mercredi 12 juillet 2023

Et moi, là, eh ben...

 J'aurais bien passé quelques jours de plus carrément sur Noirmoutier.
Parce que j'ai bien aimé.
Et que c'était court, forcément.
Le fils un peu gnan gnan parfois. Faut que je reprenne des choses en main, mais je vois des directions à prendre sur la manière de l'investir ou de ne pas céder.
Le blog du fils, d'ailleurs.

La page du jour.

Une journée marquée par la force du fatalisme sinon. Parfois, on ne peut rien. Rien. Rien faire.
Il faut surfer sur la vague et laisser couler.
Un épisode particulier de cet après-midi m'a ramené à la solitude parfois très forte que je vis.
Le fait que des gens n'aiment pas faire des choses tout seul me ramène à ben oui, mais parfois, pas le choix, et c'est un choix que je n'ai pas eu des tas de fois dans ma vie. Donc être triste et ne pas faire ou faire et essayer de faire avec ?
On peut pas toujours tout partager, c'est comme ça. Dans les faits, dans l'absolu, la seule personne qui devrait être la priorité pour le bien-être c'est soi-même.
Cette lourde responsabilité de la manière de voir les choses et d'accepter qu'on ne choisit pas la courses des événements mais qu'on peut finir par choisir, en travaillant la spiritualité ou une forme douce de développement personnel...
Hou.
Pas facile.
Mais toujours, toujours, toujours, quoiqu'il arrive, la principale personne à blâmer c'est soi-même. Parce qu'on aura pas su comment réagir.
Allez, j'essaie de me promettre que c'est la dernière fois que je rabâche ce genre de clichés.

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