mercredi 28 août 2019

La semaine théâtrale, jour 3 : Les défauts...

Tu veux que je te dise mes défauts de comédien ou de gars de la vraie vie ?
Hein ?
Je bouge trop.
Je parle trop vite (ce qui peut faire manger la compréhension).
Je commente trop avec le visage.
Je passe parfois en voix de gorge alors que je n'ai pas besoin.

Pour le premier, c'est de la contenance.
Pour le second, c'est de l'humilité ou du manque de confiance pour laisser plus de temps de parole aux autres.
Pour le troisième, c'est de la recherche de communication.
Pour le dernier, c'est sans doute mon handicap ou le fait que ma voix ait été brimée par mon père.

Problèmes résolus ?
Ben, maintenant qu'on sait tout, hein.
Il y a un autre défaut : c'est de ne pas regarder les gens dans les yeux par peur d'être séduisant ou charmant et par obligation aussi, puisque j'ai ces foutues lunettes.

Bref.
Je vais me coucher sacrément moins con ce soir.
Si tu sais pas quoi faire vendredi et que tu peux pas venir aux semaisons. Viens ici...

Bonsoir à tous-tes,
Pour ceux-celles qui ne seront pas présents aux Semaisons ce samedi, nous avons le plaisir

 de vous inviterce vendredi 30 août à 17h à la Ligue de l'enseignement du Cher
- 5 rue Samson à Bourgespour la  première restitution du stage théâtre surréaliste
sur "Victor ou les enfants au pouvoir" de Roger Vitrac,
encadré par la metteure en scène et comédienne Pauline Bourse (Compagnie Mobius Band) 

avec 9 comédiens amateurs Victor ou Les enfants au pouvoir est en apparence une
 comédie bourgeoise : à l'occasion d'un anniversaire, celui d'un garçon de neuf ans, 
éclatent la folie des uns, l'adultère des autres ;la bonne couche avec le maître de maison. 
Mais Victor, l'enfant, a la taille et l'esprit d'un adulte ; 
avec une petite amie de cinq ans, il s'emploie à dénoncer les apparences, à révéler toutes
 les laideurs et tous les secrets, avec une terrible cruauté. Le langage lui-même s'emballe :
 tantôt vers le délire surréaliste, tantôt en créant des mots nouveaux, ou des images
 poétiques. Vingt ans avant Ionesco, c'est déjà le théâtre de l'absurde, ou celui de la 
cruauté cher à Artaud. Sous le rire, que suscitent les moyens les plus divers et les plus 
grossiers, cet enfant de Jarry laisse un goût de cendre. GALLIMARD EDITEUR



Et sinon...
Le blog du fils.
https://ebatbuok.blogspot.com/2019/08/la-semaine-chez-papy-mammy-un-bebe-la.html

La page du jour...
http://www.lapagedujour.net/aout2019/vingtneufaout2019.htm


Zone contenant les pièces jointes


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