Tout seul, j'aurais marché des kilomètres ce matin sur la plage.
Tout seul, j'aurais sans doute marché aussi cette après-midi.
Mais la plage, et la piscine avec le fils et un peu la popotte le soir, tranquille, en sirotant deux bières, pourquoi pas.
Le fils s'est fait des potes et c'est bien pour lui.
Son blog.
Je vais continuer la popotte en attendant le retour de David et Benoît. Mais bon. Avec l'handicap, l'accrobranche n'était pas indiqué.
Pas grave. Je suis de plus en plus fataliste, apprécier ce qui est. La méditation à la plage, à la piscine, le toboggan cet aprèm en dépit des sensations de froid que je ne supporte vraiment pas.
Je suis l'homme de mon enfance.
Donnez-moi la Nouvelle Calédonie et je crois que j'y retourne. C'est le climat pour moi.
La page du jour, sinon...
Merci à cette journée, tranquille, de m'avoir appris la force d'accepter totalement l'idée fataliste de ne rien maîtriser à part la manière dont on veut coordonner son esprit pour avoir de la joie en tout.
Exemple, le riz au lait de ce midi (mont blanc) n'était pas bon ? J'en fais un avec de la confiture et des guimauves (parce que je n'ai pas de sucre) et du riz semi-complet (pas forcément approprié)... Et c'est bien comme ça;
J'attends des plombes le fils à la piscine ? Je m'amuse à des jeux d'ombre avec ma main en matant parfois ce qu'il y a à mater et constatant le manque de chair. Oui.
Je suis occupé à faire la popotte pendant que le fils joue ? J'appelle Solène que je n'ai pas le temps d'appeler sinon...
Et je fais aussi les blogs maintenant. Soirée libre...
Demain, Puy du Fou. On verra bien. Yo.
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