Trois continue à être le chiffre.

 Le blog du fils.

Le blog du chat (même défunt).

La page du jour.

Et sinon, une discussion avec une personne handicapée qui m'a signalé mon côté prolixe m'a fait considérer des choses sur les trois seules phrases qu'elle m'a dites là où j'avais mis des tartines de mon côté.
Je suis très perturbé par la mort d'Horus, ok, mais encore plus par la manière dont j'estime que je n'ai pas été à la hauteur en mettant mon handicap si haut dans mon rapport au monde.
Je me prends violemment des années de j'aurais pu faire et j'aurais dû faire mieux.
Grâce à la spiritualité et au n'arfoutisme, je sais que je vais surmonter le choc en me disant : tant pis, au moins c'est du passé et je ne recommencerai pas les mêmes erreurs, je sors plus grand.
Mais pour l'instant, je traverse la vague.
Méchant.
Méchant méchant.

Le rêve de cette après-midi où j'étais en voiture avec deux femmes maghrébines m'a parlé d'un truc de liberté, de ne pas avoir peur des règles et des contraintes.
Je prends ma propre prison dans la gueule mais je remercie Horus d'avoir ouvert la porte de la prison en venant sous forme de lumière dans mes visions la nuit de sa mort.