samedi 10 avril 2010

Des fautes.

Il parait que j'en ai fait plein, hier.
Bon.
En même temps, je tape vite sur un logiciel qui corrige pas l'orthographe et puis, bon... C'est bien, ça reste humain.
Humain comme la conversation par chat avec Cécilia aujourd'hui.
Humain comme la conversation avec les grands-parents de ma femme à midi.
Humain comme le repas et réunion de famille ce soir avec les parents de Kat.
Humain comme le fait de regretter que les vacances se terminent déjà.
Pas humain comme le périphérique de Paris qui nous a fait perdre plus d'une demie-heure.
Humain, comme le fait que non, non, et non, ce n'est pas humain de vivre cette circulation et ce stress dans les grandes villes. Nous sommes trop sur cette planète, la circulation à Paris est une pure horreur et il faudrait qu'on m'égorge à moitié pour que j'y vive.
Je ne vois aucun intérêt à risquer sa santé pour un peu plus d'argent dans l'horreur de la circulation parisienne.
Jamais. Jamais. Jamais dans une grande ville française ou latine. Ils ne savent pas y faire niveau transport.
Heureusement, pour mon compte, que la fin des vacances est marquée par un peu de jeu de rôle, histoire de faire passer les choses en douceur.
Je proposerais bien à ma femme de rentrer seulement le dimanche, mais j'aimerais bien faire quelque chose avec elle le dimanche aprem.

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