Quand tu as eu ce que j'ai eu.
Que tu es ce que je suis.
La vie, c'est pas facile, hein.
J'ai été bien gland en cassant un de mes broyeurs (non, pour moudre le café, ça ne marche pas avec des carottes) et posant le plat du carrot cake sur le brûleur que j'avais oublié d'éteindre.
Et je ne comprenais pas cette odeur de carrot cake qui brûle, sa race, sa mère.
Un carrot cake dans lequel j'ai mis des noix de cajou à la place des noix. C'est bon aussi.
J'ai mis aussi de la farine de coco en replacement de la moitié de la farine ordinaire, c'est bon aussi.
J'ai eu la joie de faire un peu le jardin, même si le chargeur de la tailleuse de haie était quasi à vide et de motiver le gamin pour sortir un peu.
Et puis il y a les rêves de ce matin, dans du métro ou dans la ville avec Godzilla. Je savais voler. Mais savoir voler contre un gros monstre, ça sert pas des masses, des masses. Le mec qui a des pouvoirs, mais euh, qui servent pas forcément.
Et la respiration alternée qu'on a faite cette semaine et que je continue à faire.
C'est bien ça aussi.
Et mon con de jeu mobile de caca où j'ai payé le prix qui devrait être officiel à un prétendu hacker (qui bosse en fait pour le jeu) il y a quelques jours, parce que ça faisait partie des petits cadeaux que je voulais m'offrir à mon anniversaire. J'ai bataillé pour arriver à un objectif à la con. Cela m'a fait du bien d'y arriver. Et c'est la pensée magique. Cela me libérait pour entamer autre chose. J'ai une mystique dans les tâches que je m'impose.
Et bref.
Je revois aussi les framboises et la fraise du jardin.
Gland, mais reconnaissant. Merci l'univers.
La page du jour.
Le blog du fils (qui ne dort toujours pas le cochon).
Sinon, argh, le résultat des élections, et je mets mon post instagram dessus.
Et mon fils qui a fait ma journée, et je mets aussi mon post instagram dessus. (sa mère m'a fait rire en disant qu'il se préparait au salut nazi).
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