dimanche 15 juillet 2012

Quinze jours, jour 1 Ecosse, 2012


Quinze jours...

Jour 1, Ecosse 2012
Mon chat est malade, le con... Vessie pas en forme, mais c'est le stress... Il ira mieux quand on rentrera...
J'ai trouvé un trèfle dans le jardin des parents de ma femme ce matin... Tant mieux, pour notre chance et pour Horus.
On a eu un problème technique dans l'avion, dérouté sur Birmingham (où il y avait des techniciens de la compagnie) au lieu de Cardiff.
Hum. Je revois le couple qui revenait d'Afrique du Sud avec la mari au chapeau, les deux retraités qui allaient à un mariage, les deux italiennes paumées, le pauvre italien encore plus paumé, pas de bol, mais solidarité dans les conversations...
Très mauvaise information de Flybe... Nous avons été à poireauter longtemps dans notre avion, dans le bus, dans l'aéroport, encore dans le bus, plus longtemps dans le bus et dans le nouvel avion...
C'est dur pour un phobique de l'avion, mais on est vivant.
Paysage et temps formidable entre Glasgow et Glencoe et la soirée initialement prévue au Clachaig Inn écourtée de trois heures... Nous avons pu écouter un groupe qui donnait «  Les Tonkerers ».
J'ai aussi lu « La leçon » de Ionesco. Plus ça va, plus c'est le théâtre que j'aime lire. Ça donne envie de jouer. Je jouerai bien aussi ce texte, surtout pour la progression dramatique de la fin...
J'ai la crève... Bien carabinée.
Je ne sais pas le résultat du test des appareils de Maleluka qui ont pris la pluie.
Je suis assez amoureux du coin et je revois tous ces clins d'oeil et sourires au Clachaig. Hum... Le meilleur pub de Grande Bretagne ?
Bonne discussion aussi avec un couple à la fin du concert et dédicace des musiciens sur la pochette du cd que je leur ai acheté.
Seule déception, le green welly shop était fermé, pas pu prendre le Ledaig que j'aime bien chez eux, mais on s'est arrangé pour manger sur place sur le pouce histoire de se caler un peu.
Trois seules images de la journée ?
- Le groupe, le soir, qui donnait avec le violoniste électrique qui pichait comme un gros sale et la copine du leader qui arrivait à faire vendre des cds par sa seule plastique (j'ai acheté le cd avant, je ne plaide pas coupable)
- La beauté des montagnes en arrivant à Glencoe.
- Le steward qui dort bouche ouverte comme moi, après s'être retrouvé passager parce qu'il n'avait plus le droit de bosser.
Un autre regret, les quelques heures volées à Glencoe, parce que arrivés en retard.
Mais tant pis. Nous sommes vivants. La fissure dans le réacteur n'a pas eu raison de nous...

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