Je retiens cette image pour illustrer la journée... (Comme dans le blog de mon fils)
ET d'ailleurs : le blog de mon fils.
La page du jour.
Et walla.
Une discussion saine avec Solène sur ma déception parce qu'on était pas sur la même longueur d'onde sur la communication (l'écrit ne me suffit pas) et ma jalousie de ne pas pu avoir deux semaines seul avec elle (ce qui n'est pas le cas de Benoît, le coquin, mais je ne pouvais pas matériellement les accompagner à Avignon avec mon fils, et sans doute financièrement vu le nombre de spectacles).
Un herpès au nez, comme ma mère, c'est fou.
Ma mère que je laisse au tas et ma sœur forcée d'aller quand même dormir chez ma mère ce soir parce que elle est vraiment pas au top.
Ma déception de ne pas avoir une semaine seul avec Solène, mais dans le cul lulu sur le fric et surtout sur l'organisation des uns et des autres qui va être compliquée pour laisser la chienne quelque part;
Mon désolé à mon chien qui devient un peu ma prison d'août.
Ce qui se passe dans ma tête sur savoir comment prendre l'année prochaine, frustration de beaucoup de manque contre plaisir trop rare de présence magique, ça risque de devenir trop compliqué si la balance magie / frustration n'est pas équilibrée - et ça a été mon drame du mois de juillet. Un changement de paradigme s'impose peut-être dans la manière de poser les choses.
La tristesse de ne pas voir le fils pendant un moment.
Hu. Ah. Oh.
Je reviens sur cet herpès au nez, c'est fou quand même d'avoir fait la même réaction que ma mère. Mais je préfère un nez en compote qu'un œil en compote pour conduire.
Et walla...
La page du jour.
Et walla.
Une discussion saine avec Solène sur ma déception parce qu'on était pas sur la même longueur d'onde sur la communication (l'écrit ne me suffit pas) et ma jalousie de ne pas pu avoir deux semaines seul avec elle (ce qui n'est pas le cas de Benoît, le coquin, mais je ne pouvais pas matériellement les accompagner à Avignon avec mon fils, et sans doute financièrement vu le nombre de spectacles).
Un herpès au nez, comme ma mère, c'est fou.
Ma mère que je laisse au tas et ma sœur forcée d'aller quand même dormir chez ma mère ce soir parce que elle est vraiment pas au top.
Ma déception de ne pas avoir une semaine seul avec Solène, mais dans le cul lulu sur le fric et surtout sur l'organisation des uns et des autres qui va être compliquée pour laisser la chienne quelque part;
Mon désolé à mon chien qui devient un peu ma prison d'août.
Ce qui se passe dans ma tête sur savoir comment prendre l'année prochaine, frustration de beaucoup de manque contre plaisir trop rare de présence magique, ça risque de devenir trop compliqué si la balance magie / frustration n'est pas équilibrée - et ça a été mon drame du mois de juillet. Un changement de paradigme s'impose peut-être dans la manière de poser les choses.
La tristesse de ne pas voir le fils pendant un moment.
Hu. Ah. Oh.
Je reviens sur cet herpès au nez, c'est fou quand même d'avoir fait la même réaction que ma mère. Mais je préfère un nez en compote qu'un œil en compote pour conduire.
Et walla...
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