Yule

 J'ai pas vraiment fêté les énergies du solstice, quoique... Entre le feu d'artifice avec le fils et un petit moment au Noël Maleluka, finalement, si, de manière laïque.

J'ai aussi réalisé que n'étant pas bien, j'avais du mal à jouer un rôle en allant au théâtre. Mais que, ah... En fait, c'était pour ça que j'étais fait, jouer un rôle, ceci dit jouant déjà un rôle, je n'ai pas voulu participer à une impro mais lorsqu'on m'a proposé le rôle de narrateur, le feu sacré est venu.
Oh oui.
Et ce fut rigolo.
C'était bien d'apprendre une nouvelle de grossesse de quelqu'un ou de voir que d'autres étaient fragiles et pouvaient aussi se laisser aller.
Il n'y a pas de honte à montrer sa fragilité.
J'ai eu une discussion sur Jouissance Club que quelqu'un avait lu aussi (que je n'ai pas lu encore mais j'ai assez hâte) et cela me dit que ce côté magique introduit dans le sexe est lié aussi à la quête des autres mots clés de la joie et de la liberté en ce qui me concerne.

J'ai bien rigolé aussi avec le plaisir prostatique en parlant d'un Superman en figurine qui tient quand tu lui mets un truc dans le fion. Je fais partie du lot des houlalalala, je n'ai pas testé, mais quand même c'est bien con de ne pas tenter un truc si effectivement ça peut mener à de la multi-orgasmie.
Hu hu hu. Faut dire que des trucs dans le cul, pour l'hétérosexuel moyen, c'est pas simple. Ce n'est qu'une question d'éducation.
Mais passons, ce n'est pas non plus un plaisir possible pour tous les hétéros. La barrière du mental empêche tout simplement le lâcher prise. Lâcher prise.
Voilà ce dont on aurait tous besoin, hein ?

J'ai lâché prise sur la volonté de paraitre ou de jouer un rôle plus longtemps que nécessaire mais je me suis rechargé auprès des gens, et j'ai même fait un album de photos un peu moches (mon téléphone est pourri).

Grosse claque aussi en découvrant la petite élève que j'adorais et qui est maintenant une ado cool et musicienne. Les enfants grandissent si vite.

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Le blog du fils.

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Et un lien sur une histoire découverte par sérendipité ce soir : Leopold et Loeb