dimanche 3 juin 2018

Ouille

Je déconne pas.
Pique pique bobo.
Ok, à l'instant, avec les deux bières quasi quotidiennes, ça va mieux.
Mais quand tu songes que les seuls moyens de t'échapper de la douleur que tu as c'est le jeu de rôle, le théâtre actif (ça marche pas avec un petit rôle, comme le coup de main que je donne pour Vol au dessus d'un nid de coucou), la scène (c'est idéal) ou éventuellement une série télé très prenante, ainsi que la bière....
Tu respires.
Tu respires bien fort.
Hum.
Et tu ne veux pas étaler ton mal, mais quand même, quand t'y songes, il n'y a que sortir de toi qui te permet de ne plus être Ouille.
Ou alors, la joie.
Le plus gros moment de ma journée, outre le fait de rédiger des trucs de blog, ça a été à la seule sieste de mon fils.
Il venait à peine de s'endormir, avec la respiration qui va bien et tout (on sait au bout d'un moment et je fais semblant de m'endormir pour qu'il s'endorme et ensuite, je m'endors aussi) et je l'ai entendu rire.
Entendre son fils rire dans son sommeil.
Hu.
Ça veut dire que la vie réelle et l'autre vie, la vie que j'estime tout aussi importante, sont heureuses pour lui.
Rire dans son sommeil.
He made my day. Litteraly.

Merci fils.



Le blog du fils
https://ebatbuok.blogspot.com/2018/06/tartes.html

La page du jour
http://www.lapagedujour.net/juin2018/quatrejuin2018.htm

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire