dimanche 10 novembre 2013

Semaine italienne.

Jour 1.
Je sais. Je suis en congé maladie et cassé.
Mais ne pas partir aurait été pire. Cette semaine était prévue de longue date.
On n'annule pas un truc fait pour se reposer.
Ça serait extrêmement énervant.
La journée a été classique pour un voyage...
Bourges – Maison de parents de ma femme.
Repas familial.
Expédié à l'aéroport (avec la pauvre mère de ma femme qui met deux heures pour rentrer).
Vol en avion qui secoue avec toujours la même frayeur au décolage.
Navette et Vaporetto pour se rendre dans le quartier de Venise où on loge.

Je lève la tête. Le plafond doit faire plus de quatre mètres.
Les voisins du dessus sont bruyants.
Mais eh. Je vais pas me plaindre.
Excellente soirée.
On a goûté un vin et une bière italienne, commandé des pizzas à la pizzeria d'à côté, j'ai testé de la Bresaola, la charcuterie la moins grasse au monde, une tuerie néanmoins sous la bouche.
Et surtout... on a pris le temps de marcher près de deux heures dans cette partie peu touristique de Venise, la nuit, où la cité prend d'autres couleurs et des aspects étranges.
Magnifique, ancien, mystérieux, vivant, délabré, vibrant, labyrinthique.
Je pense préférer Venise à Rome.
Enfin du moins sur l'aspect balade en centre-ville.
Je sais bien qu'il n'y a pas les vieilles ruines à Venise.
Mais il y a un cachet effectivement particulier qui en fait une destination idéale pour un week-end ou un week-end prolongé.
Lever tôt demain.
J'espère que je vais tenir le coup avec le beau et le choc culturel.
Ça fait passer ma démarche de papy à certains moments.
J'ai franchement eu peur d'être bloqué ce soir.
Mais non.
J'ai décidé de vivre pour l'essentiel.
En prendre plein la gueule pour des bonnes raisons. Et en prendre plein la gueule de la bonne façon. La mauvaise, je connais de trop, merci.

La page du jour :

Edit : oh, tiens. Pas d'internet. Ben voyons...

Edit : du matin, oh bazar, jour une heure plus tôt. Demain lever à 6 heures 40.

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