vendredi 1 janvier 2010

Premiers mots 2010...

Fabrice m'a rappelé hier soir que j'entrais encore dans une nouvelle décennie. Hou...
J'aurais pu gagner au Monopoly en asséchant les autres au départ. Je me suis fait eu.
Mais passons.
De ce rêve, de ces premiers rêves...
L'impression de pouvoir être une séductrice hors pair en face de Nicolas Sarkozy déguisée en femme pour un jeu. Et ce pauvre Nicolas Sarkozy emporté par le charme extrêmement féminin d'une drag queen pour l'occasion qui finit par adopter la dite drag queen pour quelques nuits où il peut enfiler la drag queen tout en préservant sa virilité de mâle. C'est de la sodomie, mais sur une femme dans tous les sens du terme sauf un. Et ça reste aussi un peu comique et décalé. Je fais plus suivre l'histoire qu'être la drag queen qui est sans doute au final un compagnon un peu comique de jeu. Mais dans un rêve, on est autant l'un que l'autre.
Il y a aussi plus loin la plage, l'obscurité, l'océan, sans doute l'immensité. Peut-être un casino ou de grandes maisons sur la plage. Le sable, le sable qui doit peut-être venir à cause d'un reportage vu hier sur l'immensité de l'univers et la comparaison du fait que notre planète est moins à l'échelle de l'univers qu'un grain de sable à l'échelle de tous les grains de sable de c'te planète...
Noir et immortel océan.
Il fait nuit. Mais dans la nuit, il y a le rire, la lumière et la faculté d'adaptation.
Il reste l'empathie aussi. Même si c'est drôle, même si c'est décalé, pourquoi faire chanter Nicolas Sarkozy pour une pulsion qu'il ne peut pas contrôler d'un fait d'un sex appeal époustouflant.
L'heure de l'anima qui fusionne avec l'animus sous le manteau de l'ombre et du moi qui observent d'un oeil sûr, un peu fatal et teinté d'un humour qu'on aimerait avoir plus souvent la possible reconstruction de quelqu'un qui s'est pas mal perdu dans la nuit...
Tadadada...

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