vendredi 5 février 2010

Ces yeux, pitin, ces yeux...

Minuit 17.

Ces yeux qui brûlent et qui ne voient pas assez.
Ces yeux qui font mal et qui ne percent pas les ombres.
Ces yeux qui piquent et qui ne bougent pas assez
Ces yeux qui souffrent des jours sans nombre.
Cette poésie à la con pour meubler l'espace.
Tout ça pour ne pas perdre la putain de face.
Comme si j'avais quelque chose à perdre, vraiment.
Comme si tout cela avait quelque chose d'important.

Fais chier. Un jour sans avec les yeux là.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire