L'orage qui ne pète pas.

 Pas pété, l'orage.
J'aurais bien aimé pourtant.
J'aime bien quand ça pète.
J'ai fait un joli article à Solène sur la solitude et notre responsabilité dans la manière d'encaisser les trucs. Il n'y a de démons que les nôtres. Ceux des autres n'agissent qu'au moment où ils nous font du mal. Les nôtres créent nos traumas.

Mon rêve de cette nuit (celui de la veille dans l'après-midi avait une composante érotique dont j'ai pas causé, tiens, et je ne prends pas les rêves au premier degré, la personne avec qui je faisais l'amour, ça représente l'envie de maintenir des liens d'amitié, je pense.), c'est ça :
Moi j'ai rêvé d'une sorte de gros voyage aux États-Unis, ou quelque chose comme ça... Je revois une vieille qui a des chats et je m'endors sur son comptoir... Il y a des gens qui sont arrivés dans ma chambre de dortoir la nuit où j'ai dormi sur le bar de la vieille, mais qui sont-ils et où est ma tranquillité si on est trop dans la chambre ? Il y a mes bagages que j'ai oublié la veille et qu'on doit chercher. 

Et walla.

La page du jour. (avec de jolies vertus cardinales)

Le blog du fils.

Un petit lien d'un truc découvert par synchronicité ce soir... (Parce que le scénario de jdr se passait en partie en Mongolie).

Et encore un craquage chaton dans le post instagram.

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