Ma fête.

 Ma fête, j'ai dû déjà en causer ici, c'est le 24 Octobre par tradition familiale parce que c'est le Saint Patron de la ville de Cordoue qui célèbre un truc ce jour là d'après la mère de ma mère.
Et je l'ai oubliée, alors que ma sœur me l'avait souhaité avant le dodo hier soir.
Je m'en suis souvenu parce que le petit avait un repas un peu festif avec des trucs qu'il aimait bien en regardant un train pas comme les autres.
Mais ma fête sera de parler de magie.
Un rêve avec des super-pouvoirs où je suis une sorte de wolverine télépathe et où nous sommes en rébellion contre un gouvernement un peu totalitaire et une menace zombie rapide.
J'ai beaucoup aimé latter les couilles des zombies et un des membres de l'équipe qui accepte de réintégrer une prison avec sa grosse bite de noir qui éberlue des gardiens.
J'ai aussi aimé que Solène appelle quand je pense à elle.
J'ai aimé la magie du moment de nommer des cailloux avec mon fils et de shooter dedans.
J'ai aimé avoir la technique pour gérer ma crise d'angoisse sans doute lié à l'affectif et au physique en partie mais surtout au monétaire qui devrait effondrer mes besoins sur la pyramide de Maslow. 

Ma fête, c'est d'avoir su gérer l'angoisse, et dans la vie, et dans le rêve en affrontant ces zombies rapides.

La page du jour est ici.

Le blog du fils est là.

Ma fête c'est d'avoir ouvert au hasard un exercice chamanique dans les 50 exercices chamaniques et d'y avoir vu la lune alors qu'elle m'a apaisé, dans le ciel encore de jour, pendant que mon fils trottinait.
Première déesse ou premier dieu. Mais j'aime bien Déesse.
Ma fête c'est de me dire ce soir que tout ira bien parce que j'ai su gérer même quand ça n'allait pas.

Le reportage du train pas comme les autres en Thaïlande avec le chapitre sur la boxe et le bouddhisme m'a parlé.
La boxe intérieure va venir, le zen ou le calme aussi. On peut lier les deux.