Ouille

 Bon, faut que je prenne le temps de m'occuper de ma barre dans le dos parce que ça mange une partie de mon cerveau, là, d'être en contrôle pour ne pas finir coincé.
Plus un petit truc viral ou je ne sais quoi, qui fait que je dois récupérer de la Belgique et de la grosse, grosse, méchante intoxication. De gros dodos l'après-midi, sa race.
Trop gros, mais tant pis, ça fait partie de la régénération.

Le blog du fils. (J'ai rêvé que je le suivais en trottinette dans une immense Lyon, il avait quelques années de plus)

La page du jour.

Gros ouille, quand même et réfléchir pourquoi je ne songe jamais à me soigner moi-même (bon, là, c'est vrai que pour imposer les mains, c'est pas facile, la barre du dos / rein). Un peu plus de foi en moi, bazar.
Mais ça va aller.
Pitin de froid.

Merci au fils pour avoir aimé le pestak de ce matin et aux compagnons de la répétition de ce soir.
Grâce à Jenny, on a une direction. Cool.