Salerne
Premier
jour...
Tu
veux que je te dise esprit de l'aventure ?
Je
t'ai appelé dans l'avion. Bien sûr. Sans toi, comment arriverais-je
à combattre mon aérophobie. J'ai vu pas mal d'oiseaux dans mes
images mentales pendant que je t'appelais, songeant à la chance que
la technologie des hommes permet de réaliser : être comme des
oiseaux...
Bon. Le retard de l'Avion n'a pas permis qu'on prenne le bus directement vers Salerne, donc on a dû se rendre sur Naples, déjeuner rapidement (ah les arrancini, je kiffe sa race de sa mère) dans un petit bouiboui local et puis prendre le train pour Salerne.
Bon. Le retard de l'Avion n'a pas permis qu'on prenne le bus directement vers Salerne, donc on a dû se rendre sur Naples, déjeuner rapidement (ah les arrancini, je kiffe sa race de sa mère) dans un petit bouiboui local et puis prendre le train pour Salerne.
L'arrivée
un peu avant 16 heures était étrange : la rue piétonne était
un peu morte, mais force est de constater que la vie revient
seulement vers les 16h30 / 17 h vers ici...
Après
avoir laissé nos affaires dans le Air Bnb (oui on loge chez
l'habitant), nous avons pu faire un tour du centre-ville et prendre
notre claque.
La
claque, c'est simplement le constat pur et évident que la France se
meurt. Oui. Ici, comme dans certains villages du Pays de Galles, eh
bien, on a encore les traditions. C'est tout simplement ce genre de
ville qui préserve le cœur des traditions.
Chance
pour nous, nous sommes tombés en plein pendant un festival bio et on
a pu goûter une excellente bière bio sur un stand ou acheter
quelques produits sympas.
Le
soir, ma femme n'a pas voulu faire les deux plats traditionnels qu'on
est censés s'envoyer dans une pizzeria et on s'est contentés
d'antipastis dans un putain de bar à bières(cher cela dit mais avec
un lot incroyable de produits italiens). Un peu plus tard, on a fini
sur des beignets de pois chiches. Mais honnêtement, ce n'est pas que
la bouffe ou la bière qui nous a mis une claque.
Je
retiens particulièrement l'ambiance de la ville, les petites
maisons, les ruelles étroites, les passages en hauteur entre les
maisons, les gens qui n'hésitent pas à vouloir vous aider si vous
avez l'air d'avoir paumé votre chemin.
Je
retiens aussi deux galeries d'art, visitées rapidement certes, mais
c'est déjà ça.
Et
puis... et puis, la visite de la cathédrale du Duomo et sa crypte.
Rha la claque.
Alors
bon ok, les italiens ont parfois la voix un peu forte, la conduite
très sportive et quelques merdes de chiens qui traînent dans la rue
(très peu cela dit), mais putain : l'ambiance de la ville, les
petites épiceries partout, les traditions préservées, la foule de
dément dans la rue...
Il n'y a pas trop de touristes en plus à Salerne. Mais vraiment.
Il n'y a pas trop de touristes en plus à Salerne. Mais vraiment.
Je
me suis dit très vite : oh pitin, une ville où passer une
semaine peinard pour rayonner autour si besoin...
Bref,
bref, bref, j'isole trois images phares de la journée...
- Assis sur le front de mer, à boire une binouze, avec des mecs qui jouent au kayak / foot dans l'eau un peu devant nous, sur fond de coucher de soleil qui s'efface derrière les collines.
- La crypte du Duomo. Kitsch. Mais sa mère la race. A ne pas louper. Absolument.
- Les rues étroites et piétonnes de Salerne, toutes. Toutes, absolument.
Je te laisse sur ma page du jour esprit de l'aventure.
Pouf :
- Assis sur le front de mer, à boire une binouze, avec des mecs qui jouent au kayak / foot dans l'eau un peu devant nous, sur fond de coucher de soleil qui s'efface derrière les collines.
- La crypte du Duomo. Kitsch. Mais sa mère la race. A ne pas louper. Absolument.
- Les rues étroites et piétonnes de Salerne, toutes. Toutes, absolument.
Je te laisse sur ma page du jour esprit de l'aventure.
Pouf :
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