http://www.lapagedujour.net/septembre2015/troisseptembre2015.htm
En gros, ma journée fut ça.
Alors, certes, j'ai eu un peu moins mal, voire, parfois, vachement moins mal.
Mais il y a eu la reprise du kiné qui a pu un peu jouer aussi.
Mais surtout : non. Je ne sais pas comment on peut préférer être un zombie.
A moins que je ne sois très réceptif à la drogue (et je pense que je le suis).
Grui.
La drogue, c'est maaaal, en fait quand tu veux être créatif comme je voulais l'être.
Et puis la drogue, c'est de la merde parce que finalement, la douleur est toujours là. Elle ne disparaît pas. La drogue s'arrange juste pour que tu t'en foutes.
Alors, bien sûr, la drogue tu peux en prendre tout le temps, alors que faire du jeu de rôle ou du théâtre, t'as pas l'occasion tout le temps.
Mais je vais miser sur le neurostimulateur que j'aurai bientôt l'occasion de tester. Au moins, c'est un appareil qui permet de faire secréter soi-même ses propres endorphines. Bien mieux que de la chimie externe.
La drogue en plus, elle est de niveau 2 pour la conduite des voitures. Argh.
Merci bien.
Les douleurs reviennent très fortes ce soir, en plus. Comme si elles n'avaient pas été contentes d'être endormies.
Ok. Je peux peut-être comprendre ce qui pousse certaines personnes à préférer être des zombies : ne pas sentir la douleur qui revient.
La douleur, c'est mal.
Mais au moins, je ne sais pas, tu es vivant quand t'as mal (sur le fil du rasoir, certes, mais vivant).
Je ne sais pas si je vais tenter la drogue sur 4 jours pour m'habituer comme a demandé le docteur.
Je crois que je ne suis vraiment, vraiment, vraiment pas fait pour les anti-douleurs si ça doit retourner la tête et te mettre le cerveau dans du coton.
Le coton, c'est mal.
Très mal.
En gros, ma journée fut ça.
Alors, certes, j'ai eu un peu moins mal, voire, parfois, vachement moins mal.
Mais il y a eu la reprise du kiné qui a pu un peu jouer aussi.
Mais surtout : non. Je ne sais pas comment on peut préférer être un zombie.
A moins que je ne sois très réceptif à la drogue (et je pense que je le suis).
Grui.
La drogue, c'est maaaal, en fait quand tu veux être créatif comme je voulais l'être.
Et puis la drogue, c'est de la merde parce que finalement, la douleur est toujours là. Elle ne disparaît pas. La drogue s'arrange juste pour que tu t'en foutes.
Alors, bien sûr, la drogue tu peux en prendre tout le temps, alors que faire du jeu de rôle ou du théâtre, t'as pas l'occasion tout le temps.
Mais je vais miser sur le neurostimulateur que j'aurai bientôt l'occasion de tester. Au moins, c'est un appareil qui permet de faire secréter soi-même ses propres endorphines. Bien mieux que de la chimie externe.
La drogue en plus, elle est de niveau 2 pour la conduite des voitures. Argh.
Merci bien.
Les douleurs reviennent très fortes ce soir, en plus. Comme si elles n'avaient pas été contentes d'être endormies.
Ok. Je peux peut-être comprendre ce qui pousse certaines personnes à préférer être des zombies : ne pas sentir la douleur qui revient.
La douleur, c'est mal.
Mais au moins, je ne sais pas, tu es vivant quand t'as mal (sur le fil du rasoir, certes, mais vivant).
Je ne sais pas si je vais tenter la drogue sur 4 jours pour m'habituer comme a demandé le docteur.
Je crois que je ne suis vraiment, vraiment, vraiment pas fait pour les anti-douleurs si ça doit retourner la tête et te mettre le cerveau dans du coton.
Le coton, c'est mal.
Très mal.
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