Bien que j'aie passé plus de deux heures et demie sur mes notes, content d'avoir fait jouer un peu moins de temps ce soir.
La reprise s'annonce assez épique. Les joueurs n'ont pas hésité à déborder de leurs capacités.
Du star wars pas du tout canon intégrant ma mythologie des 28 et deux menaces qui ne sont pas dans l'univers ainsi que des méchants qui peuvent s'allier avec les personnages joueurs parce que eh, il y a un encore plus gros méchant en face.
De fait, les pjs sont les alliés de Dark Vador après lui avoir implanté quelque chose qui les rend sympathiques pour lui.
Je peux ainsi faire des scénarios empire et rébellion.
La saucée c'est la vidéo postée sur instagram et c'est très bien. Le blog du fils est là.
Je retiens aussi d'avoir pu appeler le CMP pour quelqu'un dans le besoin et d'avoir pu organiser que la personne y aille dès qu'elle peut.
J'ai bien aimé faire aussi ma page du jour qui montre que oui, en effet, ce que j'aime, c'est imaginer.
Et mon rêve de cette nuit, décousu au réveil, donnait ça :
J'ai rêvé que il y avait une sorte de course au trésor pour accéder à un endroit où on peut recueillir de l'énergie et acquérir un pouvoir.. après un gros road trip dans la nature, je me retrouve transformé, j'ai le pouvoir qui coule en moi par mes mains. Sous mes ongles émergent des crochets et des petites lianes. Je peux empoisonner et sans doute guérir... Il y a aussi une notion d'univers parallèles avec un antagoniste japonais qui est en double. J'ai beaucoup aimé les paysages qui étaient une sorte de Nouvelle-Calédonie fantasmée... Un peu avant les scènes décrites, j'étais le chef d'une communauté de gens un peu exilés qui vivaient dans la forêt ou aux abords de celle-ci un peu la manière de Robin des Bois je pense mais modernes. Après que les gitans de notre bande aient pu nous sortir d'une attaque de bandits, grâce à leurs armes, je demandais au conseil de la ville de voter pour que les gitans aient le droit de conserver une arme et qu'il y ait une réserve à laquelle un petit comité peut avoir accès, il est possible que j'ai influencé mentalement celui qui donnait les résultats du vote parce que ça se jouait à une voix près, 162 contre 163 en faveur de ne pas laisser les gitans sans arme.
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