J'ai envie d'être mystérieux sur le pourquoi du mot du mois prochain qui est apparu en premier lorsque j'ai essayé de méditer dessus.
Je vais me contenter de balancer des liens.
La page du jour.
Le blog du fils.
Truelle la vie (très bien sur l'archéologie et histoire du Japon)
Andor (LA meilleure série StarWars et sans doute une série qui rejoint le top du meilleur de ce qui a été fait dans le genre)
L'album FB est ici.
Le blog du fils est là
La page du jour est ici. Et c'est sûr, tant pis pour Shadowrun, il y aura du Starwars l'année prochaine.
Merci au chien pour la balade au bois.
Merci au château de Villemenard pour sa fête au château qui ne m'a pas permis d'acheter le fromage de chèvre mais m'a permis d'acheter du miel.
Merci aux créateurs de la série Andor qui est une tuerie.
L'image pour illustrer l'article
La page du jour...
Le blog du fils...
Et pour le reste, ce dont on cause dans la page du jour, eh bien.
Le holalala, la manière de le transcender, c'est toujours de percevoir de manière précise ce qu'on a gagné à chaque échange même si celui s'efface, à chaque rencontre, à chaque chose qui nous arrive.
Le temps de l'analyse du soi et du holalala est finalement précieux.
Bien sûr que c'est dur si ce petit chaton appelé Horus décède.
Bien sûr que c'est dur le pot de fromage blanc ou la crème chantilly et de ne pas voir Horus arriver...
Bien sûr que c'est dur ce que m'a fait le covid et l'éloignement de projets théâtre qui comptaient.
Bien sûr que c'est dur de ne pas avoir de nouvelles de gens que j'ai pratiqué près de deux décennies et de ne pas profiter de la joie du fils.
Bien sûr que c'est dur les gens avec qui tu causes et qui te disent bye bye ou qui décident de en plus causer.
Bien sûr que c'est dur de savoir que je ne pourrai pas refaire des voyages comme avant (du moins pour l'instant).
Mais c'est le destin.
Le destin m'amène à ce holalala aujourd'hui et à le regarder. Est-ce que j'ai envie d'être triste ou d'en apprendre quelque chose ?
On apprend de chaque échange ou instant et on a pas à désirer plus, pas à désirer que ça se prolonge plus si le destin ou les gens ont d'autres chemins.
Le seul destin c'est soi-même.
Holalala, c'est le chemin, parfois compliqué, certes, pour être heureux avec soi-même.
Grand, grand, grand merci à Solène de m'avoir permis de tester l'idée que j'avais pour Bravoure et Infortune, ce jdr amateur et que je voulais traduire sur Star Wars et Shadowrun.
C'est là que j'étais, en fin de matinée en connexion avec Solène alors que j'avais les yeux fermés.
J'aime bien ça, connecter et voir ce qui arrive.
C'était épique. Les paysages incroyables qui défilent surpassent en général tout ce qu'apporte le monde réel.
Un peu de vague à l'âme toujours du fait de la mort d'Horus, de lutter contre l'éveil d'un herpès (je pense que c'est bon, cela dit) et de dépasser une certaine fatigue mentale.
Je finis par admettre que je suis le représentant d'une espèce décrite ici.
Même si je me ressource aussi auprès des gens.
Ce n'est pas la période pour plein de monde...
C'est comme ça.
Qualité prime sur quantité. Bon, là, je dois surtout tenir compte de ma qualité.
Bisous à ma mère, je vais essayer de regarder Marie-Octobre du coup.
Le blog du fils.
La page du jour.
Et ce soir jdr et fin de soirée avec les deux derniers épisodes de la série le Mandalorien je suppose.
Je referai la journée, mais plus longue, en passant plus de temps sur place.
Merci à David de m'avoir accompagné.
L'album est là...
Et sinon, le blog du fils.
La page du jour.
Et les bonheurs du jour ou de la veille.
- Le temps au tel avec Solène.
- Les tricots sur les arbres.
- Acheter un peu hors budget quatre bières au VmB après avoir trouvé un petit casque pour pouvoir utiliser mon tel qui déconne.
- La mandalorien saison 3 hier soir qui est ma reprise d'une série télé pour la première fois depuis novembre dernier
- La liberté de prendre du temps à rien faire ou soigner. Je ne dois pas risquer l'herpès. Je me repose. Rien. La friche. Et c'est bien. C'est une force de la choisir.
L'image que je choisis pour illustrer la journée est la première du premier lien...
De ce jour, je retiens...
Beaucoup de repos, beaucoup, beaucoup.
Trop de puces sur Chimê.
L'envie de se remettre à l'espagnol en jouant avec un argentin ce matin à mon jeu de flingues.
Manquer de peu un gros accident en allant chercher son casque.
Un livre appelé : exploitez les pouvoirs extraordinaires de votre cerveau qui m'a parlé en allant chez Noz
Écouter des émissions d'histoire sur les femmes au moyen âge (Nota bene d'abord, puis Arcana TV)
Avoir communiqué sur FB avec la propriétaire de la crêperie qui a fermé.
Le blog succinct du fils.
La page du jour. (Et donc la Force d'être vivant)
Et walla.
Merci à la chaîne Nota Bonus / Bene de m'avoir aidé à faire un peu ma cuisine en écoutant des trucs intéressants (les bonheurs du jour, en gros)
Yo.
Ce sont en gros les deux seuls éléments de fou de ma journée avec la venue de David pour me mettre deux roustes, une aux échecs et une autre aux aventuriers du rail.
J'ai bien aimé aussi les images de Bratislava envoyées par Solène.
Et c'est tout.
C'est que c'est pas fou les journées où tu es un peu au tas avec le mal de crâne. Mais la force de surmonter en écoutant des trucs qui rendent moins cons. J'ai bien aimé l'épisode qui expliquait en quoi Zeymour est une fumisterie sans nom au niveau de l'Histoire.
La page du jour.
Le blog du fils.
Rien à dire sur ce jour.
Au tas relatif, j'ai payé hier sous toutes ses formes et puis le fait de ne pas avoir le fils (j'ai même appelé ma chienne Aoden, c'est dire)... Mais j'ai eu la force de m'éduquer :)
Je donne donc deux liens intéressants de la chaîne nota bonus...
Le nazisme
Les barbares
Et un autre d'Arcana TV sur la Main de Gloire (et j'inaugure ainsi mon onglet Histoire)
Et pour le reste, la page du jour.
Le blog du fils.
Et j'intègre un joli tweet... allez...
Ceci n'est pas de la science fiction. Voici la Terre vue depuis une sonde en orbite autour de la Lune.
— Eric Lagadec✨🌍 (@EricLagadec) July 23, 2023
© agence spatiale japonaise (JAXA) pic.twitter.com/1XLT72gTmx
J'ai rêvé de Solène et de son colocataire qui me proposait de faire un sondage sur mon jeu fétiche.
J'ai rêvé de la maîtresse de mon fils qui me propose de surveiller son fils un peu neuneu (pas le vrai fils mais un autre enfant de l'école un peu neuneu en vrai) au milieu d'une bataille de gang. En poussant le chef de gang, je défonce un réseau de trafiquants d'hydrocabures.
Yo.
Le bois du Névet, on a eu l'occasion de marcher un peu en découvrant un chemin qu'on ne connaissait pas et en rencontrant une dame qui baladait un chien de 55 kilos.
La journée en partie avec ma sœur, on a eu l'occasion de ah... Elle m'a rappelé un protocole du samedi qu'on avait avec ma mère parfois entre le rangement de la chambre et s'occuper du jardin sous notre fenêtre qui nous conduisait à la collecte d'un peu d'argent de poche et un repas au restaurant Le Sydney où nous allions souvent.
Les bonheurs du jour.
Le bois du Névet ce matin et faire créer à mon fils ce qui sera son premier personnage de jdr, c'est dans les vidéos de l'album connecté à son blog.
L'éclair à la vanille vendu à la seconde pâtisserie et le plaisir de mon fils en le voyant.
Le cimetière de Plonevez-Porzay avant que Laura n'arrive.
La découverte des nouveaux chemins dans les petits bois du Plonévez.
Voir ma mère et mon fils profiter d'un dessin animé tous les deux.
Le blog du fils...
La page du jour.
Et en ce qui concerne le mot du mois, eh bien, ce qui me pousse à revenir à Bourges plutôt que reviendre sur Plonévez, c'est d'affronter la réalité plutôt que de la fuir.
Je mets en image du jour la photo que mon fils voulait mettre dans son blog et que j'ai oublié de mettre, un souci (ou une marguerite) du cap.
L'abbaye de Daoulas, j'adoreeeeuuuuu. Le lien (entre autres liens)
La ville, sympa pour ce que j'en ai vu. 1833 habitants en 2020 mais ma came, ma came pour l'abbaye.
Ah la la la, la paix. Et la qualité des expositions dans cette dernière.
J'ai acheté le catalogue et une statuette gardienne funéraire. J'ai esquivé l'achat de La légende de la mort chez les bretons armoricains parce qu'elle se trouve gratos sur Gallica : ici.
J'ai d'ailleurs lu l'histoire de Jean l'Or juste après avoir donné le lien. Bon, ça donne envie d'avoir le livre vu la qualité du pdf qui peut être compliquée pour des yeux fatigués.
On trouve une version plus lisible en ligne ici...
Je vais me contenter des bonheurs du jour, du coup.
- L'exposition sur la mort : Mourir, quelle histoire !
- L'Abbaye dans son ensemble, avec la balade dans les jardins, le déjeuner à l'abbaye avec le fils et les sandwichs et le gâteau breton avec de l'amande que j'avais jamais goûté de ma vie. Le fils aussi qui se fait un petit copain et qui rajoute facilement une heure à la visite.
- Une plante dont je tombe amoureux, je sais pas pourquoi : l'échium pininana
- Les trois trucs que j'ai voulu acheter, et même si je n'en ai pris que deux, la satisfaction d'avoir lu un bout du troisième. J'aime bien les contes, moi.
- La partie de uno à trois.
Et sinon, la page du jour.
Et le blog du fils.
Et merci à l'univers, en dépit de la fatigue aux yeux, du fait que je vais être pas mal seul les prochaines semaines, je me sens un peu plus fort grâce à ce que j'ai vu aujourd'hui, ce qui est le mot du mois.
Et pouf, l'image de l'échium pininana pour illustrer l'article.
Ben forcément avec la journée à Tréboul et Douarnenez, racines.
Je me suis dit de manière évident en manquant de prendre l'accent breton avec le guide de l'église de Kerlaz que j'ai quand même la Bretagne dans le sang.
Sans le fils, n'arfoute, je serais reviendu ici, quitte à tout bazarder et loger ici le temps de trouver quelque chose.
J'ai une affinité avec ma ville de naissance, c'est normal. Je n'y peux rien, j'aime le port et l'ambiance.
J'aime les crêperies, le bar, le port, les églises liées au passé glorieux de la Bretagne avant qu'elle ne se fasse rétamer par cet enfoiré (je le sais maintenant) de Louis 14.
J'aime la communication, l'accent. Un petit pouce up pour le marchand de produits de cbd chez lequel j'ai pu acheter une excellente bière au chanvre.
Troooooop bonne. La Startigen, cuvée blonde artisanale de Tri Martolod.
J'ai apprécié qu'on passe près de 7 heures sur les racines.
Merci fils, dont voici d'ailleurs le blog.
La page du jour est ici.
Sinon, je me souviens que j'ai eu des rêves qui tenaient un peu du jeu de rôle où j'étais capable de définir les caractéristiques de l'équipe qui serait dans mon camp dans un conflit dont je ne me souviens plus de la nature.
Mais l'idée reste toujours de reconnaitre finalement la puissance incroyable du divin en nous. Lattons l'ennemi que nous sommes pour nous-même pour reconnaître l'incroyable puissance de l'ami ou du divin en nous. De la Force, pour parler comme dans les pages du jour.
La Force c'est mieux que le divin.
Bisous la Force.
Et j'illustre mon article du jour avec cette image, allez...
Ah si, les 5 bonheurs du jour.
- Les mûres avec le petit le matin.
- La crêperie.
- La plage des dames.
- La chapelle de Sainte Hélène.
- Les explications du guide dans l'église de Kerlaz après avoir fait un arrêt dans le village pour acheter du lait cru dans un distributeur.
Bon. Il y a ce lien qui peut aider à comprendre ce qui s'est passé à un moment dans l'histoire de la Bretagne. Je le mets après avoir entendu un type chargé de communiquer sur la chapelle du Ménez-Hom parler de l'histoire de la chapelle et de la Bretagne.
Il y a la méditation sur le cairn (pas ancien, hein) du Ménez-Hom ce matin avant de passer à la chapelle.
Il y a le fils, trop content de trouver des éclairs vanille à l'intermarché.
Il y a la balade à Saint Anne La Palud avec le fils cette après-midi.
Et il y a la teneur du dernier coup de fil avec Solène.
Walla, j'ai les cinq bonheurs du jour. Je ne compte pas la recherche sur les bonnets rouges, elle est issue du bonheur de ce matin.
La page du jour, sinon.
Et le blog du fils.
Ah si, en ce qui concerne la Force, eh bien dans la méditation je suppose et dans la force du lâcher prise. Tant pis si je dors plus que prévu en vacances ici. Il faut écouter son corps;..
Bon, il y a eu ce rêve de figuration en partie, où malgré tout, j'ai une relation avec l'actrice principale, en visite dans nos contrées.
Il y a cette journée un peu floue le matin parce que bon, faire les courses, hein, mais aussi aller voir une cloche pour mon fils ou m'écrouler en fin de matinée par manque de sommeil.
Puis ma soeur cette après-midi qui m'a ému en ramenant des tas de trucs. Mais des tas. J'ai un lot de tee-shirt qui dépasse maintenant l'entendement :)
Mais ce sont en particulier les playmobil qu'elle a offert à mon fils qui m'ont ému sur le début.
J'augmenterai doucement sa petite collection pour qu'il puisse s'amuser un peu avec les pompiers et autres personnages d'autres époques (dont Astérix et Obélix qui correspondent à une intelligente idée de ma sœur parce qu'elle sait qu'il a découvert Idéfix et les irréductibles).
Même s'il n'est pas forcément sur son registre, j'espère qu'elle profitera du livre que je lui ai offert (que dalle en rapport de ce qu'elle nous a offert, sa race).
Je me suis rendu compte que je m'énervais encore quand ma mère s'énervait. Le côté sanguin chez nous quand même. Mais pas longtemps, juste un truc lié au derme.
J'ai analysé des trucs, cons, et simples, c'est que je sais parfois que la technique de l'engueulade n'est pas bonne avec les hypersensibles.
Mon fils, ça lui a fait du bien que je cadre d'une certaine façon et qu'on le cadre d'une certaine façon, ça lui a fait du bien d'aider un peu, d'accompagner sa grand-mère marcher.
Je les aurais bien laissé tous les deux une journée le temps que j'aille visiter l'abbaye, juste pour que ça connecte sans qu'il ne joue le rapport au père et à l'autorité.
J'ai compris aussi cette histoire compliquée du rapport au père quand ma sœur m'a appris que mon père avait en fait quitté sa femme en apprenant qu'elle avait un amant qu'elle faisait passer pour son frère.
Son ego a mangé et la dépression a dû causer en partie le suicide.
Mais pourquoi ces blessures de la trahison ?
Pourquoi ?
J'en sais rien, et je ne saurai pas.
Je veux juste ne plus me trahir, ce qui est la pire des trahisons; Par le fils qui me traitait de con, j'ai mis une claquounette (j'ai vraiment pas giflé, c'était juste la claquounette) au père.
D'un truc qui devrait me meurtrir, j'en tire une libération.
La fin d'une grosse empreinte du père et des explications bien menées.
Mais arrivons aux bonheurs du jour.
Les playmobil offerts par ma sœur.
Les tee-shirt qui sont cools, dont deux que j'adore ("Charman" et "Je suis bogosse comme mon fils")
La balade avec le fils et ma sœur.
La partie d'initiation de jeu avec toujours la frangine pendant que le fils vadrouille avec ma mère.
La partie de jeu de rôle de ce soir (que j'ai du mal quand j'en fais pas au moins une fois par semaine).
La page du jour.
Le blog du fils...
Et sinon, soulagement, l'opération (bégnine mais fallait endormir) de la mère du petit s'est bien passée. On est toujours mieux quand on a des nouvelles. Elle n'a pas voulu maintenir un rapport d'amitié mais ça n'empêche pas le lien qui restera toujours sur des souvenirs ou surtout le fils.
Il y a des rêves un peu étranges, toujours de déménagement mais où on peut dire que ce qu'il y a de bien, c'est de s'affirmer quand une situation n'est pas juste. Je n'appréciais pas d'être viré de l'endroit où j'étais pour me retrouver juste à côté dans un appartement bien, certes, mais que je n'avais pas les moyens de m'offrir.
Il y avait aussi ma femme et mon fils qui avaient disparu dans une voiture mais je retrouvais mon fils.
Mais passons. En communiquant avec un contact qui est à Avignon, j'ai eu l'idée de lui demander ce que j'ai déjà demandé à quelqu'un pour positiver (je garde l'anonymat, c'est mon blog, pas le blog où je parle de ceux qui ont du mal à positiver en citant leur nom).
L'exercice est simple.
Citer les trois ou cinq (je sais, ce sont mes chiffres fétiches mais c'est bien de ne pas faire plus que ça pour faire l'expérience de ce qui a vraiment compté).
- Faire faire acheter deux niniches (des sucettes) ce matin par le fils. J'étais content qu'il demande lui-même à la vendeuse.
- La partie de Uno où le fils a décidé de se saborder à fond à la fin, foutu pour foutu.
- La vidéo que j'ai faite sur ma divination des cartes de Uno après que j'ai deviné plusieurs cartes grâce à un simple truc (à découvrir dans les liens du blog du fils)
- Faire le bon samaritain à Locronan en récupérant le ballon de deux ados qui n'osaient pas grimper un talus assez haut de terre meuble (près de 3 mètres) ou en expliquant pas mal de choses sur les sources de la religion ou des trucs à voir ou remarquer à un trio de voyageurs qui s'est assis avec moi un quart d'heure devant la statue de la trinité.
- Le mariage de GK (forcément).
Je me suis aussi amusé à définir 5 ambitions (houlalala).
Et je ne sais pas.
Dois-je les exposer toutes ici ? Eh bien disons que c'est intéressant de les lier à mes cinq piliers : amour (art - comédie), paix (médium), joie (jouir), liberté (polyglotte) et magie (magie).
Oui, les ambitions des piliers ou des expériences vécues, c'est pas mal. Je ne peux pas donner les moyens pour tout tout le temps mais ce sont des caps à garder.
Citer 5 bonheurs du jour ce pourrait être l'exercice total pour le futur de ce blog.
La vie ne serait-elle d'ailleurs pas mieux si on arrivait à faire en sorte de vivre au moins ces cinq bonheurs (même fugaces) et de s'en nourrir ? (Je sais, la question est gnangnan et la réponse est évidente, mais je m'en fiche ;))
La page du jour.
Le blog du fils.
Bon.
Pas la journée de fou.
Juste un peu de courses localement, constater que la crêperie où on allait a fermé (la proprio cherchait à vendre), que l'autre crêperie ma mère ne veut pas y aller (mais on y ira).
Et puis les cadeaux de base et surtout pour l'anniversaire de Solène à la biscuiterie Jain.
Yo.
Un accident qui a failli se passer sur un classique débordement de quelqu'un pendant qu'on est dans l'angle mort (ça m'est déjà arrivé de manquer rentrer dans quelqu'un).
Et le petit qui préfère rester à la maison.
Mais content d'être au bercail (j'ai cherché le sens et l'origine de l'expression qui vient de bergerie) dans le sens, source de mes racines.
Bisous la vie.
Le blog du fils.
La page du jour...
Et je sais, normalement le dimanche c'est vidéo alors je partagerai si je peux sur les réseaux sociaux mais le lien est dans la page du jour pour une fois.
Et si, il y a eu ce rêve étrange ce matin où je me suis réveillé après avoir été une sorte de wolverine qui tuait le méchant et son clone en même temps dans un univers dystopique où des super-pouvoirs pouvaient être donnés à des gens en prenant le matériel génétique d'un bébé mort.
Hou. Il y avait aussi une cité sous-marine, sorte de paradis pour les riches. Mais comme d'hab, un rêve de lutte contre l'autorité et le pouvoir.
La Force d'être soi-même.
Le lien vidéo de la semaine malgré tout.
Matinée extrêmement à la cool, sans rien faire, à part à manger et jouer un peu. J'ai fait mon deuxième riz au lait en improvisant. Cool Raoul.
Après-midi à rien faire entre la sieste et la plage (où je n'ai eu le temps que de dessiner dans le sable)
Soirée un peu longue pour attendre un feu d'artifice un peu pourri.
Je devrais regretter ma partie de jeu de rôle, mais c'est comme ça, c'est le destin.
Le maître de jeu a fait une petite séance spéciale pour tenir compte de l'absence de deux des personnages joueurs (dont le mien).
Cela m'aurait embêté de louper la partie pour un feu d'artifices bof, mais pas pour le fait d'offrir cette dernière soirée sur la plage au fils trop content de se coucher à près de minuit.
J'ai réfléchi à la claquounette que j'ai mise au fils. Je ne m'en veux pas. Il a été particulièrement pénible à certains moments et j'ai regardé sous le sceau d'une révolte ou colère ma main faire une claquounette.
Tout est mis dans le blog du fils.
On va mettre en place un tableau de discipline.
Mais qui peut marcher pour plus que lui.
Civisme, rangement éventuellement et communication de la joie.
Ouais, c'est bien comme trois volets.
La page du jour est ici.
Le blog du fils est là.
La force elle, est dans celle d'avoir tenu le coup (même si la sieste m'a rattrapé) sur de putatifs maux de crâne ou de bide qui auraient pu me coucher.
La force c'est aussi la mer que je n'ai pas empruntée pour l'écouter un peu seulement le soir ou dessiner des totems dans son sable.
Deux bémols, les voix sont en playback et il y a une idéologie judéo-chrétienne qui revisite un peu l'histoire mais franchement c'est bien. Très bien.
Très très bien.
Faut juste deux jours pour tout faire et le budget qui va avec.
Mes claques furent (en dehors de surmonter un mal de crâne de folie après une quasi nuit blanche) :
- Les mousquetaires le matin.
- Les vikings qui sortent de l'eau.
- La parade romaine
- Déjeuner avec le fils et parfois des oiseaux.
- Offrir une glace un peu tôt au fils.
- Discuter le tonnelier après le truc sur Arthur qui était peut-être un peu court. Un gars intéressant, au travail depuis 57 ans).
- Le parcours de Lapérouse.
Le blog du fils, sinon.
La page du jour.
Tout seul, j'aurais marché des kilomètres ce matin sur la plage.
Tout seul, j'aurais sans doute marché aussi cette après-midi.
Mais la plage, et la piscine avec le fils et un peu la popotte le soir, tranquille, en sirotant deux bières, pourquoi pas.
Le fils s'est fait des potes et c'est bien pour lui.
Son blog.
Je vais continuer la popotte en attendant le retour de David et Benoît. Mais bon. Avec l'handicap, l'accrobranche n'était pas indiqué.
Pas grave. Je suis de plus en plus fataliste, apprécier ce qui est. La méditation à la plage, à la piscine, le toboggan cet aprèm en dépit des sensations de froid que je ne supporte vraiment pas.
Je suis l'homme de mon enfance.
Donnez-moi la Nouvelle Calédonie et je crois que j'y retourne. C'est le climat pour moi.
La page du jour, sinon...
Merci à cette journée, tranquille, de m'avoir appris la force d'accepter totalement l'idée fataliste de ne rien maîtriser à part la manière dont on veut coordonner son esprit pour avoir de la joie en tout.
Exemple, le riz au lait de ce midi (mont blanc) n'était pas bon ? J'en fais un avec de la confiture et des guimauves (parce que je n'ai pas de sucre) et du riz semi-complet (pas forcément approprié)... Et c'est bien comme ça;
J'attends des plombes le fils à la piscine ? Je m'amuse à des jeux d'ombre avec ma main en matant parfois ce qu'il y a à mater et constatant le manque de chair. Oui.
Je suis occupé à faire la popotte pendant que le fils joue ? J'appelle Solène que je n'ai pas le temps d'appeler sinon...
Et je fais aussi les blogs maintenant. Soirée libre...
Demain, Puy du Fou. On verra bien. Yo.
J'aurais bien passé quelques jours de plus carrément sur Noirmoutier.
Parce que j'ai bien aimé.
Et que c'était court, forcément.
Le fils un peu gnan gnan parfois. Faut que je reprenne des choses en main, mais je vois des directions à prendre sur la manière de l'investir ou de ne pas céder.
Le blog du fils, d'ailleurs.
La page du jour.
Une journée marquée par la force du fatalisme sinon. Parfois, on ne peut rien. Rien. Rien faire.
Il faut surfer sur la vague et laisser couler.
Un épisode particulier de cet après-midi m'a ramené à la solitude parfois très forte que je vis.
Le fait que des gens n'aiment pas faire des choses tout seul me ramène à ben oui, mais parfois, pas le choix, et c'est un choix que je n'ai pas eu des tas de fois dans ma vie. Donc être triste et ne pas faire ou faire et essayer de faire avec ?
On peut pas toujours tout partager, c'est comme ça. Dans les faits, dans l'absolu, la seule personne qui devrait être la priorité pour le bien-être c'est soi-même.
Cette lourde responsabilité de la manière de voir les choses et d'accepter qu'on ne choisit pas la courses des événements mais qu'on peut finir par choisir, en travaillant la spiritualité ou une forme douce de développement personnel...
Hou.
Pas facile.
Mais toujours, toujours, toujours, quoiqu'il arrive, la principale personne à blâmer c'est soi-même. Parce qu'on aura pas su comment réagir.
Allez, j'essaie de me promettre que c'est la dernière fois que je rabâche ce genre de clichés.
Ultime caca doigt qui me pousse à ne donner que deux liens ce soir...
Le blog du fils.
La page du jour.
Pas la peine de râler, remercions le beau coucher de soleil, la journée à pas trop en faire (franchement, j'ai eu l'impression de rien foutre de chez foutre, mais j'y suis habitué, c'est surtout à la plage que c'était bizarre où je me suis amusé à dessiner des trucs dans le sable pendant que j'attendais la bande près de l'eau, mais c'était pas si grave, j'ai passé des coups de fil) et l'esprit de la mer (en dépit du trop trop trop grand nombre d'algues dedans pour mon goût).
C'est comme ça, c'est pas grave de pas trop en foutre, c'est plus important de, ah, comment dire ? D'être bien peu importe la manière.
Et là, l'objectif est atteint.
J'ai dû aussi avoir la force de reconnaître mes limites. Oui. Et c'est bien. Bel et bien. Ou mal selon. Tous les loisirs ou presque proposés me sont interdits si je ne veux pas souffrir.
Mais j'ai toujours le loisir de souffrir. Ce qui est mieux que de ne pas pouvoir faire du tout.
Après, hein...
Le blog du fils, du coup.
La page du jour, également.
Et en ce qui concerne la journée, content de découvrir le camping et les alentours. Le quad (il y a un terrain) semble intéressant, les lieux aussi. Le niveau financier pour avoir des vacances totales est plus compliqué, heureusement qu'on ne paye pas le mobil home, ça fait une belle économie.
Je ne sais pas ce qui s'est passé à la plage, trop froid pour moi, j'ai des problèmes ensuite quand je suis saisi. Sans doute le tee-shirt que je gardais et qui restais mouillé et mon corps qui perdait de la chaleur en essayant de réchauffer un truc que je n'aurais pas dû garder sur le corps. La prochaine fois, j'emmènerai les deux tee-shirts.
J'ai aussi toujours la limite de mon entorse qui s'est réactivée dans quelques mouvements de course (à peine, sur 15 mètres) sur la plage.
Mais tout est leçon. Prendre le temps de méditer et de s'occuper des aléas du corps.
Je retiens cette image de la journée, allez... parce que c'est la seule qui se valide avec la connexion de mierda...
-dépassement de soi sur la gestion d'une crise d'angoisse ou de la douleur en conduisant.
-pages du jour faites en avance (jusqu'au 15) mais celle du jour est ici.
-temps à la plage, pour ma résistance au soleil, avec le fils... Son blog.
-jeu dans le rêve de la nuit dernière où je donnais un coup de main à un maître de jeu pour maîtriser toute une séquence sur le sceau de l'improvisation et de la liberté.
Mais je ferai dans deux semaines, allez, pas grave... Il me les faut ces quelques jours vraiment ici à me réapproprier tout ce que je dois réapproprier. Travailler le fait d'avoir la force.
La page du jour.
Le blog du fils.
Et pour les cambrioleurs éventuels, bisou. Je suis pauvre, j'ai pas grand-chose, n'en rajoutez pas. Enfin si, y a des tas de livres.
Des tas.
Merci aux deux joueurs de ce soir. La base de presque toute la reconstruction du nouvel univers est en place.
Petit exercice pour diffuser le positif plutôt que la déprime qui ne me donnait pas envie de voir du monde et ça a marché.
Le temps passe assez vite à plein même si tu n'as pas le temps de discuter avec tout le monde.
Je ne regrette pas de ne pas avoir séché la soirée (à l'inverse d'un des camarades) pour profiter du repas chez Alberto (sans plus au niveau pizza en effet, dans la nouvelle version).
Toutes les épreuves des derniers mois et jours ont parlé de la Force de l'Aura. C'est ce qui est le plus à travailler pour soigner le reste.+
Le blog du fils est ici.
La page du jour est là.
Petites notes spirituelles et rôlistes (pense-bête).
Je me dis que si je devais associer les 5 piliers, ce serait (entre parenthèse pour le hasard)
Paix, résilience, volonté, terre, Algiz, (Dagaz )
Joie, Plaisir, Humour, feu, Wunjo, (Laguz)
Amour, Aura, Empathie, eau, Berkana, (Tiwaz)
Liberté, curiosité, savoir, air, Dagaz (Gebo)
Magie, Spiritualité, Rêves, Ansuz, (Hagalaz)
Rien de fou.
Juste une envie de faire correspondre des symboles et des caractéristiques en JDR ou les éléments dans le système le plus simple sont après des tas de réflexions... Terre (vigueur, force, combat), Feu (agilité, réaction, tir), Air (Intellect, technique, sens), Eau (Charisme, volonté, nature) et Magie (arcanes, pouvoir et art)
Le blog du fils.
Le blog du chat
La page du jour (pitin, ça prend du temps de reprogrammer FB, même si je ne sais pas si cela fera grand-chose, j'ai dû isoler un max de 50 personnes à suivre, mais je crois que je préfère de loin deux méthodes : les gens en vrai que tu vois en vrai. Les gens qui sont loin que tu suis mais pas plus d'une vingtaine.)
Fatigué, oui. C'est pas le ghosting. C'est pas le fait de n'être rien en virtuel. C'est sans doute le fait de n'être pas grand chose pour la société en réel. Mais et encore, pas tant que ça.
C'est plus l'envie de faire un truc bien pour moi qui me fasse vibrer.
Petite dédicace aux deux maîtresses de mon fils à qui j'ai acheté les 4 accords toltèques et à qui j'ai joint un petit mot pour les remercier de leur travail cette année.
L'image du jour, allez...
Et walla.
Gros dodo deux jours de suite mais vu la semaine précédente...
La page du jour, du coup.
Le blog du fils,
Et demain, c'est d'arrache pied pour faire des pages du jour en avance, cong...
Un petit pouce up pour ma sœur qui a la force de chercher un régime après l'analyse de son arthrose.
Merci aux joueurs du lundi pour la partie et ce en dépit que le frère du mj soit partie dans un délire qui aurait pu foutre la merde. Mais c'est toujours pareil, ne jugeons pas. Si tu projettes quelque chose sur quelqu'un, tu en fais ta réalité. Je n'ai pas eu envie de me battre, je suis considéré comme un pigeon, ça ne sert à rien que j'essaie de jouer aux échecs. Il y aurait risque qu'on considère que je renverse les pièces et chie sur l'échiquier :)
Je suis un peu surpris.
Une personne avec qui j'ai une épiphanie sur un aspect mystique qui rompt toute communication le jour de mon anniversaire.
Un rôliste que j'aime bien et avec qui j'ai pu jouer pendant le confinement et qui est parti sur un délire dans sa tête totalement hallucinant me prêtant des intentions que je n'ai jamais eues et qui décide de rompre tout contact avec moi. Je n'ai pas pu lui répondre en privé, il a banni la communication.
Les deux contacts apparus le jour de la mort d'Horus qui s'effacent d'un coup alors que les discussions étaient sur des registres aussi du spirituel ou de la philosophie.
Les gens sont bizarres, sans grande empathie pour rester sur des préjugés et ne pas se mettre à la place des autres.
J'ai accompli une petite cérémonie personnelle à Villabon ce matin et je me suis libéré de tout ça. J'avais juste à prévenir le frère du joueur qui a pété les plombs en me prêtant d'étranges intentions que j'étais désolé pour son frère qui devrait voir un psy, ça lui ferait du bien (je le sais, puisque j'en vois une).
Ceci dit, bon, voilà, gros groooooos dodo. Et la Force est avec moi.
La vie est trop courte pour se prendre la tête. Alors on peut être comme certains, sans empathie et partir, comme d'autres, avec le besoin de s'étaler sur ses constructions psychiques pour se rassurer.
Moi, j'ai décidé de ne plus jouer aux échecs avec les pigeons ou de ne pas jouer aux échecs quand je suis le pigeon.
J'ai bien aimé sinon avoir des retours sur Instagram et sur Facebook d'autrices qui me semblent au contraire humaines et pas sur le chemin du désir de briller à tout prix.
Merci à Solène pour la photo qui lui a fait penser à Horus (et il avait de ça sur la fin, le bonhomme)
Je place cette photo d'ailleurs en illustration de l'article...
