mercredi 14 juin 2023

Mais pourquoi avoir envie de débattre ?

 Le livre que je viens de finir m'a agacé en partie (mais vraiment, j'ai du mal avec les affirmations sur les guides disent ça, dieu est comme ci) et plu aussi dans la capacité à quelqu'un d'aller au bout de son envie.
Le livre que je ne recommande presque à personne dans mes contacts d'ailleurs, car ils seraient troublés par le filtre judéo-chrétien ou par le fait qu'elle prétend (je ne doute pas qu'elle y croit, ce qui revient pour elle à livrer une vérité, la sienne, et c'est à accepter, même si on n'y croit pas comme moi, on peut croire qu'elle y croit) avoir contacté Jésus ou Kardec est les 7 besoins fondamentaux de l'âme (et je ne suis pas persuadé de tous les besoins fondamentaux décrits en plus).

Mais la beauté du témoignage - très rose bonbon cela dit, ou parfois coincé dans ses limites, lié au sentiment de vouloir diffuser le bien  - même si l'enfer est pavé de bonnes intentions - a déclenché quelque chose en moi.

L'idée de définir moi-même ce que pourrait être ce potentiel.
Et je dirais sans citer l'autrice que ce sont : paix, joie, amour, liberté, magie, garder son âme d'enfant, rester ouvert à tout, connaître les sources des croyances, accepter les égrégores de tous, ne pas vouloir imposer son filtre ou ses dogmes, accepter que l'on ne peut pas connaître l'invisible, faire l'équilibre entre la main gauche er la main droite, la sagesse, rêver, prendre du temps pour soi, rire, rire beaucoup.
Mais que eh.
Il y a trois registres en ce monde, ceux qui marchent sur la sphère du physique, ceux qui sont dans le mental et ceux qui sont dans le spirituel.
Généralement, force est d'avouer que la vie est plus clémente pour les deux premiers, plus adaptés au monde réel.

Mon seul dogme spirituel a d'ailleurs une vocation un peu universelle. C'est que la seule certitude qu'on a c'est qu'on est notre propre filtre qui construit nos propres croyances.
Liberté de taper ou choisir comme on veut. 

Liberté de respecter que chacun s'y intéresse, s'arrête là ou s'en branle totalement.

La page du jour, tiens, un peu dessus.

Le blog du fils, pas dessus...




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