Jour de crash

 La psy, cool, ce matin, mais qui m'apprend qu'elle se barre encore 6 mois. Pourtant, le miracle était sans doute là, dans le fait de définir les limites de sa prison d'handicapé et de la manière de la dépasser.
Bon.
C'est le destin, on fera sans.
Le fils qui essaie de m'appeler alors que je suis chez la psy.
Moi qui n'hésite pas à avouer que je suis un peu triste parce que ma préférée est partie dans une compagnie (pour des raisons mystiques ou d'amitié) et qu'une autre est décédée et qui, en écoutant mes camarades répéter, me dit vraiment, vraiment, vraiment qu'on doit s'approprier les textes et pas les jouer tels quels, sinon, dans la moitié des sketchs c'est le mur.
Le blog du fils.
La page du jour.
Et marde de marde, j'ai pas appelé ma soeur.
Il y a aussi l'enterrement de la comédienne demain, mais je n'ai eu aucun mail pour être invité. Bon. En même temps, c'est pas nécessairement ma came.

Ah si, j'ai acheté un échantillon de peinture pour ma salle de bain. Je peindrai des runes avec. Histoire de tester la couleur qui m'intéressait.
Et j'ai pas hésité à acheter pour 3 euros de boulange ou de fruits et légumes dans les trucs anti-gaspi de Carrefour.
Cela ne me gêne pas de faire comme ça, je rentre dans la tranche de ceux qui sont obligés de profiter des réducs et me permet d'endosser plus mon manteau d'anti-gaspi que j'aurais même plus riche.
C'est con de jeter.

Une dédicace aussi à ce podcast d'affaires sensibles qui me donne envie de faire une pièce de théâtre ou une partie de jdr...