The
show must go on
Après-midi
rude à encaisser la déception de mes partenaires (évidentes pour
certains dans le niveau de jeu) en face d'un public plus que réduit
pour cause de : premier jour d'été (on a pas eu de printemps et
d'été), brocante en ville, fête du cinéma, fête foraine,
manifestations ailleurs et aucune information passée dans la presse
pour cause de représentants de la culture absents du journal (décès
dans la famille d'un, vacance pour l'autre et absence du dernier).
J'adore
le théâtre mais jouer devant seulement une vingtaine de personnes,
si je peux encaisser au niveau de l'énergie que je donne, c'est plus
dur de composer avec la déception des autres qui ne jouent pas
forcément aussi intenses qu'ils le devraient.
Le
rythme c'est quoi qu'on en dise un certain nombre de personnes dans
la salle. Et bref.
Les
joies et les peines.
Je
m'en foutrais encore si on avait pas perdu des sous sur ce spectacle
là. La location de la salle est loin d'être remboursée.
On
espère que tout ceux qui ne sont pas venus ce dimanche pour profiter
de tout ce que la ville et le soleil offraientt dans l'après-midi
vont passer mercredi.
Et
sinon.
On
sacrifiera des vierges.
La
page du jour (eh eh eh, toute dans l'illusion) :
Ah
oui, quand même...
Dans
la tristesse du peu de monde (fruit de plusieurs concours de
circonstance), on a eu du monde qui était réactif par contre. Et on
est assez content d'avoir pu faire rire des gosses ou que ces
derniers se soient rendus compte de ce que vivait mon personnage.
Et
à titre personnel, je remercie ma mère et ma sœur pour leur rendu
de ce qu'elles ont vu.
J'ai
encore certainement deux ou trois questions à leur poser, mais je
ferai ça demain.
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