dimanche 29 mars 2020

Deux rêves...


Le blog du fils...

Et sinon, deux rêves...

Vendredi après-midi. 27 / 03...
Tout commence peut-être dans une salle du genre FOL, à Nouméa, bien que la disposition ne soit pas la même, ça ressemble presque plus au cinéma un peu interlope où ils passaient des films un peu érotiques qui était situé le plus proche du port de Nouméa quand j'étais jeune.
Les gens de l'Atelier Théâtre des Gibjoncs vont jouer un spectacle que j'ai déjà vu et je ne peux malheureusement pas rester...
Un peu après, un acteur me surprend lorsque je sors de l'encadre d'une porte, il me saisit en m'entourant du bras, c'est un géant, je lui arrive à peine à la taille, il a un peu la gouaille ou la tête de Gérard Darmon plus jeune mais c'est un géant. Enfin, il est très grand et s'est amusé à se mettre sur la pointe de ses pieds pour paraître encore plus grand lorsqu'il m'a saisit... (Comme on est dans un rêve, il avait bien gagné 50 cm en se mettant ainsi). Cela le fait bien marrer et je me rends compte que nous marchons alors avec Olivier Atlan et l'acteur à la recherche de trucs à manger, on compare notre goût pour le pain aux raisins lorsqu'on teste une nouvelle boulangerie, et le pain au chocolat aussi. Olivier me dit qu'il a eu une très mauvaise année qui lui a retardé un voyage qu'il a finalement pu faire et qui a changé sa vie. Je conseille à mes deux camarades un chinois qui ressemble à un magasin de mon enfance au faubourg Blanchot, là-bas, ils font de bons plats et puis, c'est bizarre d'être là dans ces rues désertes sans personne qui marche...
On finit dans un couloir Olivier et moi, il a déjà commencé à manifester des signes étranges, du genre gerber dans une allée, mais à la manière dont les shamans (j'écris le mot comme ça) sud-américains le faisaient après avoir absorbé des drogues pour faire un trip mystique.
Olivier s'assied en slip sur une pile de vêtements et de chaises, il croise les bras autour de ses genoux. Il m'a confié qu'il a eu un cancer. Je m'assieds à côté de lui parce que quelque chose va se passer. Olivier fait bloub, juste bloub de la bouche puis il me saute dans le dos et me mord le dos... Bon, de un ça fait un peu mal et de deux, j'ai un peu la flippe pour mon cou, je ne suis pas capable de supporter du poids mais en même temps, il y a quelque chose du trip shamanique... Olivier avale un bout de ma chair spirituelle et part dans une régression à la rencontre de son totem. Je lui demande ce qu'il est, il marche à quatre pattes rapidement, il m'apparaît que son totem pourrait être celui de l'araignée. Je lui indique que le mien est l'éléphant et au bout d'un petit moment, Olivier repart en catatonie sur la pile de vêtements.
Dans un petit bassin mystique, je vois apparaître des petits poissons et des petites tortues, Olivier est bloqué...
Je songe alors au bloub du début du trip mystique. Ni une, ni deux, j'essaye d'attraper un poisson qui semble bien glissant dans doigts, c'est la fin du voyage, Olivier parvient à le saisir et l'avale, il revient à lui...
Réveil...

Dimanche 29 au réveil.
Un univers post-apo, un peu comme maintenant, ambiance un peu punk, mad-max, un côté survie du plus fort...
Je loge dans une sorte de grande maison ou immeuble près d'une rivière, il y a des balcons sur le côté qui font un peu penser à un paquebot. Pour une raison que j'ignore, si, peut-être vérifier des bruits, je descend de deux étages pour me retrouver confronté à un gang de psychopathes, je suis caché dans une cuisine en haut d'une armoire pendant que deux individus, pas trop dangereux d'apparence, taille hobbit, mais complètement sanguinaires, me recherchent...
Je fais tomber des bouteilles de Perrier au sol qui les alertent, je me réfugie dans le faux-plafond, passe par une trappe à l'étage du dessus où deux bourrins essaient de me tuer. Je n'ai qu'un couteau, mais je dois arriver à planter le second après avoir esquivé le premier qui tombe dans le trou.
Dans l'appartement où ils avaient pris place, plusieurs enfants allongés, habillés mais semble-t-il morts ou vidés de leur substance. Les psychopathes les ont tués, voire même violés. Il ne reste qu'un petit gamin noir, endormi, que je peux sauver, même si c'est une bouche de plus à nourrir en cet ère d'apocalypse, je me réveille sur la décision de sauver l'enfant...

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