Dans un reportage sur les chiens, à la fin, pouf, je capte une image d'éléphant, parce que le dernier chien du reportage était un chien qui servait dans des réserves africaines pour pister les braconniers.
Et il permet de sauver les éléphants. Je me suis rendu compte que ma chienne me regardait regarder le chien qui sauvait les éléphants et blam, l'état patraque semble s'être en partie dissipée.
J'ai remarqué donc chez moi qu'il y a une forte propension à me laisser aller, voire à couler sans la présence régulière de signes. Juste un signe aujourd'hui a suffi.
Mais enfin, voir un éléphant par hasard régulièrement, c'est pas simple, ici, près de Bourges.
Je crois que je vais m'offrir un p'tit fond d'écran ou une figurine autre que la peluche de mammouth à poser sur le bureau en face de moi.
Tout comme le chrétien est rassuré par son icone, je gage que ma volonté à certaines choses serait plus déterminée en posant les yeux plus souvent sur le totem ou les autres animaux totem qui ont traversé mon existence (aigle, corbeau, ours, chat, chien, truite, cheval, vache laineuse et peut-être le ara aperçu aujourd'hui qui m'a bien fasciné).
Mais passons... Je ne vais pas m'étaler sur le fait que je ressens que je dois affirmer plus ma spiritualité même si elle sera toujours éclairée du cynisme du second degré car il ne faut pas croire totalement aux choses, juste y croire assez pour ne pas devenir sectaire.
Il y a cette nouvelle que je devrais me permettre de diffuser ici qui aurait dû me faire dire plus tôt que j'ai cette connexion avec l'Afrique, elle a été publiée dans une anthologie sur l'Afrique et c'est peut-être temps de se dire d'écrire d'autres nouvelles...
Je donne le lien d'une jolie critique de l'anthologie...
https://lullastories.wordpress.com/2014/04/20/afrique-s-anthologie-dirigee-par-sandrine-gaquerel/
La bonne résolution de l'écriture, conditionnée à un bon siège, peut quand même se prendre car comme disait Sénèque...
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.
Et puis quand même un truc drôle
Et il permet de sauver les éléphants. Je me suis rendu compte que ma chienne me regardait regarder le chien qui sauvait les éléphants et blam, l'état patraque semble s'être en partie dissipée.
J'ai remarqué donc chez moi qu'il y a une forte propension à me laisser aller, voire à couler sans la présence régulière de signes. Juste un signe aujourd'hui a suffi.
Mais enfin, voir un éléphant par hasard régulièrement, c'est pas simple, ici, près de Bourges.
Je crois que je vais m'offrir un p'tit fond d'écran ou une figurine autre que la peluche de mammouth à poser sur le bureau en face de moi.
Tout comme le chrétien est rassuré par son icone, je gage que ma volonté à certaines choses serait plus déterminée en posant les yeux plus souvent sur le totem ou les autres animaux totem qui ont traversé mon existence (aigle, corbeau, ours, chat, chien, truite, cheval, vache laineuse et peut-être le ara aperçu aujourd'hui qui m'a bien fasciné).
Mais passons... Je ne vais pas m'étaler sur le fait que je ressens que je dois affirmer plus ma spiritualité même si elle sera toujours éclairée du cynisme du second degré car il ne faut pas croire totalement aux choses, juste y croire assez pour ne pas devenir sectaire.
Il y a cette nouvelle que je devrais me permettre de diffuser ici qui aurait dû me faire dire plus tôt que j'ai cette connexion avec l'Afrique, elle a été publiée dans une anthologie sur l'Afrique et c'est peut-être temps de se dire d'écrire d'autres nouvelles...
Je donne le lien d'une jolie critique de l'anthologie...
https://lullastories.wordpress.com/2014/04/20/afrique-s-anthologie-dirigee-par-sandrine-gaquerel/
La bonne résolution de l'écriture, conditionnée à un bon siège, peut quand même se prendre car comme disait Sénèque...
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.
Et puis quand même un truc drôle
Allez, la page du jour
Le blog du fils
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