mardi 26 décembre 2023

Le temps du rêve.

 Je l'ai pris aujourd'hui et j'ai décidé que ce sera mon chemin sur trois jours.
Bien dormi, beaucoup.
J'ai écrit à l'auteur qui se situe ici après avoir été très ému des cinq heures d'interview données sur metadechoc. En écrivant j'étais bouleversé par la différence entre nos cerveaux, lui analytique, profond, compassionné, le mien étant intuitive, à la recherche de mystère et capable d'être froid pour se protéger.
J'ai trouvé grand d'apprendre des trucs sur ce qui est une fumisterie au niveau de la science (mais totale, totale, totale) mais qui marche pour les gens qui ont besoin de trouver des signes ou de se faire guider. Enfin, qui marche. Qui rassure plutôt. Qui fait du bien.
Et tant que le bien fait plus de bien que de mal. Parce que le bien peut faire du mal. Oh oui. Le bien des uns ou de certains états ne permet pas forcément le bien des autres ou de résoudre une situation.

J'ai été ravi d'avoir des nouvelles d'Éric maintenant en Calédonie. Je crois qu'il faut que je me mette ça en projet : y retourner une fois. Et en l'essence, j'aimerais tout le temps. Je crois que c'est bien de revenir aux sources. J'aurais tant aimé découvrir les îles ou la culture vernaculaire.

J'ai pas continué la méditation de Midal, j'ai commencé un livre sur le temps du rêve, écrit en anglais et sorti dans les années 90 que j'ai dû acheter ou récupéré en Australie je suppose. Il s'est imposé à moi quand je cherchais un des cadeaux de Noël de Solène que je ne retrouve pas.

J'ai remarqué que ma chatte n'est pas gênée pour chier en bas par terre ou sur des chiffons. Je dois réfléchir si je rapatrie la litière qui était dehors dedans...

J'ai vu Die Hard hier et je me tâte à regarder le deux. Et pourquoi pas ?
Hein ? :)

J'ai compris le Hans Kruger qui revenait si souvent dans la bouche de certains joueurs plein de références sur les films des années 80 et 90.

La page du jour est ici, sinon.

Et le blog du fils est là.

Et, ah, je finis sur ce truc que je réalisais encore en écrivant à Serge Bret-Morel ou en parlant à ma mère.
Ma clé, la clé de la plus grande essence de mon mal-être c'est bien que la magie n'existe pas, qu'elle ne soit que des trucs.
La magie existe.
Elle s'appelle placebo, invisible, ce qu'il y a après la mort, intuition, art, connexion, empathie, expériences mystiques, joie, âme d'enfant, synchronicité, magnétisme, chamanisme, transe, hypnose, méditation, etc, etc...
Mais elle existe.
Ah si. Elle s'appelle temps du rêve. Hâte de lire la suite même si c'est plus exigeant de lire en anglais et je me fends d'un partage de Solène...

Michel Serres, de la jeunesse....


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