samedi 10 mai 2014

Avant l'Idiot.

Oui, des rues étranges, un mélange de Thaïlande et de Venise.
Je poignarde mon père et ma mère à un moment, mais je sais que je peux revenir en arrière dans le temps, je reviens d'ailleurs dans le temps.
Je suis deux personnes à la fois, le jeune homme capable et plein de pouvoir et une sorte de mentor ou de serviteur discret.
Lorsque je suis revenu dans la salle à manger où j'ai poignardé père et mère, j'avais avec moi deux autres personnes que je transportais dans une noix, j'ai fait tomber la noix, mais ce n'est pas grave, lorsque le sortilège de rapetissement cessera, ils pourront sortir de la noix, elle éclatera.
Deux femmes sont dans cette noix, deux des actrices de l'Idiot, je pense. Pour une c'est sûr, pour l'autre, moins.
Je suis étonné, ce n'est pas tant de l'Idiot que j'ai rêvé que de décors d'une ville près des eaux, avec des canaux avec une architecture improbable comme on en trouve que dans les rêves.
Le coup de couteau au père ou à la mère, à ceux qui m'énervent est le seul écho à la pièce.
L'angoisse - ou le trac - n'est pas encore monté au stade où il est généralement.
Parce que j'ai besoin de dormir.
J'aurais bien aimé savoir qui j'étais dans ce rêve, qui nous étions, moi et moi...

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