Et là, dans mon rêve de la nuit, une succession de trucs : frustration de ne pas pouvoir baiser dans une maison trop pleine et remplie de gosses ou de gens, tremblement de terre, être le dernier à sortir de la maison qui pourrait s'effondrer mais ne pas craindre son effondrement, se retrouver isolé de tous les occupants de la maison une fois sorti dehors et s'envoler, et avoir la force de Superman et réfléchir sur la manière d'utiliser ces dons pour aider l'humanité à se reconstruire.
Le rêve de l'après-midi a fini sur le fait de rejoindre des êtres fées qui voulaient être jetés dans un feu dans une cave pour passer un portail et pour ce faire, il leur fallait être cachés au coeur d'une papaye magique.
Oui.
Oui, oui, oui...
Comment vous voulez ne pas considérez l'importance du monde des rêves dans la vraie vie ? Surtout quand la vraie vie n'a rien d'autre de formidable en ce moment que juste le fils et un peu de communication à l'extérieur ?
Le sentiment d'appartenir ou d'être n'est pas simple et pourtant, c'est là, la quête, s'appartenir à soi-même et transcender les vicissitudes du monde matériel (et des douleurs liées à ces putains de contractures)...
Le blog du fils est là.
La page du jour est ici, sinon...
Et cette image pour illustrer la journée...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire