http://www.lapagedujour.net/septembre2015/premierseptembre2015.htm
Alors, je fais le point.
Trois semaines plongé dans la création de ce qui est la plus grosse chose que j'ai pondue en jdr.
Fait.
Et j'ai pas fini.
Mais je vais bosser par petits bouts sur le dernier fichier.
Reprendre le théâtre, fait.
Merci les gens. Pendant trois heures, toutes les douleurs de côté. C'est magique le cerveau.
Ca fait de moi un mutant qui ne doit pas vivre dans le monde réel.
Mais le monde réel, hein, il ne m'intéresse que pour l'art, la culture ou la nature, finalement.
Dépression en cours, combattue. Après trois jours trèèèèèèèèèèèèèès durs (mais vraiment trèèèès rudes) et trois semaines paaaaaaaaaaas simples (si si si), j'ai pris une résolution cette après-midi : t'as mal, mais soit tu coules, soit tu fais un pas sur l'échelle.
J'ai choisi de faire un pas.
J'ai appelé le conservatoire pour prendre des cours de techniques vocales et j'ai décidé de trouver un moyen de pratiquer l'anglais quelque part cette année.
Yo.
Sinon, mon chien s'est roulé dans le caca.
Ah, et puis j'ai plus ri en une soirée qu'en trois semaines, sauf quand je répétais mon texte avec ma femme.
Merci encore les gens.
Je n'ai effectivement pas mille passions, mais les plus grosses que j'ai me sauvent.
Demain, bataille pour connaître quoi faire de mon futur d'invalide et rendez-vous au centre anti-douleur parce qu'il n'est pas dit que je n'aurai rien tenté...
Le kiné aussi a été appelé, et j'ai décalé mon rendez-vous mal pris chez le médecin pour la fin du mois où je ne serai pas là.
Seul bémol ultime. J'aurais tant voulu pouvoir aider ma femme et que malgré tout elle puisse prendre ses six mois sabbatiques. Je continue à croire que c'est possible en faisant péter l'argent de notre assurance vie.
Ma femme a beaucoup donné, beaucoup.
Je ne serai pas gêné qu'elle soit remboursée sur 6 mois pour faire ce qu'elle aime.
Alors, je fais le point.
Trois semaines plongé dans la création de ce qui est la plus grosse chose que j'ai pondue en jdr.
Fait.
Et j'ai pas fini.
Mais je vais bosser par petits bouts sur le dernier fichier.
Reprendre le théâtre, fait.
Merci les gens. Pendant trois heures, toutes les douleurs de côté. C'est magique le cerveau.
Ca fait de moi un mutant qui ne doit pas vivre dans le monde réel.
Mais le monde réel, hein, il ne m'intéresse que pour l'art, la culture ou la nature, finalement.
Dépression en cours, combattue. Après trois jours trèèèèèèèèèèèèèès durs (mais vraiment trèèèès rudes) et trois semaines paaaaaaaaaaas simples (si si si), j'ai pris une résolution cette après-midi : t'as mal, mais soit tu coules, soit tu fais un pas sur l'échelle.
J'ai choisi de faire un pas.
J'ai appelé le conservatoire pour prendre des cours de techniques vocales et j'ai décidé de trouver un moyen de pratiquer l'anglais quelque part cette année.
Yo.
Sinon, mon chien s'est roulé dans le caca.
Ah, et puis j'ai plus ri en une soirée qu'en trois semaines, sauf quand je répétais mon texte avec ma femme.
Merci encore les gens.
Je n'ai effectivement pas mille passions, mais les plus grosses que j'ai me sauvent.
Demain, bataille pour connaître quoi faire de mon futur d'invalide et rendez-vous au centre anti-douleur parce qu'il n'est pas dit que je n'aurai rien tenté...
Le kiné aussi a été appelé, et j'ai décalé mon rendez-vous mal pris chez le médecin pour la fin du mois où je ne serai pas là.
Seul bémol ultime. J'aurais tant voulu pouvoir aider ma femme et que malgré tout elle puisse prendre ses six mois sabbatiques. Je continue à croire que c'est possible en faisant péter l'argent de notre assurance vie.
Ma femme a beaucoup donné, beaucoup.
Je ne serai pas gêné qu'elle soit remboursée sur 6 mois pour faire ce qu'elle aime.
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