Auto-thérapie, 2

La page du jour.

Le blog du fils...

Pas pu faire de piano mais bonne réunion cette aprèm sur un projet théâtre (qui pourra, je l'espère, se faire dans de bonnes conditions)...

Du jdr ce soir mais pas aussi fou que d'hab, plus passif... On fait de l'entre partie au moment où je rédige ces lignes et j'attends mon tour.

La rédaction d'une nouvelle, comme à chaque fois après la partie qui aura permis de réfléchir, le temps d'attendre, à ce que je voulais.
Mon personnage développe une troisième personnalité. 

Auto-thérapie.

Constater la confrontation à un handicap psychique dans la pièce qu'on va jouer et faire en sorte d'en faire de l'autothérapie.
Ne pas se juger d'avoir mis une petite chique au gamin. J'ai en effet une misophonie prononcée et un cri aigu peut me faire vriller.
Relancer peut-être le CMP le mois prochain, parce que eh, c'est bien aussi de faire avec un vrai être vivant, même si je gère avec la page du jour (et que ça me va).

La page du jour.

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Ce qui fut bien ?

Bosser sur la page du jour en enquêtant sur un jeu qui a eu un très gros travail de traduction...
Allez voir le jeu ou même un petit émolument aux auteurs à l'occasion (je dois avouer être resté gratuit, mais le mois décembre a commencé trop meurtrier avec la voiture)

https://boya.itch.io/les-malfaisants

C'était sympa de faire la page du jour dessus.

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L'expo au domaine de Varye



Une épiphanie au réveil sur pourquoi je suis bloqué par le texte.
J'ai écrit ça...
 

Ce matin épiphanie et révélation, je sais pourquoi la pièce me retourne et j'ai compris pourquoi j'étais désemparé face à la joie des autres.

Ca me ramène à un trauma : j'ai essayé de bosser, trois semaines dans le milieu du dessin animé, et j'y ai vu la pire saloperie de ma vie en personne humaine et j'ai pas été bien traité ou soutenu.

C'est une sorte de révélation que le blocage n'est pas des scènes même si j'aime moins plusieurs rôles, je suis capable de très bien typer comme dans les mains sales...

C'est juste moi. Mais comme le théâtre est une passion et qu'au stade où j'en suis (après les épiphanies du dernier pas pleurer et de l'œuf où j'ai fait ce que Jenny a senti : être un bon magis), j'ai envie de continuer dans le ressenti de ces sensations...

Là, c'était la dégringolade à la première impression, jusqu'à écrire un premier jet où je dis ce que je pense de la merde que sont les personnages (colère sur ce qui m'est arrivé).

Et donc, un VRAI challenge. C'est une véritable révélation ce matin, je suis confronté à mon handicap psychique (impossible de m'intégrer s'il n'y a pas mes piliers dans un truc - magie, joie, liberté)

Je vais enfin pouvoir relire. Mais avec ce filtre.

Que j'ai le challenge d'être confronté à mon plus grand désarroi (qui fait que j'ai pas de fric, toussa toussa) en autothérapie.

J'ai une dimension en plus dans le théâtre, intégrer toujours dans un rôle des éléments personnels ou de regarder en quoi ça peut me guérir.

Cette idée de Trinités / religion (j'aurais pu mettre une phrase ou deux en plus) sur le dieu entreprise est mon angle d'attaque avec un Jésus servile. Une manière, surtout, de me regarder avec autocompassion.

Je ne peux pas tout a priori en théâtre sans trouver l'angle.

Mais je fais une absolue confiance dans le choix des textes de Jenny

J'ai rajouté un personnage pour pouvoir rejoindre le groupe et latter les couilles d'une phobie et d'un handicap psychique (qui seront toujours là mais ça fera du bien)

Je vais donc ENFIN pouvoir relire le texte.

Les jeux cons : 30 secondes sans...

Et sinon, la page du jour.

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La visite de la crypte de la cathédrale de Bourges et une petite balade dans Bourges avec les copains.
Merci à David pour le pot dans le café qui fait penser à Friends.

La reine des divas 2

 Tout est là


Que je n'ai pas posté sur mon FB principal parce que de base c'est l'autre FB qui est sur mon téléphone et parce que...

Gros flow d'écriture, le plus long que j'ai eu pour aussi peu de textes, mais j'ai vraiment essayer de faire tout à la fois, me donner du sens, mettre une histoire et une allégorie dans l'histoire, trouver l'âme qui me manquait absolument à moi.

Sinon, la page du jour.

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Et walla.

La reine des divas...

 Je suis perturbé. Pourquoi je suis pas emballé comme tout le monde ?
J'en ai fait le sujet de la page du jour. Mais il y a du sens. J'ai de la tendresse pour très peu de personnages masculins dans cette pièce. On est pas obligés d'avoir de la tendresse normalement. Mais moi, si. C'est un critère semble-t-il premier de choix pour moi.

Et pour mon demi-anniversaire, rien ou presque. Que du Minecraft Dungeon et réfléchir à ce qui me gênait dans une pièce qui emballe tout le monde, le trouver et décider que ce sera mon challenge. J'ai un petit texte à écrire pour m'adresser au public une fois (et peut-être quand des oiseaux meurent, j'ai envie d'un truc tragi-comique sur la mort des oiseaux, qu'il y ait une personne qui le réalise parce qu'il doit s'en occuper).

La page du jour

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En toute vérité.

 J'ai posté ça sur le groupe théâtre, puis je l'ai enlevé. Mais je le garde ici.

Je revois ma copie et je vais essayer de faire trois ou quatre scènes très très très courtes dans l'ascenseur en plus des petites touches d'adresse au public. Cette pièce me donne envie de jouer avec le public et de laisser les autres choisir tout ce dont ils ont envie, vu que je dois être le moins emballé de la bande car si j'aime la pièce, j'y vois pas mon rôle – du fait du principe du sketch et que les rôles que j'aime bien vont mieux à d'autres qu'à moi – quoique personne n'ait voulu de Sabian mais Willy le ferait très bien).
C'est la première fois que je vois pas ma place dans une pièce. Mais c'est le challenge, la trouver ou la créer. Au bout de tas d'années, moi j'aime le challenge en théâtre, faire des trucs de fou ou pas faits encore.

J'aime surtout trois scènes dans cette pièce et je mets au même niveau la scène de Jérôme et celle de Christian avec l'actionnaire.

Bonus, cette pièce fait synchronicité avec un contact important pour moi qui a manqué la voir et il y a l'unité du building, du président et de certains personnages qui reviennent. Et c'est le principe du théâtre, trouver comment sublimer les trucs. La mise en scène et le jeu servent à ça. Je sais, à l'egregore créatif manifesté ce soir qu'il y aura une bonne alchimie de groupe.

Je m'en veux pas, je découvre que j'ai un plaisir immense au rôle avant tout. Plus qu'à la pièce. Et que j'ai une vision aussi.
J'ai eu la sensation directe d'une sorte de manque, l'envie de m'adresser au public, l'envie du pigeon. Ce soir m'a permis de comprendre que le sens figuré était encore plus fort que le sens propre pour ce personnage.
J'avais envie d'un truc tragicomique.

Bref, en toute vérité, cela fera moins de texte à apprendre cette année et j'aurai le challenge de trouver le liant sans être transporté de fou par autre chose que ce que les camarades ont déjà rajouté. Certains ont écrits de très belles scènes.

Peut-être qu'à la relecture je saurai trouver le liant et abandonnerai même l'idée d'un personnage groom qui se prend pour un pigeon pour préférer le challenge d'incarner plusieurs rôles d'une manière toute différente. Je vais m'amuser quand même, pas de souci. Mais forcément après l'épiphanie de l'œuf et de Pas pleurer, c'est pas forcément évident d'avoir aussi bien.

La page du jour.

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