samedi 15 juin 2013

Araignée...


J'ai fini un livre sur le Shamanisme celtique et la synchronicité des dernières choses lues en relation avec mon rêve de l'après-midi ou ce qu'on appellerait un guide s'est manifesté sous un visage familier m'a montré un autre truc gardien que j'aurais toujours eu si j'étais practicien shamanique : l'araignée.
Aux toilettes, la tête un peu ailleurs après la brume d'une longue sieste (liée en partie à la douleur), j'ai vu cette toute petite araignée balader invisible en l'air un peu partout autour de ma tête, comme si elle flottait en l'air, son fil étant totalement invisible.
Et bêtement, au niveau de la sensation ou de l'expérience, je n'étais plus simplement dans le domaine du physique mais décroché un peu plus haut, connecté, avec la lumière de la certitude et de l'évidence.
Bon sang, je n'ai jamais tué les araignées, je les ai toujours respectées, je déteste quand quelqu'un en tue une, je les sauve si je peux et je suis bien contente qu'elles soient là pour s'occuper des nuisibles.
Un gardien.
Un protecteur sans doute.
Pas de la tête cela dit, j'ai oublié mes lunettes chez le médecin. L'andouille, mais au moins je suis arrêté jusqu'au 25 juin le temps d'encaisser l'aller-retour en région parisienne.
Je n'ai pas tenu à ce qu'elle me prescrive des médicaments, j'ai de quoi tenir un siège. Elle me conseille des myorelaxants le soir, à demi-dose, vu la manière dont j'encaisse les shoots médicamenteux, mais même pas je pense. Je préfère encore la sieste de deux heures qui me permet de découvrir le fait que je n'aurais rien à perdre à accepter une spiritualité de type practicien shamanique, sans avoir d'ailleurs besoin de faire un stage à 400 euros auprès de l'auteur du bouquin. Faut quand même pas être con, il n'arrête pas de dire dans son bouquin que la pratique est propre à chacun, alors un stage pour trouver en groupe ta pratique personnelle, merci.
Non, je sais ce que j'ai à faire.
Je sais vraiment au final si je prends le temps de m'écouter.
J'ai eu une évidence hier soir en discutant avec un des auteurs associés de la maison de la Culture, il est certain que je vais rejoindre son atelier l'année prochaine parce que je me suis vu faire quelque chose avec lui dans deux ans.
Mon araignée tisse sa toile, ma toile, le réseau que je n'ai jamais construit.

Ce soir en apportant des flyers aux quelques personnes du club de théâtre d'Asnières les Bourges, j'ai été agréablement surpris de voir qu'elles me reconnaissaient puisqu'elles avaient vu les sorcières de Salem.
Un signe, de plus, de ce qu'il y a à faire dans ce domaine qui me plaît tant maintenant.

Sinon, la page du jour :

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