lundi 1 juillet 2024

Sur le fil du rasoir.

 Trop.
Trop et ne pas crasher après la représentation mercredi soir. Ne pas crasher. Je tiens grâce au jdr (que je n'a plus avec la mise en pause de la campagne) ou au théâtre (et l'été y a rien).
Je tiens par la magie de la connexion (même si j'en ai pas assez).

Fil du rasoir, je volais dans mon rêve mais j'étais remarqué parce qu'on avait peur que je me plante dans des voitures.
Et la cerise sur le gâteau des élections législatives avec le trop plein incroyable de connerie de ceux qui votent RN (tous des cons, à des degrés divers, mais des cons, cons parce que mal informés, cons parce que manipulés, cons parce que ils votent extrême-droite, cons parce qu'ils sont à bout des manipulations des 1% mais qu'ils seront toujours dedans), de ceux qui votent pour le grand capital (qui crame la planète - même si là y a pas que des cons).
J'ai une forte envie de distribuer des baffes à plus de la moitié des français pour leur dire : réveillez-vous, bordel.

Mais non.
Je crois encore et encore que la seule chose qui me sauvera ce sera l'art. 
Je vais donc m'y adonner encore plus.
Une dédicace à l'adjoint à la culture de Bourges qui a demandé de voter pour les républicains et à ma réponse en disant que non, je ne cautionne pas un système qui a censuré des humoristes sur France Inter.
L'heure est grave pour la liberté.
Les gens sont devenus des moutons. Et on sait que 90 % des gens peuvent le devenir.
Jamais, plus jamais de jamais de jamais de jamais de ma vie, je ne voterai pour la droite.
Je ne la comprends pas, tout m'est étranger même si je peux comprendre que certains apprécient ces valeurs pour des raisons qui me semblent biaisées au regard de l'avenir de la planète.

Blanc, art, magie, liberté et continuer à essayer d'avoir la joie, la curiosité et l'humour.

Le blog du fils.

La page du jour.

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