L'envie
d'en faire plus.
Tout
d'abord, la page du jour :
Et
ensuite, des trucs pèle-mêle.
Le
groupe des jeudistes aura donc l'occasion de jouer 5 fois leur
spectacle.
Ca
donne envie de pouvoir au moins rejouer le nôtre une fois à la
rentrée si on a du succès.
Une
très légère sensation d'être moins épaulé que les jeudistes
cette année. Pas que cela soit très probant, flagrant, mais notre
week-end de répétition n'a pas bénéficié du TOUT du même nombre
d'heures de présence de Jenny.
A
décharge, mes braves amis mercredistes sont plutôt des gens de la
dernière minute et qu'est-ce que tu veux bosser quand tout le monde
ne sait pas son texte.
Or
donc, l'envie d'être un peu plus pro dans les répétitions. Pour
avoir le temps de bosser le jeu, et pas seulement le texte.
Content
que ma mère, ma sœur et mes neveux aient apprécié le spectacle de
ce soir. Il faut dire que le thème avait de quoi leur plaire.
Impatient
de souffrir la comparaison, ouais, même si ce n'est pas possible de
comparer une satire à une fantaisie picaresque, il y a des moments
de folie dans les deux.
Envie
d'en faire plus.
Ecrire,
jouer, jouer ce que j'ai écrit.
On
pourrait rester sur une pointe de jalousie, mais non, au contraire,
ça motive. Si certains peuvent jouer cinq fois, pourquoi pas nous ?
Repensons
également à nos problèmes : Alexandre qui nous lâche, Carine qui
a surtout sa grossesse imminente dans la tête et Stan qui n'a pas
tout à fait sa pourtant très simple dernière scène...
Oui,
c'est sûr qu'on a eu un peu de mal.
Et
pourtant, je crois qu'il n'y a pas de pièce plus importante pour moi
que celle que l'on va jouer comme je l'ai déjà dit. Alors bien sûr,
je me sens un peu gêné d'avoir le rôle principal et d'avoir envie
de proposer de rejouer ça une fois à la rentrée si on déchire
bien, parce qu'il y a cette idée que on peut rejouer surtout pour
moi.
Ceci
dit, faut pas être con, je pense que tout le monde a pris du plaisir
sur cette pièce et que tout le monde se donne vraiment.
Les
qualités essentielles.
Alors
quoi ?
Oui,
l'envie d'en faire plus.
Et
content pour les jeudistes, tant mieux pour eux, s'ils peuvent jouer
plusieurs fois.
Au
chapitre du quotidien : douleur vive au cou du fait de pas de minerve
ou que sais-je et dentiste ce matin. Un peu douloureux le dentiste
lors du travail sur enlever le plomb d'une dent pas dévitalisée.
Mais comme d'habitude, j'ai rigolé en ayant mal.
Comme
d'hab.
Trac,
maintenant.
Commence-t-il
à se manifester ou dois-je laisser passer en moi plutôt l'envie de
tout déchirer pour pouvoir rejouer ?
Tout
déchirer.
Le
trac, c'est la peur de perdre son texte.
Et
je n'ai pas à l'avoir. Les seules fois où je peux le perdre grave,
je peux avoir des pense-bêtes.
Il
faut passer un nouveau cap.
Vivre
avec l'envie d'en faire plus. Toujours.
C'est
synonyme de magie.
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