vendredi 24 avril 2015

Westvleteren

http://users.telenet.be/sintsixtus/sintsixtus/fr/brouwerij.htm

Bon. Le fantasme, c'était ce truc là.
Et pour le prix le plus cher de ma vie et un prix que je ne recommencerai pas, j'en ai goûté une dans un bar à bière d'Ostende.
Pour me rendre compte, en sortant, du pub, qu'il y avait un magasin qui en vendait.
Rha...
Moi qui ai passé plein d'appels pour essayer de joindre l'abbaye en vain car on ne peut pas acheter de cette bière comme ça.
Honnêtement, je trouve la Rochefort 10 et la St Bernadus 12 supérieures.
Westvleteren, c'est la rareté.

Mais avant...
Je mets le lien de ma page du jour d'hier et d'aujourd'hui, con de la lune que j'ai oublié de poster hier :
http://www.lapagedujour.net/avril2015/vingttroisavril2015.htm

et
http://www.lapagedujour.net/avril2015/vingtquatreavril2015.htm

Et je reviens sur quelques impressions de cette première journée Lilloise et Ostendaise (aise ? oise ?)
Bonnes bières... Temps superbe. Magnifiques bâtiments sur Lille. Très étrangement, je fus attiré par une rue dans cette cité dans laquelle il y avait deux magasin côte à côte consacrés pour l'un aux jeux de rôle et société et pour l'autre aux textes de théâtre.
Très étrange...
Une sorte de signe de mon avenir d'écriture, de jeu ou de possibilités.
Gens sympathiques aussi.
Léger mal de crâne, trois bières ce soir et une à midi, je ne suis pas sûr de pouvoir tenir mon objectif de 5 sur une journée, on verra bien. Mais ce dont je suis sûr c'est des propriétés anti-douleurs de la bière. Ah pitin, hier et aujourd'hui, j'ai eu mal comme jamais au cou et bras. La route, c'est définitivement pas pour moi. Je vais me forcer à faire mes exercices de kiné avant d'aller acheter des bières au centre ville ou de filer sur Bruges où il ne serait pas con qu'on passe une bonne partie de la journée.

J'ai d'autres images en vrac de la journée, que je note comme ça :
Mon pc portable, l'ancien, qui décède en n'allumant plus son écran. Taaaaant pis, il est temps de passer à autre chose comme ça...
Le serveur sympa du premier bar à Ostende qui me dit de poser mon verre, qu'il s'en occupera, quand je fais mine de ramener mon verre vide au bar.
Le front de mer d'Ostende avec une minute les pieds dans l'eau et plusieurs minutes les pieds dans le sable.
Le petit restaurant servant pas mal végétarien de Lille qui est un peu cher, certes, mais qui remplit bien son office, avec des serveuses sympa : Pulp Kitchen.
La bouteille de Westvleteren, et la confirmation que St Bernadus, c'est mieux.
Résister à s'offrir une bière vieillie en fût au tarif plus que prohibitif dans un bar. Ouf; Et prendre une autre trappiste que je ne connaissais pas : la Zundert (inférieure à Westvleteren de loin et moins bonne que mes deux top pour l'instant, même si j'attends beaucoup de la Trappe en brune et vieillie en fût).
Goûter la blanche trappiste (La Trappe en blanche) commandée par ma femme (il n'y a que la Spencer et une trappiste autrichienne que je n'aurai pas encore goûtées).
Se rendre compte que si le climat est rude, les gens sont sympas et que la bière est meilleure :) Non, je déconne en partie, mais il y a quand même quelque chose de ça. Dans le Nord, une fois que tu es servi, les gens te disent s'il-vous-plaît...
J'ai un peu mal au crâne comme je le disais. Je suis fatigué. Je bataille pour installer des trucs sur le nouveau PC qui n'a pas été ouvert depuis qu'il a été acheté et ouvert une fois et je regarde d'un œil attendri les 6 dés débiles achetés à la boutique de Lille ainsi que les deux livres achetés à la boutique de livres de théâtre : du Wilde et du Guitry. En espérant arriver à jouer ces deux auteurs un jour.

Deux bonnes nouvelles théâtre aussi, vingt minutes d'Enrôlés à jouer le jour de mon anniversaire dans la cour de la FOL et puis un projet qui se concrétisera à la rentrée et qui fera plaisir à quelqu'un, mais je ne m'étale pas pour l'instant :)

Bruges, demain, donc... En dépit des douleurs. Parce que si je les écoutais, je ne serai pas parti, je n'aurai pas fait de théâtre et je serai sans doute dingue.
Je préfère vivre.
Sans déconner.


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