Glenmore
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Eh ben vas-y, la prochaine fois je
passe deux jours dans le coin, cong... On en a profité qu'une
matinée en faisant en quatre heures de marche ce qui était
facilement prévu en cinq et demie.
Rha putain, mon cochon, les nuages, le
soleil, les vallées, les arbres, le lac, les champignons (et même
une amanite phalloïde), les arbres encore (nan mais moi j'aime les
arbres, tu comprends), la brume, les vues depuis les hauteurs, les
midges (bon, ça, ok), la famille canard avec maman et ses trois
petits qui s'approchent de nous comme j'ai jamais vu pour des
cannetons, la tranquillité tôt le matin, toucher quelques arbres
pour lutter contre la fièvre et les maux de crâne dus à
l'intoxication...
Si je peux, je te colle des photos...
Hu.
Ah, non... Je peux pas. Mais tu
t'embêtes pas, tu fais image dans google, t'es pas couillon, non
plus...
Ah manquer d'eau comme des couillons
parce qu'on a marché plus que prévu, foirer un repas dans l'auberge
de jeunesse parce qu'ils ne proposaient rien le midi.
Et la plage, aussi, même si on a fait
qu'y passer parce que le sable était mouillé après la grosse pluie
pluie de la nuit et qu'on commençait à avoir grave faim...
Ensuite, Aviemore pour une petite
balade dans la ville sous la pluie, un burger au daim (c'est bon ,
désolé, ma femme si tu me lis) servi par une serveuse aux yeux qui
ont étonné Johan (sans doute d'origine polonaise, la blonde), une
petite visite à la brasserie Cairngorm pour quelques achats des
spécialités du crû, un écureuil qui balade un peu avant la sieste
et qui semble bien tout seul comparé au nombre de lapins. Bon sang,
mon cochon, il est déjà facilement 16 heures.
Alors paf, le temps de filer sur
Inverness, de se pêcho un bon embouteillage (vache, ça coince grave
à certaines heures), pour finir dans la student Hostel Youth Hostel,
tenue par un manager français avec la moitié facilement des
résidents étant français.
Et là ?
Hein ?
Hein ?
Dégustation d'IPA, ma couille...
On a commencé par la Dead Pony de chez
brewdog, qu'on connaît déjà sur Bourges.
On continue sur la très classique :
Punk IPA (merci aux notes finales de pamplemousse qui permettent à
mon compère de supporter l'amertume)...
Et on finit sur...
Ah merde, j'ai pas la bière devant
moi. Pas grave le collègue, va la chercher...
La William Joker IPA, dont je ne sais
rien mais ce n'est pas grave, c'est aussi ça ce que tu es, hein,
l'esprit de l'aventure...
Je te laisse avec la page du jour :
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