http://www.lapagedujour.net/septembre2015/deuxseptembre2015.htm
Eh eh eh eh.
Tout faux.
Mais j'aime bien aussi ne pas raconter la même chose ici et dans la page du jour.
Nan, aujourd'hui esprit de l'aventure, j'ai :
- vu l'assistante sociale pour savoir quoi faire, attendre, tout ça... Bon, apparemment, je ne serai pas glorieusement indemnisé (ma faute pour avoir si peu bossé et n'avoir pas su avant que je pouvais être aidé pour mes problèmes d'attention visuels ou n'avoir pas su que je n'avais que le profil d'andouille d'un artiste ou de n'avoir jamais cru en moi pour quoi que ce soit) mais on ne me laissera pas tomber comme une mayrde. Juste que c'est un peu compliqué comme démarche au niveau de l'employeur et de la médecine du travail.
- récupéré des flyers pour ça :
- fait les courses, mais tu t'en fous. Non ? Tu t'en fous pas ? j'ai pu voir un des camarades de jeu de rôle dans le magasin et puis manquer aider une dame à attraper un truc en haut de rayon. Nan, tu t'en fous. T'as raison. Tu veux savoir comment je fais pour faire les courses, avec les sacs, maintenant que j'ai du mal à les porter tous d'un coup ? Non ? T'as raison.
- vu le docteur Gerber, du centre anti-douleur de Bourges. Un homme parfaitement excellent et le meilleur docteur que j'ai eu de ma vie, franchement. On a bien discuté et on est partis sur essayer plusieurs choses (il y avait une psy qui n'était pas là, donc pour orienter vers l'hypnose, eh ben je devrai repasser).
- pris le temps de m'inscrire en technique vocale au conservatoire de Bourges.
- eu la joie d'entendre un compliment d'une sympathique employée de la maison de la Culture qui a dû me voir jouer, apprécie ma voix et pensait fort logiquement que je devais chanter (ma voie, c'est ma voix, en gros, même si je ronfle me dit ma femme).
- pu goûter deux bières (une et demie en fait) achetées au Bierrichon (dont j'avais aussi entendu parler avec un jeune Belge venu s'inscrire pour des cours de violon).
- Fini par résoudre un truc qui me tracassait sur les personnages les plus balaises que je sois en train de créé à partir d'un simple tableau de cinq lignes et 7 colonnes qui sont censées expliquer et résumer n'importe quel pouvoir et l'étendue de leurs capacités.
- résolu de ne pas me laisser abattre.
- résolu de laisser une chance au Népoflam, le truc que le docteur veut que je teste. Il faut que je teste le machin sur trois ou quatre jours pour voir si ça agit, s'il n'y a pas d'effets secondaires. Et ensuite, ça pourrait juste être à la demande (ouf), à l'occasion de fortes poussées de douleurs et c'est a priori sans accoutumance (pour ça, il vaut mieux).
Tu vois ?
C'est pas trop le caca pour un jour de rentrée.
Eh eh eh eh.
Tout faux.
Mais j'aime bien aussi ne pas raconter la même chose ici et dans la page du jour.
Nan, aujourd'hui esprit de l'aventure, j'ai :
- vu l'assistante sociale pour savoir quoi faire, attendre, tout ça... Bon, apparemment, je ne serai pas glorieusement indemnisé (ma faute pour avoir si peu bossé et n'avoir pas su avant que je pouvais être aidé pour mes problèmes d'attention visuels ou n'avoir pas su que je n'avais que le profil d'andouille d'un artiste ou de n'avoir jamais cru en moi pour quoi que ce soit) mais on ne me laissera pas tomber comme une mayrde. Juste que c'est un peu compliqué comme démarche au niveau de l'employeur et de la médecine du travail.
- récupéré des flyers pour ça :
- vu le docteur Gerber, du centre anti-douleur de Bourges. Un homme parfaitement excellent et le meilleur docteur que j'ai eu de ma vie, franchement. On a bien discuté et on est partis sur essayer plusieurs choses (il y avait une psy qui n'était pas là, donc pour orienter vers l'hypnose, eh ben je devrai repasser).
- pris le temps de m'inscrire en technique vocale au conservatoire de Bourges.
- eu la joie d'entendre un compliment d'une sympathique employée de la maison de la Culture qui a dû me voir jouer, apprécie ma voix et pensait fort logiquement que je devais chanter (ma voie, c'est ma voix, en gros, même si je ronfle me dit ma femme).
- pu goûter deux bières (une et demie en fait) achetées au Bierrichon (dont j'avais aussi entendu parler avec un jeune Belge venu s'inscrire pour des cours de violon).
- Fini par résoudre un truc qui me tracassait sur les personnages les plus balaises que je sois en train de créé à partir d'un simple tableau de cinq lignes et 7 colonnes qui sont censées expliquer et résumer n'importe quel pouvoir et l'étendue de leurs capacités.
- résolu de ne pas me laisser abattre.
- résolu de laisser une chance au Népoflam, le truc que le docteur veut que je teste. Il faut que je teste le machin sur trois ou quatre jours pour voir si ça agit, s'il n'y a pas d'effets secondaires. Et ensuite, ça pourrait juste être à la demande (ouf), à l'occasion de fortes poussées de douleurs et c'est a priori sans accoutumance (pour ça, il vaut mieux).
Tu vois ?
C'est pas trop le caca pour un jour de rentrée.
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