Pluie.
Un peu de fatigue.
Pas eu le temps de faire plus que le taxi pour Solène (trop occupée).
Hum.
Des courses qui coûtent un bras sans que je ne sache comment. Bon.
Mais calé pour des tas de jours du coup. Et puis, cette étrange impression d'aimer un peu glander dans le temple du consumérisme en n'achetant pas ce que proposaient les soldes, en profitant de l'anti-gaspi (même si franchement, niveau viande, j'arrive pas à prendre des trucs que je n'ai jamais su faire cuire et comme j'aime pas vraiment ça) et surtout en voyant un peu des gens.
La page du jour, rôliste, est ici.
Le blog du fils (un jour parfois un peu rôliste) est là.
J'ai aussi rêvé ce matin qu'on descendait du bus avec Solène sans penser à embarquer les enfants qui étaient avec nous. Je faisais une petite tape amicale à Augustin, un des gamins qui était dans la classe de mon fils dans les deux premières années de maternelle. Cela se passait sans doute en Nouvelle Calédonie.
Et ce n'était pas grave. Les gamins pouvaient bien se débrouiller dans le bus pour rentrer chez eux d'après ma partenaire.
Cool Raoul, pas grave si on merde des trucs me dit le rêve, on ne contrôle pas tout, même ce dont on devrait être responsable.
Ceci dit, je repense à mon vas-y en début d'après-midi, mon fils qui ne regarde pas et moi qui me rend compte que j'ai dit une connerie et bloque mon fils avant qu'il ne se fasse écraser et je remercie donc la vie.
Je suis content, je suis vivant, je suis heureux de faire l'expérience de la vie et des ses possibilités infinies afin d'être joyeux et lumineux.
Et merci à Fabrice pour le long chat vidéo d'hier soir et les liens qu'il m'a filés et que je regarderai demain...
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