dimanche 7 juin 2015

Trois.

Un : en dépit que je me sois mangé dans ma dernière tirade (je l'ai raccourcie), une représentation de folie au niveau de la bonne humeur et des fous rires. J'en ai pleuré à la fin sur scène. Un grand moment que de devoir contenir un rire dans une scène sérieuse. Jouer quatre fois permet ce bonheur et on remet le couvert le 20 sûr. C'est encore à voir pour Enrôlés. Le seul bémol de l'extérieur sont les moustiques, mais putain que c'est bien et libérateur.
Quelques souvenirs ou images : l'écho de la voix de certains comédiens, un feu d'artifice qui pète pendant la scène finale du mariage, la nuit qui tombe pendant que je demande à Puck de l'invoquer, le fou rire de Lynda dans une scène sérieuse pour elle et devoir se contenir pour ne pas rire, le fou rire de la fin dans la scène des clowns, devoir garder son calme lors d'une scène de danse (je pleurai de rire, littéralement), un couple qui a adoré la pièce littéralement et qui n'a pas aimé la mégère apprivoisée (que j'ai adoré pour mon compte), la joie de Jenny qui s'est marré même depuis la régie, le sourire des camarades, le missile envoyé sur Aurore du même genre que celui envoyé sur Violaine la veille, la chaleur du public (même si peu nombreux, très vif).

Deux : http://www.marcandangel.com/2013/10/17/9-warning-signs-youre-on-the-wrong-track/
Il est temps de ne plus se faire chier en effet.

Trois : Eh eh eh : http://www.lapagedujour.net/juin2015/septjuin2015.htm

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire