Dois-je résumer toutes les merdes de la journée ?
Ah ben si.
Le kiné qui interrompt la séance à la moitié pour ne pas me faire trop mal parce que j'ai la vésicule biliaire qui fait la java (en :médecine chinoise, c'est lié à l'oeil...)
L'herpès toujours là et qu'on sait pas comment soigner du coup.
Ma tête que je cogne en sortant du kiné, mais bien, contre la portière de ma voiture, parce que je baisse la tête pour me protéger de la pluie.
L'oubli du gâteau pour la représentation et donc une arrivée un peu sur les chapeaux de roue, parce qu'il a fallu retourner le chercher à la maison.
La bouteille de champagne qui m'asperge, bien sûr, en pleine représentation et moi qui dois jouer avec...
Le trac, bien sûr, mais mieux géré pour le coup, blasé des mayrdes de la journée...
Bref.
Toujours pas de nouvelles du devis fait aussi pour des nouvelles lunettes, mais passons.
Et pourquoi passons ?
Parce que la soirée fut fantastique. Attendre dans le trac, mais en rigolant, c'est bon. Jouer, c'est bon, surtout quand tu commences à être assez à l'aise dans le texte pour pouvoir rattraper des choses qui manquent ou rajouter quelques conneries qui font marrer (j'ai décidé que mon personnage serait plus marrant, dans un côté désabusé et "tant pis", plus que cynique d'ailleurs)... Je n'ai pas eu le temps de prendre la température intérieure de mes camarades.
Vraiment.
Mais moi, pour mon cas, cette représentation qui permettait de compenser une journée et une semaine de mayrde fut le nécessaire moment de sublimation.
Il est difficile de comparer parfois des représentations.
Je pense avoir préféré jouer comme j'ai joué ce soir (en dépit de deux mots fourchés et rattrapés) et avoir préféré le cadre du théâtre Jacques Coeur et ce que ça a impliqué.
J'espère que je penserai à filmer la prochaine fois, histoire d'avoir un souvenir pour nous parce que c'est vrai que ça serait chouette.
Et j'ai découvert ce que c'était qu'une pièce qui se bonifie avec le temps.
Il y a une vraie ambiance de groupe, un vrai côté soudé qui permet d'y aller à fond et d'en faire plus encore.
Bref, merci à tous les camarades du vendredi (très présents et en soutien, mais vraiment), aux camarades d'Enrôlés (et là, je dis tous, comédiens ou autour) et aux gens qu'on connaît qui sont passés nous voir.
Allez, la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/septembre2015/dixneufseptembre2015.htm
Et un lien pas couillon :
http://warisboring.com/articles/the-high-tech-toilet-that-destroyed-a-submarine/
Ah ben si.
Le kiné qui interrompt la séance à la moitié pour ne pas me faire trop mal parce que j'ai la vésicule biliaire qui fait la java (en :médecine chinoise, c'est lié à l'oeil...)
L'herpès toujours là et qu'on sait pas comment soigner du coup.
Ma tête que je cogne en sortant du kiné, mais bien, contre la portière de ma voiture, parce que je baisse la tête pour me protéger de la pluie.
L'oubli du gâteau pour la représentation et donc une arrivée un peu sur les chapeaux de roue, parce qu'il a fallu retourner le chercher à la maison.
La bouteille de champagne qui m'asperge, bien sûr, en pleine représentation et moi qui dois jouer avec...
Le trac, bien sûr, mais mieux géré pour le coup, blasé des mayrdes de la journée...
Bref.
Toujours pas de nouvelles du devis fait aussi pour des nouvelles lunettes, mais passons.
Et pourquoi passons ?
Parce que la soirée fut fantastique. Attendre dans le trac, mais en rigolant, c'est bon. Jouer, c'est bon, surtout quand tu commences à être assez à l'aise dans le texte pour pouvoir rattraper des choses qui manquent ou rajouter quelques conneries qui font marrer (j'ai décidé que mon personnage serait plus marrant, dans un côté désabusé et "tant pis", plus que cynique d'ailleurs)... Je n'ai pas eu le temps de prendre la température intérieure de mes camarades.
Vraiment.
Mais moi, pour mon cas, cette représentation qui permettait de compenser une journée et une semaine de mayrde fut le nécessaire moment de sublimation.
Il est difficile de comparer parfois des représentations.
Je pense avoir préféré jouer comme j'ai joué ce soir (en dépit de deux mots fourchés et rattrapés) et avoir préféré le cadre du théâtre Jacques Coeur et ce que ça a impliqué.
J'espère que je penserai à filmer la prochaine fois, histoire d'avoir un souvenir pour nous parce que c'est vrai que ça serait chouette.
Et j'ai découvert ce que c'était qu'une pièce qui se bonifie avec le temps.
Il y a une vraie ambiance de groupe, un vrai côté soudé qui permet d'y aller à fond et d'en faire plus encore.
Bref, merci à tous les camarades du vendredi (très présents et en soutien, mais vraiment), aux camarades d'Enrôlés (et là, je dis tous, comédiens ou autour) et aux gens qu'on connaît qui sont passés nous voir.
Allez, la page du jour :
http://www.lapagedujour.net/septembre2015/dixneufseptembre2015.htm
Et un lien pas couillon :
http://warisboring.com/articles/the-high-tech-toilet-that-destroyed-a-submarine/
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