dimanche 14 janvier 2024

Rêves.

 De cette nuit...
Réveil avec la nausée et mal au crâne...  Il y avait un objet carré qui contenait un pouvoir, peut-être une suite du précédent rêve (celui de la veille), un pouvoir qui ne devait pas être révélé ou utilisé, ce qui est un peu stupide, il me semble que je l'utilisais, peut-être parce que c'était lié à mon totem, il n'y avait rien de compliqué, il s'agissait d'accepter le sens de la vie et de prendre les choses comme elles venaient.   Le pouvoir aurait bientôt été révélé, mais inspiré par quelqu'un d'autre ou mon totem je ne sais plus, en dépit de l'interdit un peu stupide de ne pas l'utiliser, je me retrouvais un peu gêné de briser un tabou social...

De la sieste
Il y avait un rêve cet après-midi où j'étais en déplacement, c'est comme si j'étais avec Clarisse à Angoulême, et que je retrouvais une pièce avec plein de livres et de petits objets (beaucoup de petites voitures orange et jaune) que je n'avais pas emportés, j'étais dans sa famille mais je n'étais plus de la famille... Il fallait rentrer le lundi et préparer les affaires, c'était une déchirure de laisser certains objets, plus personne n'était dans la maison quand j'ai essayé de retrouver une sorte de partenaire qui était une jeune femme noire... Clarisse avait eu un geste  tendre autour de la caravane avec laquelle on devait repartir mais ce n'était plus Clarisse à qui je causais, mais cette femme noire occupée avec les obligations familiales et une sortie au bord de l'eau. Me sentant seul j'ai abordé le bord de l'eau, j'étais habillé comme je suis maintenant avec ce pull que m'a offert ma sœur, j'ai vu une créature dans l'eau et puis j'ai décidé de faire comme dans les rêves, essayer de m'envoler, jamais les personnes ne me voient quand je m'envole, mais cette fois-ci un enfant me remarque et je lui fais signe du chut parce que c'est un secret que je sache voler. Sur le chemin du retour, dans de la neige, il est trouvé les traces d'une civilisation d'êtres très petits, qui nous font des coucous depuis leur colline, ils ne font même pas un millimètre... Il nous faut essayer d'établir un moyen de communiquer avec eux, le réveil m'a réveillé au moment où je pensais que il y avait quelque chose de pas réaliste si ces êtres qu'on ne devait absolument pas écraser se prenaient une goutte de pluie sur la gueule...

J'ai tiré une carte de tarot aussi qui me dit de faire attention à mes rêves.
J'ai fini les 6 metadechoc sur la psychiatrie (grosse pseudo-science avec des gens qui dans le contexte de leur époque ont écrit des conneries très crasses).
J'étais au tas tôt hier soir. Très au tas. Pas pu lire la pièce de théâtre.

Je me suis fait mon cadeau d'anniversaire (les soldes chez une petite mousse) et de Noyel (Inferno, comme ça, c'est fait). Les exceptions qui confirment la règle pour cette année pour contrebalancer l'angoisse financière. J'ai pu faire ça, comme ça je n'ai plus rien à regretter de l'année.

Le blog du fils est ici.

La page du jour qui m'a empli quand même pas mal de nostalgie est là...

Le blog du chat est ici. Oui. Parce que...

Et je souris en pensant à la cordelette qui retient mes lunettes, j'ai songé que je devais en changer au moment où les chatons chez Clarisse finissaient de me la détruire. J'en avais une d'avance. Peu importe que j'ai des perceptions inconscientes ou des flashs, ça m'a fait sourire d'imaginer un truc au moment où il se détruisait.

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