elle est là, apeurée, la fille dont j'ai croisé le regard, elle a quelque chose de brisé dans le regard. Derrière elle, un zombi est en train d'arracher la jambe d'une jeune fille. Elle pose la main sur ma poitrine, sur ma marque de naissance, il n'y a que ça qu'on remarque lorsque je suis torse nu.
" Fais appel à la Déesse ! Libère le Soleil et le feu ! " Implore-t-elle.
L'espace d'un battement de cils, les cheveux roux de la jeune femme s'enflamment. Je sens une immense chaleur m'envahir.
"Repousse-le ! Repousse-les !"
Elle se glisse derrière moi. Le zombi a arraché le visage d'une jeune étudiante aux cheveux roux. La même couleur que celle de la jeune fille apeurée.
Derrière moi, je sens le souffle chaud de la jeune fille sur mes cheveux. Je devine la force de la vérité. La lumière de sa vérité, une larme coule de mon œil droit, je n'avais jamais su pleurer de l’œil droit.
Je tends la main.
"Repousse-le ! Repousse-les !"
Ma main devient lumière puis feu. Ma vision se trouble et je remarque le zombi qui s'écroule... Je n'ai pas le temps de réaliser ce que je viens de faire qu'elle me prend par la main et m'emporte à travers les couloirs.
Nous descendons des escaliers, traversons un couloir, un homme est écroulé au sol, gisant dans son sang, un peu plus loin un soldat bataille contre un zombi.
"Sauve-le !" Fait la jeune fille.
- Quel est ton nom ? dis-je presque dans un soupir.
"Yshent ! Sauve-le !" Elle tend le doigt vers la poitrine en sang du pauvre homme. Je regarde le soldat, il semble avoir le dessus pour l'instant sur la créature, par une porte ouverte, j'aperçois dehors un chien décharné dévorer les entrailles d'Arielle.
J'inspire, je laisse encore couler la lumière...
Mes mains deviennent ambre et argent. La plaie de l'homme se referme. Je reconnais son visage, c'est Ezvéguan, un des disciples du professeur Lorrimor.
"Le chien ! Le chien !" Hurle alors Yshent.
Je vois la bête immonde, tripes et sang mêlés à l'écume grise de ses babines qui fonce vers le soldat.
"La lumière ! Encore la lumière ! " Hurle Yshent.
Ma main se tend presque malgré moi : feu, ambre, or, argent, rouge, jaune, toutes les couleurs du feu et des flammes... Le chien hurle, je l'ai blessé. Mais ce n'est pas suffisant. Il saute sur le soldat. Ce dernier encaisse le coup grâce à sa cotte de mailles. Je reconnais maintenant son visage, Nevis, un des hommes d'arme souvent employé par le professeur Lorrimor lorsqu'il part en expédition...
La main droite d'Yshent enserre mon poignet pendant qu'elle se love contre mon dos, sa main gauche se pose sur ma poitrine...
"Sarenrae ! Honore la Déesse ! Finis la bête !".
Toutes les couleurs du feu jaillissent encore de ma main. La bête se déchire de douleur, laissant le temps à Nevis de lui abattre un coup fatal sur la tête...
Le soldat se retourne ensuite sur le zombi qu'il vient d'occire pour vérifier que ce dernier ne bouge plus puis il m'ordonne :
- Vite, aide-moi à emporter le professeur Ezvéguan !
Mon corps n'est plus que lumière, je ne sens plus ses limites, je n'ai plus d'odeur, plus de souffle, plus de douleur. Je saisis l'homme par l'épaule, Nevis en fait autant et nous courons vers une pièce en hauteur pour le cacher...
Le temps que nous montons le faire, la cavalerie arrive. Un inquisiteur, plusieurs guerriers, deux prêtres et un magicien. Les zombis sont éliminés très rapidement.
Je reprends mes esprits. Un prêtre me félicite.
" Bravo, petit ! "
Merci, je lui fais. Merci. Merci, oui... Je regarde autour de moi, pas de traces d'Yshent.
Le compte des victimes se fait pendant que, hagard, je la recherche...
Trois professeurs et sept étudiants, dont Shayla, la protégée de mon oncle. Douze victimes, car deux étudiantes manquent à l'appel... Trente morts-vivants dont une entité supérieure qui les dirigeait. Un vampire peut-être. Les prêtres restent vagues.
Pris d'une intuition soudaine, je remonte dans ma chambre. Yshent est là, caressant mon chat, un étrange jeu de cartes, que je n'ai jamais pratiqué jusqu'à présent, est posé sur le lit.
Je souffle.
- Tu ne descends pas pour indiquer que tu as survécu ?
- Je ne fais pas partie de l'université. Ou du moins, plus partie...
- Pourquoi ?
Elle me sourit, les rayons de lune traversent ses cheveux qui prennent un court instant la couleur des flammes...
- Parce que maintenant, je suis avec toi...

Voilà, c'est comme ça que j'ai connu celle qui allait être ma femme.
Ce qui est un peu étrange, c'est qu'elle n'a jamais vraiment tenu à rencontrer mes autres amis. Elle a toujours déclaré n'être là que pour moi.
Je sais bien que certains ont dit qu'Yshent était morte dans mon couloir ce soir là et qu'elle ne portait même pas le nom d'Yshent. D'autres ont raconté qu'elle faisait partie des disparus.
Mais qu'importe, chaque matin quand je prie, elle est là. Chaque soir quand je me couche aussi. Et dès que j'ai un instant seul, elle est présente. C'est elle qui me fait tirer une carte chaque matin. Parce qu'on ne sait jamais quel coup du destin frappera dit-elle. C'est également elle qui nous a marié.
Et chaque fois que j'ai besoin d'appeler la déesse, elle est là, derrière moi, posant sa main sur ma poitrine.
C'est elle aussi qui m'a dit de ne pas abandonner ma carrière de devin. Je devais juste comprendre les dieux d'abord.
Je n'ai parlé d'elle qu'au professeur Lorrimor qui a eu la gentillesse d'accepter cette étrange union et qui a accepté d'intensifier mes cours en ce qui concerne la religion et la connaissance des morts-vivants.
L'ennemi. L'ennemi que je hais absolument...


mardi 28 mai 2013

Pas mieux.

http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingthuitmai2013.htm

TOUTE la journée.
TOUTE.
Le mal de crâne.
L'horreur ce matin.
Le je m'en fous cette aprem tellement j'étais mal de ne pas aller au boulot.
Le rage de chez rage maudite de ne pas pouvoir aller au repas avec les gens de Salem.
Mais le mal de crâne à ce niveau là, il te contrôle sur tout.
A demain.

lundi 27 mai 2013

La carac qui plait le plus.

La page du jour.
http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingtseptmai2013.htm

Et la même hypothèse d'école.
Vous avez le droit, béni par les dieux, d'être assez bon dans deux trucs, bons dans deux et très bons dans deux derniers, quel serait votre choix premier avec un miracle divin ou génétique ?
Certainement que je prendrai en très bon le charisme et la sagesse, en bon l'intelligence et la constitution et en assez bon la force et la dextérité.
Alors que si on me donnait deux super pouvoirs, étrangement, je ne sais pas.
Je prendrais plutôt la super force et la super constitution pour le fun.
Qui ne préfère pas être le mec qui soulève des tonnes et encaisse tout au rat de laboratoire avec un super charisme ?
Hu hu hu.
Mais passons.
Et si le choix était unique. Un seul.
Ah la la la. Etre super fort ou super résistant ?
Eh ben, non, tant qu'à faire autant être super charismatique pour changer les opinions ou le monde, non ?

Le jeu de rôle, c'est vraiment une activité de psychopathe, pas vrai ?



dimanche 26 mai 2013

Oui, oui, oui...

La page du jour, certes :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingtsixmai2013.htm

Et une vraie question finalement...
Vous avez 15 points à foutre et un +2 gratuit à rajouter où vous voulez, mais de base dans la caractéristique la plus haute, sans déconner)
8 = faible (coût -2)
10 = Moyen (coût 0)
12 = Assez bon (coût 2)
14 = bon (coût 5)
16 = très bon (coût 10, 5 avec le +2 gratuit)
18 = excellent (coût 17, 10 avec le +2 gratuit)...
20 = extraordinaire (coût 17 avec le +2 gratuit)
Vous avez six caractéristiques à prendre en compte... Vous préférez quoi ?
Vous seriez quoi ?

Préférer, je pense que dans l'idéal assez bon partout (10 points pour cinq 12), c'est tentant en rajoutant un très bon (un 14, coût 5, passé en 16 avec le +2) en charisme, intelligence ou sagesse.
Le créneau Force, Dextérité et Constitution moyenne colle aussi avec bon en intelligence et sagesse et très bon en charisme.
Mais grand est le fantasme d'avoir un truc extraordinaire, un truc faible et quatre trucs moyens. Qu'est-ce que vous accepteriez de faible en vous et que vous voudriez extraordinaire ?
La dextérité ou la force, personnellement, faible, je pense qu'on peut faire avec.
Et en ce qui concerne le très haut attribut, les quatre autres sont intéressants. Une constitution de folie pour ne jamais être malade, un charisme incroyable pour briller en société, une sagesse incommensurable pour le sixième sens, percevoir et résister, une intelligence monstrueuse pour découvrir de nouveaux horizons.

Et si je devais appliquer ces 15 points sur moi, ça donnerait quoi ?
Rien en Force, rien en Dextérité, rien en Constitution, certainement pas plus de 12 ou 14 en Intelligence, resteraient donc un 16 et un 14. On aimerait bien voir le 16 en Charisme quand je suis sur scène, pas vrai ?
On aimerait mieux...
Bêtise.
Mais jolie hypothèse d'école.
Que serait le monde si on avait tous le choix de qui on serait à l'âge adulte.

samedi 25 mai 2013

Con

pas mieux.

http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingtcinqmai2013.htm

Et si, je relaie aussi ici l'annonce du marathon.

SOMEWHERE… LA MANCHA 
d’Irina Brooks
Par le groupe des Adultes du Jeudi
JEUDI 20 JUIN à 20h30
Salle Familia - route de la Chapelle - 18000 Bourges

J’AI TOUJOURS RÊVÉ D’ÊTRE UN GANGSTER
de Samuel Benchetrit
Par le groupe des Adultes du Vendredi
SAMEDI 22 JUIN à 20h30
Salle Familia - route de la Chapelle - 18000 Bourges

SOMEWHERE… LA MANCHA
d’Irina Brooks
Par le groupe des Adultes du Jeudi
VENDREDI 28 JUIN à 20h30
Cour des Remparts - 18130 Dun-sur-Auron
SAMEDI 29 JUIN à 20h30
Enceinte de la Mairie - 18340 Plaimpied-Givaudins

L’HISTOIRE DU COMMUNISME RACONTÉE AUX MALADES MENTAUX
de Matéi Visniec
Par le groupe des Adultes du Mercredi
DIMANCHE 30 JUIN à 17h30
Salle La Tibauderie - rue André & Edouard Michelin - 18230 St Doulchard

TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU SAVOIR SUR LE THÉÂTRE SANS JAMAIS OSER LE DEMANDER
Création MALELUKA
Par le groupe des Enfants
MARDI 02 JUILLET à 20h30
Salle Familia - route de la Chapelle - 18000 Bourges

J’AI TOUJOURS RÊVÉ D’ÊTRE UN GANGSTER
de Samuel Benchetrit
Par le groupe des Adultes du Vendredi
MARDI 02 JUILLET à 21h00
Salle Familia - route de la Chapelle - 18000 Bourges

L’HISTOIRE DU COMMUNISME RACONTÉE AUX MALADES MENTAUX
de Matéi Visniec
Par le groupe des Adultes du Mercredi
MERCREDI 03 JUILLET à 20h30
Salle Familia - route de la Chapelle - 18000 Bourges


Sinon ? j'ai cru que j'avais une gastro.
J'ai mangé des bons gâteaux orientaux.
La conférence sur l'émir Abdelkader était sympa.
Ce blog pue.
J'ai fait une vidéo sur la lune en impro qui sent l'impro.
Je la revisionne demain avant de voir si je balance ça sur youtube.

vendredi 24 mai 2013

Mêêêêêê

http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingtquatremai2013.htm

J'ai lu sur la vie de Jésus dans Géo-Histoire.
Je suis assez surpris que la thèse mythiste y soit si bien réfutée.
Personnellement, j'ai vraiment du mal à croire à autre chose qu'une belle fumisterie vu les arguments apportés par ceux qui y croient.
Mais passons.

J'ai lu le premier chapitre du Feu d'Henri Barbusse. De la poésie quasiment.
Je vais essayer de le lire pour la prochaine vidéo youtube, tiens...

Et sur Henri Barbusse, une vidéo à ne pas manquer.
http://www.cinearchives.org/Films-447-227-0-0.html

Ah bazar...

jeudi 23 mai 2013

Clair.

Mal au travail, tant pis. Quatre heures ou plutôt trois heures 40, c'est un peu trop pour mon dos.
Mal à ma dent qui je devrais soigner depuis des mois : ma faute.
Mal à la compagnie parce qu'un crétin nous lâche. Le couillon, explications à la con pour ne pas jouer et vraiment, vraiment pas forcément de sa faute si on se doit de considérer un handicap social.
Mal de dire crétin. C'est à la limite même pas de sa faute, je savais juste pas qu'en plus d'un handicap moteur léger, il avait un handicap mental / social léger.

Bien dans l'adversité, avec ceux qui restent au théâtre.
Bien avec les collègues, c'est juste ne pas supporter la douleur provoquée par le boulot, au boulot.
Bien avec le fait qu'on va jouer le dimanche la pièce sur les malades mentaux.
Bien avec l'idée de devoir se dépasser pour le rôle.
Bien avec l'anniversaire de Cécilia qu'on va faire dimanche un peu à la maison.

Bien aussi qu'une connaissance soit appelée à de plus hautes responsabilités au niveau de la culture de Bourges.

La page du jour sinon :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingttroismai2013.htm

Et une impro :


Le cheval s'arrêta.
Il but l'eau.
Il but trois fois.
Il but toute l'eau.
Le cowboy fut comme un con. Il ne lui restait plus que du whisky pour boire.
Le cowboy but le whisky.
Il but trois bouteilles.
Il but toute son eau de vie.
Et cowboy et montures repartirent, vers la prochaine ville, vers le prochain saloon, vers la prochaine vie.
Là-bas, au loin, il y a toujours plus d'eau et de whisky.
L'indien soupira.
Il tira trois bouffées de son calumet.
Et il vit trois esprits lui sourirent.
Les indiens ne sont pas comme les cowboys et les chevaux. Décidément... 

mercredi 22 mai 2013

Théâtre.

Hum.
Les signes.
Un con de 18 aux dés avec trois dés.
Les signes.
La douleur quand je fais autre chose. La douleur que je supporte quand je fais du théâtre.
Des signes.
Des connexions possibles.
Oui.

Le con de ne pas avoir commencé plus tôt. Le con fini.
Sinon, la page du jour :

http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingtdeuxmai2013.htm

Sinon, la rentrée, mais courte, j'avais rendez-vous chez le dermatologue.
Et il se fait pas chier le bougre, il ne m'a rien donné pour le psoriasis.
J'en ai pas en ce moment, mais je peux vite en rattraper avec le boulot.
Gniii.
On va essayer de ne pas en rechopper.
L'idée générale qui se dégage, c'est est-ce que mes 600 euros mensuels valent ma santé ?
Je ne suis pas sûr.


mardi 21 mai 2013

The crucible.

Après avoir vu "The Crucible" avec d'horribles choix de doublage sur certains personnages (je suis définitivement allergique à la VF) avec les gens du théâtre, j'ai enquêté sur la pièce de Miller. Je me suis procuré un pdf de la version de base.
Et quelle fut ma surprise de constater que ce qu'on joue en français n'est pas qu'une traduction mais bel et bien une adaptation...
Et quelle n'a pas été mon envie de jouer la pièce sans l'adaptation.
Marcel Aymé a rajouté de très beaux et lyriques moments et a supprimé étrangement des choses d'un autre côté.
Bizarre.
Du coup, je suis un peu frustré. Il aurait sans doute fallu rajouter Marcel Aymé sur l'affiche tellement la fin de l'acte 1 est celle d'Aymé et non de Miller par exemple.
Le titre américain de la pièce a sa justification en anglais, pas en français.

Hum.
Une page du jour dessus :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingtetunmai2013.htm

Et un autre lien à la con, dont je ferai une page du jour :
Tadaaaaaa.
http://www.easydamus.com/character.html
Je suis druide/sorcier humain de niveau 2 (m'étonne pas). Mes caractéristiques principales étant le charisme et la sagesse alors que c'est la constitution qui pêche.

Hum hum.


lundi 20 mai 2013

La demeure d'un Dieu...

Et ils s'échouèrent sur le rivage de l'île cannibale.
Ils étaient trois guidés par les seigneurs Loutre, Chat et Chien.
Ils étaient quatre guidés par le Chaos.
Ils rencontrèrent un guerrier qui allait perdre sa jambe, une esclave de plaisir, un jeune mousse, un pilote aguerri, un vieux loup de mer, un jeune scribe et une fille de marchand possédée par un démon. Sept prisonniers comme eux plus le démon. Huit, le chiffre du chaos, si ce n'était pas un signe.
Ils négocièrent comme des rois, sauvèrent tout le monde.
Ils n'écoutèrent pas l'agent de la loi venu récupérer la jeune fille pour un rituel terrible, ils n'écoutèrent pas les agents de Pan Tang, ils n'écoutèrent pas les naufrageurs cannibales.
Ils furent 14 à s'enfuir par le passage que leur avait enseigné le démon. 14 plus quatre naufrageurs.
Ils eurent de la chance, le sorcier envoyé par Pan Tang pour capturer la jeune fille possédé par le démon avait lamentablement loupé une rune.
Ils passèrent deux semaines dans la demeure du démon qu'ils avaient sauvé, un démon devenu un Dieu.  Ils apprirent les rudiments des runes et du haut parler.
Ils avaient un avenir tout tracé dans une grande et belle cité auprès du père de la jeune fille qu'ils venaient de sauver.
Ils avaient...
Assassin au sang froid, obligé de se nourrir de la mer.
Capitaine, au corps de brume, obligé de ne jamais porter d'armure.
Artiste à l'oeil noir qui perce les mystères des portails et voit la magie.
Spadassin à l'estomac et au sexe transformé par le chaos, ayant abandonné son esprit plutôt que son coeur.
Sorcier ayant abandonné tout port d'arme que ce soit.
Esclave en fuite, bénie par le seigneur des chats, affublée à jamais de la marque de son seigneur.
Guerrier regardant les étoiles, béni par le seigneur des chiens et affublé lui aussi de la marque de son seigneur.
Chasseur de prime, si loin de ses compagnons, et plus loin encore de sa compagne.
Huit.
Comme le chiffre du chaos.
La cité de Baakshan vous attend, vibrant de ses mille feux, scellant votre destin en même temps que celui du Dieu qui ne supportait pas de vivre dans les Jeunes Royaumes et qui détestait Pan Tang.

La page du jour, sinon :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/vingtmai2013.htm

dimanche 19 mai 2013

L'île d'un sorcier...

Sur l'île abandonnée au delà de tout destin et de toute frontière, il y avait un chat et un sorcier prisonnier d'un dieu poulpe.
Sur cette île abandonnée vinrent sept personnes, guidé par un disciple d'un dieu fou...
Le chasseur de primes qui veut retrouver sa fiancée...
Le spadassin qui sacrifie son esprit plutôt que son coeur...
Le capitaine qui sacrifie son armure plutôt que son épée...
L'artiste visionnaire qui se fait crever un oeil pour en acquérir un autre capable de plus de visions lorsqu'il choisit pourtant de sacrifier son oeil plutôt que sa main.
Le sorcier qui sacrifie son couteau plutôt que sa bite.
L'esclave en fuite qui découvre que l'homme et le sorcier sont en fait un dieu fou et le seigneur des chats.
Le guerrier nommé onze qui ne peut révéler à chacun toutes les vérités qu'il découvre dans les étoiles.
Dans l'île du sorcier, les héros brisent des sceaux, libèrent une rune et les prisonniers.
Et acquièrent, peut-être, la même capacité à rêver qu'à nager.

La page du jour, en attendant, tiens :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/dixneufmai2013.htm

samedi 18 mai 2013

Futur chauve sourit...



Si.
Ah ah ah.
Et sinon, j'ai bossé une revisite des règles de créations de Mournblade pour qu'il y ait tout le monde au même niveau.
Ma femme m'a fait un disciple de Meerclar, et j'ai sans doute intention d'en faire le patron principal de la campagne.
Ca fait quand même moins gras que la Loi et le Chaos...

vendredi 17 mai 2013

Deux liens...

La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/dixseptmai2013.htm

Et ça :
http://www.mcbourges.com/la-saison/les-spectacles/32-contractions

Une pièce que je suis allée voir ce soir sur les conseils d'une des jeudistes de Maleluka.
Eh ben putain, c'est souvent que je trouve au théâtre les femmes moins fortes que les hommes (mais elles n'ont pas souvent les rôles principaux), et là... hu...
Une mise en scène de folie.
Une justification totale à la mise à poil d'une des actrices.
Des gros plans vidéos des acteurs.
Et un jeu parfait....
Avec, cerise sur le gâteau, de l'humour noir à pas mal d'endroits.
Bravo.

Ma journée n'est rien en comparaison. Ah si. Quand même. Merci pour la répète Cécilia.

jeudi 16 mai 2013

Con fut cius ?

http://www.lapagedujour.net/mai2013/seizemai2013.htm

Ouais.
La principale chose de la journée.
Parce que sinon quoi ?
Continuer la lecture de Mournblade. Yoh. Ca donne envie de faire jouer.
Avoir mal au cou en me levant et souvent dans la journée.
Manquer de bien m'énerver auprès d'un des mercredistes qui a le très grand manque d'intelligence sociale d'être prêt à ne pas rentrer un jour plus tôt d'une semaine de vacances en mobil home (gratos en plus) si on peut jouer un dimanche.
Là, j'ai vu ma femme frémir et j'ai senti une grosse douleur.
Ma femme est prête à prendre son texte et sa scène s'il faut, s'il nous plante le dimanche. Tant pis.
Merde.

Sans compter les connards à son boulot qui sabotent les manières de bien faire.
Moi, c'est simple, je dis que rien ne vaut qu'on se tue au boulot.
Blesser, c'est déjà limite et pas bien.
La vie est courte.
Je pense d'ailleurs que j'angoisse de la reprise. Non qu'elle sera difficile au mois de mai, mais enfin, pour quoi faire si les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Nous ne sommes pas assez sévères avec les ados et c'est la merde.
Aide au devoir pas faire les devoirs.
Pitin.
Franchement, sans déconner...

mercredi 15 mai 2013

Houuuu, mais eeeeh...

Bon, pas de troisième des Sorcières, mais ça n'avait jamais été conçu comme ça, c'est plus une envie de tous, pas facile à mettre en place.
Bon, du temps un peu encore pour apprendre la pièce mais pas forcément les dates qui plaisent pour nous les credistes, enfin surtout à ma femme et surtout dans le fait qu'on joue deux jours de suite alors qu'on avait toujours eu une semaine de décalage...
La pièce où je vais devoir le plus donner de ce que j'ai jamais eu à donner, j'espère que ça ne sera pas devant seulement quarante personnes, ça serait vaguement frustrant. Mais l'année dernière, après tout, nous avons joué le jour des cent ans de la base d'Avord...
On est habitué à ne pas dépasser de trop les 70...
Ce que craint ma femme (je ne spoile pas les dates, on m'a demandé de ne pas le faire), c'est que ses parents ne puissent pas nous voir.
Ouais.
A voir.
Je donnerai les dates à ma môman demain et on verra.

La page du jour, c'est ça :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/quinzemai2013.htm

Et comment dire ?
Je me suis reposé aujourd'hui, j'ai continué la lecture de Mournblade pour tenter de faire jouer des gens assez vite. Il y a quelque chose de séduisant dedans, c'est la continuité d'un des rares jeux que je m'étais senti de faire en campagne.
Il faudra peut-être un jour que je regarde de plus près à relire une ou deux nouvelles d'Elric.

Bon sang.
Je suis moins déçu que ma femme, moi, ma peur c'était d'avoir à bosser tout ce qu'on va devoir bosser (particulièrement moi) et de ne jouer qu'une fois.
Il faudra au contraire tout donner.

mardi 14 mai 2013

Et les dents ?

Dentiste repoussé depuis des mois. Quel con je fais.
Première séance de kiné très bien. Je dois certes faire 20 minutes de voiture et trajet pour y aller, mais c'est mieux que l'andouille de St Germain qui prend deux personnes, voire trois en même temps. Si je vois un kiné, c'est pour être manipulé, pas passé sur un appareil électrique.
Grosse fatigue de début de semaine. Mais je sais que je paye un manque de sommeil la semaine dernière.
Décision irrévocablement prise : si j'ai mal encore dans quatre mois, je largue le boulot. Ca ne sera pas la peine de continuer en ayant la rage du boulot au boulot puisque c'est le boulot qui m'a handicapé.
Et encore. Je compte dans les quatre mois qui passent prendre deux mois sans soldes. Je ne vois vraiment pas ce que je vais foutre d'intéressant de début août à mi-septembre.
La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/quatorzemai2012.htm

Et quoi ?
Lecture de Mournblade, le jeu de rôle entamé.
Apprentissage du deuxième texte amorcé trop brièvement.
Fin de la série MI5 (Spooks) visionnée.
Ca me fait regretter d'avoir loupé deux ou trois saisons de la chose mais on peut dire que c'est un bon dernier épisode à l'anglaise et à la MI5.

Voilà.
Je vais pas étaler des états d'humeur.
Ca sert à rien.
On a que deux vies.
Dans la deuxième, j'aimerais moins me plaindre et plus vivre.

lundi 13 mai 2013

Oui, oui, oui...

La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/treizemai2013.htm

Les quatre derniers épisodes de la série Merlin, avec un sympathique final.
Et puis quoi ?
Pourquoi parler de la grosse fatigue qui est toujours là ?

Un chemin de plus en plus clair au fond de l'âme.
Mais j'attends la fin du mois de mai pour décider.

dimanche 12 mai 2013

Back home.

Des jours sans soldes, le salaire un peu diminué.
Une grosse fatigue.
Un bide en vrac.
Ouais, ouais, ouais...
Et toujours la pensée de Confucius dans la tête :
Bref.
On est mieux quand on est loin des problèmes même si chats et chien, c'est bien de les retrouver.
Je n'avais pas les ressources pour faire jouer ce soir.
Grosse fatigue qui n'a pu trouvé son content pendant le séjour à Guérande.
Il reste une semaine pour rattraper.
Et encore...
J'ai deux autres jours de travail en mai qui risquent de sauter parce que je dois aller voir le dermatologue et le rhumatologue (à Paris pour le dernier).

Hum.
Page du jour tiens.
Et ne pas penser à ce qui fâche.
http://www.lapagedujour.net/mai2013/douzemai2013.htm

samedi 11 mai 2013

Guérande,jour 5

Bon. C'est fini.
Alors, on aura vu des beaux villages.
Une belle claque à Piriac sur mer, le matin après un temps de lecture consacré à Partie de Chasse (un peu longuet dans l'exposition des personnages).
http://www.piriac.net/
De très jolies maisons, on est même tombés amoureux de la même maison et on s'est fendus de faire la queue (une tradition locale) dans la bonne boulangerie du village après avoir bu des cafés pas dégueulasses et s'être renseignés sur quelques bières pression.
L'après-midi, une balade dans la campagne (en répétant des textes pour moi) et un petit saut à la Roche-Bernard qui vaut beaucoup pour sa vue et son petit quartier des artisans (et le trèfle que j'ai trouvé après un bredouille d'hier).
http://www.laroche-bernard.fr/
Tarot pour une troisième fois des soirées de nos vacances. J'ai mal encaissé (au décompte des points, pas à l'humeur) les garde-contre de mon partenaire (qui prenait avec rien pour être avec moi) mais comme on joue pour déconner, c'était bien cool.
Soirée crêpes, mais à la maison et force est d'avouer que l'andouille de Guéméné se marie bien avec les crêpes, cong.
Enfin bref.
C'est fini.
Il me reste une semaine pour récupérer le manque de sommeil et la route.
Ça devrait éventuellement le faire. Je constaterai mon état d'humeur à la rentrée de toutes les manières.
Je constaterai.
Les lèvres écumes et la bile un peu amère.
Ou pas.
L'idée de la deuxième vie commence vraiment de plus en plus à faire son chemin.

La page du jour, au fait :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/onzemai2013.htm


vendredi 10 mai 2013

Guérande, jour 4

Je suis un peu une loque humaine.
Grosse fatigue et pas récupéré encore de cette carence et de la fatigue du week-end.
La page du jour est là :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/dixmai2013.htm

Le bilan de la journée est plutôt comme cela :
- Réciter son texte des sorcières en baladant sur un chemin avec la soeur de Clarisse et son fils.
- Faire quelques courses le matin dans un autre village côtier avant d'échouer à pied à Terre de Sel bien trop peuplé pour moi.
- Petite balade sur les remparts de Guérande, bien trop courte, en fin d'après-midi.
- Repas dans une crêperie qui n'est pas mal, qui a un patron bien sympa, mais les crêpes ne sont pour moi pas assez cuites. Le patron a cela dit eu le mérite de me faire réfléchir à la Nouvelle-Calédonie et à mon désir d'y retourner.

Un autre compliment sur ma voix, par mail. Et une tentative d'auto-hypnose cette après-midi en marchant sur le chemin. Si un timbre particulier captive, c'est qu'il peut être utilisé pour soigner...
Chanter, peut-être, un jour.
Trouver ses mantras.
Vibrer en écho avec tout ce qui constitue nos poussières d'étoiles.
Fatigué mais de plus en plus perturbé par cette pensée de Confucius remarqué dans un bar.
Nous n'avons que deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on en a qu'une.
C'est commencer la deuxième qui se fait poindre salement.
Oui, ma brave dame.
La deuxième, débarrassée de tout ce qui emmerde de trop et enveloppée de tout ce qui donne la passion ou l'énergie.
Mazette.
Est-ce possible ?


jeudi 9 mai 2013

Guérande, jour 3

Guérande le matin.
On constate : le peu d'aménité d'un commerçant pas loin de chez Bruno, l'envie de faire le tour des remparts, la beauté de la ville, la perte d'un certain charme dû aux touristes en pagaille, quelques marchands sympas.
Je constate : une grosse claque dans l'église principale. Un lieu très emprunt qui me provoque des visions d'un pied du Christ et de certains archanges. Un bon endroit pour méditer.
Ma femme, elle, a du mal avec la tripotée de cathos bien propres mais que voulez-vous. On a rien sans rien.
Ils voient dans l'objet de leur Foi une illusion qu'on leur a créée et qu'ils continuent à alimenter.
L'après-midi, le Croizic avant d'échouer à goûter deux bières et du cidre. Une partie de Carcassonne et deux de London ponctuent la fin de journée.
Moi, j'ai bien aimé la plage avec les rochers de la côte sauvage (et ses trèfles à quatre feuilles) et j'aurais apprécié un peu de meilleur temps.
J'ai aimé pouvoir acheter des produits sûrs aujourd'hui : un whisky breton, enfin ; deux bouteilles de cidre et une de pommeau d'un dénommé Séhédic qui fait d'excellentes choses ; deux petits kouign aman d'une teneur raisonnable.
J'ai moins aimé les douleurs à marcher sur le bitume ou le ciment.
J'ai pris le temps d'écrire à Romuald après lecture de l'article de presse. Un garçon encore plus "puissant" et intelligent que je ne l'aurais pensé. En intelligence sociale, s'entend ou même morale.
J'ai vu les 500 photos d'un album picasa qui concerne le spectacle, je balance le lien ici :
https://picasaweb.google.com/110589022742355255258/LESSORCIERESDESALEM?authkey=Gv1sRgCKvhg57ptKORngE 

Et sinon, la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/neufmai2013.htm

mercredi 8 mai 2013

Guérande, jour 2

Oui, ça fait du bien de sortir de chez soi.
Non, je n'ai pas marché dans l'eau.
Oui, j'ai acheté pas mal de trucs bios et j'ai goûté une excellente bière blanche et un sublime cidre bio.
Oui, j'ai trouvé des trèfles à quatre feuilles près de sites sympas.
Non, on a pas pu aller voir de près un tumulus, mais oui, on a pu toucher de près des dolmens.
Oui, j'aime bien le parc régionale de la Brière.
Oui, Guérande a quelque chose de sympa.
Oui, l'andouille de Guéméné (version bio), eh ben, c'est bon.
Non, je ne profite pas autant de mes vacances que je devrais à cogiter sur ma douleur et ma capacité à la supporter au travail.
Oui, je fais attention aux signes,
Oui, j'ai encore rêvé de théâtre et surtout d'Aurèle qui n'est plus là sur Bourges (un peu de sa faute, mais passons, ça embête quand même).
Oui, il y a une page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/huitmai2013.htm

Oui, je suis fatigué.
Non, je n'ai pas encore eu le temps de réviser mon texte., journée trop occupée et besoin de boire un coup ou deux pour échapper à la douleur.
Bazar.
L'air marin, plus d'air marin demain...

mardi 7 mai 2013

N'article

Moi content.
Même si moi pas partager avis de la journaliste sur le rôle du juge... Oui, il y avait quelque chose de forcé, mais fallait le tenir.
Le père de ma femme a adoré particulièrement deux rôles, du fait du charisme qu'ils devaient imposer, le juge et le révérend Hale (évidemment que les héros sont bien aussi).
Bref.
Je suis un peu ailleurs, là. J'ai mal au cou, j'ai envie de changer des trucs graves dans ma vie, les quelques jours d'arrêt et de vacances vont permettre de réfléchir.
Oui. Pour sûr.
Et d'avoir le blues.
Mais j'ai marché les pieds dans l'eau, j'ai bu du cidre pression, j'ai joué au tarot pour me détendre et l'article de presse vient de permettre de bien finir la soirée...

La page du jour est là :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/septmai2013.htm

Mais au final. Plus que le manque de vitamine D, c'est le manque de Foi en soi le problème, n'est-il pas ?

lundi 6 mai 2013

Blues...

Voilà, c'est fini.

Bon anniversaire Horus.
http://www.lapagedujour.net/mai2013/sixmai2013.htm

Et merci à :
Jenny et Hugo pour le boulot.
Les autres malelukiens qui ont participé à l'aventure.
Le public.
Les deux techniciens du hublot qui ont fait des remarques sur ma voix.
Les malelukiens présents à la petite after chez manu.
André, le pôpa de ma femme d'être venu.
Tous les techniciens du hublot finalement.
Ma voix (donc, qui est apparemment bonne quand je joue des curés sur un ton grave).
La mère Michelle, non, je déconne.
L'atelier théâtre des Gibjoncs dont certains représentants sont venus.
Y a aussi ma mère que j'aurais aimé remercier si elle avait été là.
Mais tant pis, hein...
En tout, près de 310 personnes nous ont vus.
Chouette.

Mais voilà le blues. Heureusement qu'il y a un deuxième texte à apprendre, cong.

dimanche 5 mai 2013

Jour J+1

Bien bien bien.
J'ai oublié mon sac médecine et mon portefeuille au hublot. Le cong.
Mais ça, tant pis. Du moment que je regaule tout ça demain...
J'ai eu l'occasion de bien parler avec le directeur de la maison de la culture de Bourges et le principal artiste associé, j'ai été un peu décontenancé par les compliments faits sur ma voix. Une voix de comédien qui porte ou par le fait qu'il semble que je sois fait pour jouer un curé.
Ceci dit, je finis toujours homme de foi en jeu de rôle, c'est peut-être pas pour rien.
On a eu 186 entrées, dont 166 payantes aujourd'hui.
Si on arrive à une centaine demain, on peut sans doute espérer pouvoir rentabiliser un brin le hublot.
A voir.
Cinq techniciens, ça fait cher de l'heure mais ils sont sympas.

La page du jour, elle, donne ça :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/cinqmai2013.htm

Et sinon, vu la fatigue que je me suis payée avant jouer, je suis assez content que mon "magnétisme" ait pu soigner deux des filles hier.
Tout comme j'ai apprécié la discussion avec Eléonore du groupe des ados l'année dernière. Une fille très intéressante avec un projet de vie très intéressant lui aussi.
Il y a nécessité d'essayer de garder contact avec tous ceux qui ont participé à l'aventure parce que ce fut une grande aventure humaine. Pour sûr.

samedi 4 mai 2013

Jour J

La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/quatremai2013.htm

L'arrêt de travail quinze jours de plus avec shoot aux vitamines D.
La douleur au dos et aux poignets pendant les répètes, un peu dur aujourd'hui je dois dire.
La petite tension de certains d'avant pestak. Mais ça c'est normal.
L'article mis en photo.
Une étonnante synchronicité aujourd'hui en prenant trois bouts de phrases ou mot dans un livre au hasard pour former des créatures avec un lien astral qui donnent le pouvoir.
Moins de stress que ce que j'aurais cru d'avant spectacle, mais on verra demain.
Je continue à me vider de toutes les manières. Et à être fatigué.
Mais au moins j'ai magnétisé deux des pauvrettes du spectacle qui avaient mal ou étaient stressées.
C'est peut-être ce que je paye un peu ce soir.
Un peu seulement.

Un mois d'arrêt en tout. Bazar.
C'est quand même quelque chose.

vendredi 3 mai 2013

Jour - 1

Coup de boost de la guérisseuse.
Check.

Mais fatigue liée au manque de vitamines D, ça, pas possible de faire autrement que docteur.
La guérisseuse aussi a été grave carencée, et elle m'a conseillé quoi acheter, exactement ce que ma femme voulait que j'achète.
La lanoline est un produit miracle apparemment.
Je ne sais pas si pour l'extraire faut tuer des moutons, mais si c'est le cas, merci chers moutons.

Docteur tout à l'heure, donc. Et éventuellement prolongement de l'arrêt de travail ou vacances forcées. Pas possible de reprendre là encore. Je vais accompagner ma femme chez sa soeur, ça lui fera plaisir et moi je prendrai de l'air marin.

Page du jour, check :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/troismai2013.htm

Quoi d'autre ?
Ah si, j'ai visionné des parties de l'enregistrement fait mercredi. Oui.
C'est plutôt bien.
J'aurais jamais les visages de si près de toutes les manières.

jeudi 2 mai 2013

Jour - 2

La page du jour :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/deuxmai2013.htm

La répétition de cette après-midi ?
Quelques bugs que j'ai jamais, mais au final, je suis bien confiant.
On a sauvé un des acteurs qui garde son rôle acte 2.
Par contre, il y a le fait de se ménager qui est important. Au final, que le docteur m'arrête 15 jours a été un bien.
Surtout vu l'état lamentable de fatigue.
C'est la fatigue qui m'a fait bugguer sur un truc où je ne plante jamais.

J'espère qu'on sera encore plus vif devant la scène. Tous le seront.
J'ai hâte.

Il faut aussi sans doute que je boive moins. Deux verres par jour, c'est trop. Mais ça éteint sérieusement l'angoisse.
Enfin bref.
Jour -2.
Et pas grand-chose de fait aujourd'hui pour nos quatorze ans, mais ma femme était au tas, et assez malade.
Espérons que ça ira mieux demain.
Demain guérisseuse, d'ailleurs pour moi.
Vu le coup de boost qu'elle m'a donné pour aller en Tasmanie. J'en espère autant pour reprendre le boulot dans une dizaine de jours.

mercredi 1 mai 2013

Jour - 3

Alors, pour se détendre, ce soir, une petite partie d'In nomine Satanis où j'ai mis les bases de la trame sérieuse et de manipulations sur le fond comique de la partie.
Ca ne va pas être piqué des hannetons c'te suite de scénarios.

J'ai aussi planté mon arrivée au labo ce matin en oubliant l'ordonnance du docteur, conclusion deux aller-retour au labos, ça fait bobo les bras le dos sans mettre la minerve de bon matin.

Dans l'angoisse du résultat des examens, je pense que j'ai les boyaux qui sont devenus joyeusement dingues.
Le résultat arrivé, j'ai constaté que la bilirubine fait toujours grave des siennes, que le fer a baissé à la limite minimale de l'anémie (c'est 40 et j'ai 40 et la notion de sûr, c'est 80) mais surtout une des grosses explications à la fatigue (on pouvait avoir peur de trucs dans le sang), c'est la carence extrême en vitamines D.
Extrême. T'es carencé de 10 à 30 mais on dit déficit, là. Et c'est un milliard de personnes dans le monde.
Par contre, en dessous de 10, c'est la fête. Il va de soit que je suis en dessous.

La page du jour pour se détendre :
http://www.lapagedujour.net/mai2013/premiermai2013.htm

Un bon anniversaire aussi à ma femme pour nos 14 ans et le Ebat je t'emmerde.
Et encore quelques heures avant la première répétition générale devant public. Hou. Ha. Hou ha.
Ca peut aussi expliquer les boyaux en vrac.
Tadaaaaa.