mardi 16 juillet 2024

Un instant parfait

 Dans l'art nécessaire de cultiver le n'arfoute, il y a l'art aussi de cultiver l'instant présent.
C'est un peu dur en ce moment. Je l'ai bien senti dans les rêves de cette nuit où j'étais, hou... bien seul et décalé dans les activités un peu de geek auxquelles me conviaient pas mal de camarades d'autres temps de jeu...
La fin du rêve finissait assez, hou. Par le besoin onaniste de se libérer comme chaque jour parce que je suis ben... en fait quasiment tout le temps tout seul. Seul, oui.
Une expérience de la solitude et du décalage par rapport aux autres.
De quoi ai-je vraiment envie pourrait être la question.

Je pourrais répondre en premier d'être heureux. Pour être heureux, il me semble qu'il faut aussi avoir un peu de sens, et ce sens n'est pas toujours facile à trouver. Mais pourtant, il doit exister, ne serait-ce que dans le fait d'aider les proches quand ils sont là. En attendant de trouver les occasions qui me font vibrer : la magie et la scène.

Les pieds dans la mer, le visage baigné par le soleil, de quoi avais-je vraiment besoin ? Même mon fils à mes côtés qui partira un jour ne devrait pas compter dans l'expérience ?
On a besoin d'être en harmonie avec soi-même.
Le reste suit, ou pas.

Shit happens.
Mais je vais essayer de m'accrocher le badge de Balek N'arfoute de plus en plus sur l'épaule parce que ça devient vital.
Dans les cinq piliers, cela correspond à l'humour.

Eh.

Forcément.

Content d'avoir réservé en dépit de tout pour le concert de musique japonaise jeudi soir avec le fils. Cela lui fera une expérience. Et fortes chances d'aller au château de Trévarez demain matin...
Content de l'instant parfait, les pieds dans l'eau, à se faire soigner par le soleil et laisser partir les merdes dans l'océan...

Le blog du fils...

La page du jour... 




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