samedi 6 août 2011

Jour un...


Pas grand chose.
Pas grand chose mon ami... Le mystère, qui reste... Je n'ai volontairement rien su ou retenu des informations concernant le voyage...
Et à vrai dire, je n'y suis même pas encore.
Je me suis concentré aujourd'hui sur plusieurs choses, de fait...
Le manque que cela me fera de ne pas jouer plus au jeu de rôle pendant le mois d'août... Enfin, plus, de ne pas jouer du tout.
Le manque de ne pas jouer mon dernier personnage en date, là, parce qu'il y a des choses qui promettent dans le futur de la campagne et qu'une intrigue sur le plan humain, c'est quand même quelque chose de grâtiné.
A côté de ça, j'ai écrit une petite lettre hier soir à Thomas Gregory, j'ai un peu communiquer avec ma plus vieille correspondante du net (en suivi) sur une éventuelle rupture de relation en ce qui la concerne et j'ai passé un cap dans la manière de sympathiser avec le meilleur pote du jeu en ligne que je fais.
De l'humain, et dans la vie, et dans le jeu de rôle, et dans la manière dont j'ai fait les pages du jour ce coup ci...
De l'humain, à l'intérieur de soi et dans les rencontres.
Demain, sur la route, je réaliserai que je pars. Je serai sans doute déçu par le fait de devoir retrouver une routine à la rentrée mais heureusement que j'ai le théâtre et le jeu de rôle, sinon, je crois bien que je foutrais le camp ailleurs.
Est-ce que ma femme tombera si amoureuse de l'étranger qu'elle aura envie de s'installer dans le nord, là-bas en Ecosse ou au Canada ?
Je suis également impatient de retrouver une ou deux choses qui ont vraiment comptées... Revoir des trucs que j'ai déjà vus, c'est pas forcément ma priorité première en vacances.
Mais revoir des trucs qui ont énormément comptés, eh ben mon vieux... Pourquoi ça ne le serait pas ?
L’Écosse, à nouveau, c'est à la place des États-Unis où nous ne sommes pas allés, arrêtés par des problèmes de budget.
Ils doivent quand même bien se foutre de la gueule de ceux qui disent « l'argent ne fait pas le bonheur » ceux qui n'ont pas de problèmes de budget.
Et à côté de ça, y a tellement de gens qui voudraient au moins faire juste ce qu'on va faire.
Trop souvent, on ne sait pas se contenter de ce qu'on a.
Parfois, c'est à raison parce qu'on a vraiment très peu.
Mais moi, là, je vais avoir l’Écosse et plein d'images, encore, dans la tête...
Et un nouveau souffle, comme si une boucle s'était bouclée...

Un souffle qui transparaît peut-être un peu dans cette chronique des vacances, différentes...
Mais qui me rend assez fier.

Bon vent camarade, me dis-je à moi-même.

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